Tome 6:
L'heure est enfin venue pour Atori de revoir sa mère, la Tenshu, dont elle n'a que de vagues souvenirs. Des retrouvailles qui, après une émotion légère et une petit combat contre un ennemi arrivé inopinément, tourne court: la Tenshu a pris sa décision et efface la mémoire d'Atori, pour que sa chère fille puisse vivre comme une humaine normale. Et derrière tout ça, bien que ses pouvoirs aient considérablement diminué, elle compte se sacrifier face à Tobari. Mais tout ne se passera pas comme prévu...
Cet avant-dernier volume comporte peu de révélations pour le lecteur, mais quelques-unes de grande importance pour Atori, qui retrouve enfin sa mère et apprend que Tobari, son ennemi, n'est autre que son frère.
Face à l'annonce de cette lutte entre frère et soeur, Tashiro Takuya en profite pour offrir au Tenshu une personnalité nuancée face à l'adversité: bien que Tobari soit l'ennemi à abattre, il reste son fils...
Et tandis que les compagnons d'Atori tentent de lui faire retrouver la mémoire, Tobari n'arrête pas pour autant ses desseins meurtriers, et l'affrontement s'annonce inévitable.
Enfin, on appréciera le léger développement du personnage de Nanasé, dont nous découvrons plus ou moins la nature.
On se retrouve donc avec un volume à l'image de la série: de nombreux rebondissements sont de la partie, tout s'enchaîne vite et il n'y a aucun véritable moment de creux. Si l'on ne trouve toujours rien de très original dans la série, ce sixième tome remplit efficacement son rôle: le lecteur est diverti, et prêt pour les derniers rebondissements de la série, d'autant que la toute dernière page annonce d'ultimes révélations qui, à n'en pas douter, rendront le septième et denrier volume tout aussi divertissant que ses prédécesseurs.
Atori
Re: Atori
Tome 7:
L'heure du combat final est arrivé pour Atori, qui se retrouve face à Tobari, son frère. Mais ce dernier est-il vraiment le véritable ennemi ? Qui tire donc les ficelles ? Les masques finissent par tomber, et la plupart des personnages finissent par se regrouper pour affronter l'ultime ennemi...
Des temps morts, il n'y en a aucun dans ce dernier volume extrêmement riche en rebondissements. Les véritables ennemis se révèlent, les alliés arrivent à la rescousse, et l'affrontement a lieu à plusieurs niveaux, l'ennemi manipulant Tobari ne cessant de changer de lieu et de changer de stratégie, finissant même par libérer le grand frère d'Atori, qui va alors tenter de le raisonner...
On appréciera beaucoup de voir la plupart des personnages réapparaître pour prêter main forte, à l'image des membres du N.U.E Kaji et Miyako, de Mitsurugi, ou encore de Mukau. Chacun aura un rôle plus ou moins important à jouer, les seules déceptions venant de Nanasé, finalement assez transparente dans le combat final, et surtout de Narumi, inutile.
Quoi qu'il en soit, le plaisir de lecture est bien là. Le coup de crayon est efficace et très dynamique, le design des démons soignés, les rebondissements nombreux, certains personnages secondaires comme Mukau ont même droit à un travail un peu plus approfondi, et la fin n'est ni toute rose ni toute noire: les morts dans les deux camps sont bel et bien au rendez-vous et rendent ce long final plus intense. Enfin, on notera le travail apporté à la considération de la Tenshu pour ses deux enfants, et aux tourments d'Atori quant à sa double nature humain/démon qui trouvent une conclusion appréciable.
Voici donc un final globalement efficace, quoiqu'un peu entaché par des dernières pages assez expéditives.
Sans prétention, Atori est une petite série qui aura su gagner en intérêt au fil des tomes, avant de nous offrir ce final globalement réussi. Une bonne petite surprise, que l'on était loin d'attendre.
L'heure du combat final est arrivé pour Atori, qui se retrouve face à Tobari, son frère. Mais ce dernier est-il vraiment le véritable ennemi ? Qui tire donc les ficelles ? Les masques finissent par tomber, et la plupart des personnages finissent par se regrouper pour affronter l'ultime ennemi...
Des temps morts, il n'y en a aucun dans ce dernier volume extrêmement riche en rebondissements. Les véritables ennemis se révèlent, les alliés arrivent à la rescousse, et l'affrontement a lieu à plusieurs niveaux, l'ennemi manipulant Tobari ne cessant de changer de lieu et de changer de stratégie, finissant même par libérer le grand frère d'Atori, qui va alors tenter de le raisonner...
On appréciera beaucoup de voir la plupart des personnages réapparaître pour prêter main forte, à l'image des membres du N.U.E Kaji et Miyako, de Mitsurugi, ou encore de Mukau. Chacun aura un rôle plus ou moins important à jouer, les seules déceptions venant de Nanasé, finalement assez transparente dans le combat final, et surtout de Narumi, inutile.
Quoi qu'il en soit, le plaisir de lecture est bien là. Le coup de crayon est efficace et très dynamique, le design des démons soignés, les rebondissements nombreux, certains personnages secondaires comme Mukau ont même droit à un travail un peu plus approfondi, et la fin n'est ni toute rose ni toute noire: les morts dans les deux camps sont bel et bien au rendez-vous et rendent ce long final plus intense. Enfin, on notera le travail apporté à la considération de la Tenshu pour ses deux enfants, et aux tourments d'Atori quant à sa double nature humain/démon qui trouvent une conclusion appréciable.
Voici donc un final globalement efficace, quoiqu'un peu entaché par des dernières pages assez expéditives.
Sans prétention, Atori est une petite série qui aura su gagner en intérêt au fil des tomes, avant de nous offrir ce final globalement réussi. Une bonne petite surprise, que l'on était loin d'attendre.

