Re: Quel est votre genre préféré de manga?
Posté : 10 août 2008, 17:33
j'aurais tendance à dire que tout les genres repondent à des régles établies tacitement dans la mesure où pratiquement toute la production manga est faite pour repondre aux gouts d'un public ciblé qui opte pour qu'on lui re-serve les mêmes histoires via les magazine de prépublication.
caricaturalement, et j'insiste sur le terme, ce n'est pas un jugement de valeur:
les shonen ne sont que des recits de combats avec des heros souvent plutot immatures ou totalement innocents (naruto, dragon ball)
les shojo sont des accumulations de valses deceptions ou de marivaudages entre des gens qui ne sont jamais en phase ( et qui sont parfois tellement beau qu'il en acquierent une image irrationnelle). tout les sentiments y sont exacerbés. le moindre doute sur les intentions de l'autre nous plonge dans des abimes de larmes et le desespoir,...
le yaoi restitue souvent des relations conflictuelles entre 2 hommes dont l'un est plus agé que l'autre, l'un est un sanguin, un actif. L'autre, souvent le plus agé est plus passif plus reflechi. Il y a des notions d'initiation, des rapports de dominance parfois (comme dans kizuna, par exemple).
Le seinen est plus difficile a definir en soi puisqu'il regroupe aussi bien berserk que solanin et donc repond a moins de regles établies. mais le style se montre parfois prétentieux, elitiste,... Le gegika en soi est une influence qui rend le recits trés rigoureux et documenté et qui necessité plus qu'une lecture de divertissement.
Maintenant tout ce que je viens d'ecrire ne sont que les clichés établis par les éditeurs. Heureusement, de plus en plus d'auteurs s'en echappent en melangeant les genres.
le shojo peut etre un recit fantastique comme ayashi no ceres ou l'infirmerie. Il peut etre realiste sans etre gnangnan comme nana ou mars. On est bien loin du schema narratif de candy ou de la collection Harlequin.
L'ambiguité sexuelle n'est pas l'apanage d'un seul genre comme en temoigne prince saphir, family compo, l'infirmerie,... Le mélange de caractères masculins et feminins est un ressort courant dans la litterature japonaise en general.
Je pense surtout qu'il ne faut pas s'arreter à des etiquettes en matière de lecture. Ce n'est pas parce que j'ai été déçu par hana yori dango que j'ai arreté de lire du shojo. J'ai pu lire de vraie bonne histoires comme peach girl, mars, c'était nous,...
de même, si je ne lis pas naruto ou one piece, ça ne m'empeche pas d'apprecier d gray man ou eye shield21.
A ne lire que dans un même genre vous finirez par vous en dégouter.
caricaturalement, et j'insiste sur le terme, ce n'est pas un jugement de valeur:
les shonen ne sont que des recits de combats avec des heros souvent plutot immatures ou totalement innocents (naruto, dragon ball)
les shojo sont des accumulations de valses deceptions ou de marivaudages entre des gens qui ne sont jamais en phase ( et qui sont parfois tellement beau qu'il en acquierent une image irrationnelle). tout les sentiments y sont exacerbés. le moindre doute sur les intentions de l'autre nous plonge dans des abimes de larmes et le desespoir,...
le yaoi restitue souvent des relations conflictuelles entre 2 hommes dont l'un est plus agé que l'autre, l'un est un sanguin, un actif. L'autre, souvent le plus agé est plus passif plus reflechi. Il y a des notions d'initiation, des rapports de dominance parfois (comme dans kizuna, par exemple).
Le seinen est plus difficile a definir en soi puisqu'il regroupe aussi bien berserk que solanin et donc repond a moins de regles établies. mais le style se montre parfois prétentieux, elitiste,... Le gegika en soi est une influence qui rend le recits trés rigoureux et documenté et qui necessité plus qu'une lecture de divertissement.
Maintenant tout ce que je viens d'ecrire ne sont que les clichés établis par les éditeurs. Heureusement, de plus en plus d'auteurs s'en echappent en melangeant les genres.
le shojo peut etre un recit fantastique comme ayashi no ceres ou l'infirmerie. Il peut etre realiste sans etre gnangnan comme nana ou mars. On est bien loin du schema narratif de candy ou de la collection Harlequin.
L'ambiguité sexuelle n'est pas l'apanage d'un seul genre comme en temoigne prince saphir, family compo, l'infirmerie,... Le mélange de caractères masculins et feminins est un ressort courant dans la litterature japonaise en general.
Je pense surtout qu'il ne faut pas s'arreter à des etiquettes en matière de lecture. Ce n'est pas parce que j'ai été déçu par hana yori dango que j'ai arreté de lire du shojo. J'ai pu lire de vraie bonne histoires comme peach girl, mars, c'était nous,...
de même, si je ne lis pas naruto ou one piece, ça ne m'empeche pas d'apprecier d gray man ou eye shield21.
A ne lire que dans un même genre vous finirez par vous en dégouter.