Kurohimé
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Re: Kurohimé
Vol.1 :
Il y a parfois des mangas sur lesquels, le lecteur ne posera pas forcément l’œil lors de son passage en librairie. Kurohimé fait partie de ses mangas, ne jouissant pas d’une grande renommée en France, ni d’une grande promotion comme certains, le titre ce retrouve rapidement noyé dans la masse. Est-ce un bien ou un mal ? C’est ce que nous allons découvrir immédiatement.
L’histoire de Kurohimé nous narre le parcours de Zero, un jeune « pistolero » à la recherche de la grande sorcière Kurohimé qu’il admire depuis son enfance. Alors qu’il semble sur la bonne voie il rencontre Himéko, une petite gamine des plus turbulente et au caractère de cochon. Ce que Zero ne tardera pas à découvrir, c’est que derrière cette petite peste, ce cache la grande Kurohimé victime d’une malédiction. Dès lors Zero, accompagnera Himéko, afin de l’aider à briser la malédiction.
Après la lecture de ce premier tome de Kurohimé, le lecteur n’aura qu’une chose à dire « rien d’innovant et rien de bien original », ces quelques mots pourraient résumer le titre. En effet, si ce premier tome se laisse lire sans trop de problèmes, l’histoire n’en est pas pour autant « une claque » pour le lecteur. Le problème venant « entre autre », du système de narration choisit par l’auteur, qui opte pour de petites histoires en un chapitre. Certes, il s’agit de présenter les différents protagonistes, de mettre en place l’univers dans lequel ce situe le manga et pourtant c’est incroyablement redondant. Le scénario en lui-même n’apporte guère plus car, beaucoup de clichés et de déjà-vu. Le personnage surpuissant coincé dans un corps « faible », n’est-ce pas le fond de commerce de « Bastard ! », « Devil Devil » où encore « Rosario + Vampire » duquel il se rapproche beaucoup, notamment de part sa narration en histoire courte. Un héros, aveuglé par son sens de la justice qui refuse de tuer avec son arme, un humour vu et revu, du fan service et plein de bons sentiments, voilà pour le reste. Du côté des personnages comme dit avant, c’est encore une fois pas mal cliché, le justicier, la sorcière mégalomane, le « méchant/gentil » totalement abruti et pourtant nous ne sommes qu’au premier volume. L’intrigue est elle-même n’est pas spécialement travaillé (même si après tout ce n’est que le début), le tout se résume pour le moment à rendre son apparence à Kurohimé. Ca ne décolle pas vraiment niveau scénario et il en est de même au niveau des graphismes. Si le trait de l’auteur est plutôt plaisant, le fait qu’il sème à tout va des SD où adopte un style très comique, gâche quelque peu la lecture dans les moments « importants ». Le manga adopte alors une teinte, humoristique, qui fait un peu tâche lors des combats par exemple.
Concernant l’édition, Tonkam fait un travail honorable, avec une édition proche de celle de « Jojo’s Bizarre Adventure » ou « Rosario + Vampire ».
Un premier tome qui n’arrivera pas à convaincre des lecteurs chevronnés et possédant une belle mangathéque, mais qui charmera surement les « arrivants » dans le milieu. Sans innover et être spécial, Kurohimé, conviendra parfaitement au fan du genre, mais d’autre préféreront certainement des titres plus « haut de gamme ». Ce n’est cela dit, que le premier volume, peut-être que le lecteur peut espérer un léger changement d’horizon pour les tomes à venir.
Il y a parfois des mangas sur lesquels, le lecteur ne posera pas forcément l’œil lors de son passage en librairie. Kurohimé fait partie de ses mangas, ne jouissant pas d’une grande renommée en France, ni d’une grande promotion comme certains, le titre ce retrouve rapidement noyé dans la masse. Est-ce un bien ou un mal ? C’est ce que nous allons découvrir immédiatement.
L’histoire de Kurohimé nous narre le parcours de Zero, un jeune « pistolero » à la recherche de la grande sorcière Kurohimé qu’il admire depuis son enfance. Alors qu’il semble sur la bonne voie il rencontre Himéko, une petite gamine des plus turbulente et au caractère de cochon. Ce que Zero ne tardera pas à découvrir, c’est que derrière cette petite peste, ce cache la grande Kurohimé victime d’une malédiction. Dès lors Zero, accompagnera Himéko, afin de l’aider à briser la malédiction.
Après la lecture de ce premier tome de Kurohimé, le lecteur n’aura qu’une chose à dire « rien d’innovant et rien de bien original », ces quelques mots pourraient résumer le titre. En effet, si ce premier tome se laisse lire sans trop de problèmes, l’histoire n’en est pas pour autant « une claque » pour le lecteur. Le problème venant « entre autre », du système de narration choisit par l’auteur, qui opte pour de petites histoires en un chapitre. Certes, il s’agit de présenter les différents protagonistes, de mettre en place l’univers dans lequel ce situe le manga et pourtant c’est incroyablement redondant. Le scénario en lui-même n’apporte guère plus car, beaucoup de clichés et de déjà-vu. Le personnage surpuissant coincé dans un corps « faible », n’est-ce pas le fond de commerce de « Bastard ! », « Devil Devil » où encore « Rosario + Vampire » duquel il se rapproche beaucoup, notamment de part sa narration en histoire courte. Un héros, aveuglé par son sens de la justice qui refuse de tuer avec son arme, un humour vu et revu, du fan service et plein de bons sentiments, voilà pour le reste. Du côté des personnages comme dit avant, c’est encore une fois pas mal cliché, le justicier, la sorcière mégalomane, le « méchant/gentil » totalement abruti et pourtant nous ne sommes qu’au premier volume. L’intrigue est elle-même n’est pas spécialement travaillé (même si après tout ce n’est que le début), le tout se résume pour le moment à rendre son apparence à Kurohimé. Ca ne décolle pas vraiment niveau scénario et il en est de même au niveau des graphismes. Si le trait de l’auteur est plutôt plaisant, le fait qu’il sème à tout va des SD où adopte un style très comique, gâche quelque peu la lecture dans les moments « importants ». Le manga adopte alors une teinte, humoristique, qui fait un peu tâche lors des combats par exemple.
Concernant l’édition, Tonkam fait un travail honorable, avec une édition proche de celle de « Jojo’s Bizarre Adventure » ou « Rosario + Vampire ».
Un premier tome qui n’arrivera pas à convaincre des lecteurs chevronnés et possédant une belle mangathéque, mais qui charmera surement les « arrivants » dans le milieu. Sans innover et être spécial, Kurohimé, conviendra parfaitement au fan du genre, mais d’autre préféreront certainement des titres plus « haut de gamme ». Ce n’est cela dit, que le premier volume, peut-être que le lecteur peut espérer un léger changement d’horizon pour les tomes à venir.
Re: Kurohimé
Kurohimé #1
Depuis qu'il a été sauvé par l'armagicienne Kurohimé, Zero est persuadé que "le pistolet est le glaive de la justice". Il est donc devenu un tireur ultra rapide, en quête de Kurohimé. Mais sa vie va prendre un jour nouveau quand il rencontrera une jeune fille en possession du mystérieux "Canon Dragon", l'arme de Kurohimé.
Publié dans le Gekkan Shonen Jump depuis 2001 et terminé en 2011 via internet, Kurohimé fait partie des shonens du Jump axés action à 200% où tous les ingrédients plaisant aux lecteurs sont réunis : gunfights épiques, invocations titanesques, fille sexy, etc...
L'histoire, assez simple au premier abord, a tout de quoi nous captiver suffisamment afin de nous donner l'envie de lire la suite : un jeune garçon prénommé Zero s'est fait sauvé par la célèbre Kurohimé étant petit; 10 ans plus tard il part à sa recherche, seulement celle-ci a eu une malédiction la rendant sous une allure de gamine au fort caractère. Sa célébrité résonne dans chaque contrée par de nombreuses bouches, ce qui nous pousse à nous demander ce qu'elle a pu faire dans le passé pour la rendre aussi célèbre, outre le fait qu'elle soit une armagicienne de génie. D'ailleurs parlons-en des armagiciens. Dans ce manga on se bat avec du gros calibre, de gros flingues capables d'invoquer de terribles monstres par le biais d'une simple balle. Il sera donc courant de voir un énorme dragon de pierre ou un phoenix tout en flamme aux côtés de nos héros !
Dans le préface, l'auteur annonce bourrer sa série de tout ce qu'il aime, et bien il a de très bons goûts ! Kurohimé, c'est un peu le mélange de tous les éléments qui ont fait le succès des shonens et franchement, on se régale. Tous nos personnages sont attachants, autant gentils que méchants, et cela fait plaisir de voir que déjà, les deux persos principaux sont forts, avec chacun une grande réputation. Ainsi, pas de héros boulet qui invoque Kurohimé juste à temps pour battre l'ennemi en trois coups, Zero se bat malgré que son niveau soit inférieure à celui de l'armagicienne. Le décor est planté, en un volume on voit déjà plus ou moins l'univers où baigne la série et l'on se retrouve dans un monde de cow-boys où la magie est un mode de combat récurrent, un mode où aussi se côtoient humains, dieux et autres espèces en tout genre comme les anges.
Au niveau du dessin l'auteur fait déjà du très bon boulot, le feuilletage des volumes suivants permet de confirmer un progrès permanent dans son travail visuel alors que le manga propose déjà des planches magnifiques. La mise en scène est aussi très bien maîtrisée, bref un régal. Enfin rien de spécial à noter sur l'édition à part peut être une reliure trop serrée pour la premier tirage du manga, gênant un petit peu la lecture; quelques pages blanches inutiles aussi à noter en fin de volume.
Kurohimé est donc un shonen où l'action bat son plein, on ne s'ennuie pas une seule seconde ! L'auteur plante les bases de son récit dans ce volume qui annonce déjà que Kurohimé sera certainement une série à ne pas manquer.
Depuis qu'il a été sauvé par l'armagicienne Kurohimé, Zero est persuadé que "le pistolet est le glaive de la justice". Il est donc devenu un tireur ultra rapide, en quête de Kurohimé. Mais sa vie va prendre un jour nouveau quand il rencontrera une jeune fille en possession du mystérieux "Canon Dragon", l'arme de Kurohimé.
Publié dans le Gekkan Shonen Jump depuis 2001 et terminé en 2011 via internet, Kurohimé fait partie des shonens du Jump axés action à 200% où tous les ingrédients plaisant aux lecteurs sont réunis : gunfights épiques, invocations titanesques, fille sexy, etc...
L'histoire, assez simple au premier abord, a tout de quoi nous captiver suffisamment afin de nous donner l'envie de lire la suite : un jeune garçon prénommé Zero s'est fait sauvé par la célèbre Kurohimé étant petit; 10 ans plus tard il part à sa recherche, seulement celle-ci a eu une malédiction la rendant sous une allure de gamine au fort caractère. Sa célébrité résonne dans chaque contrée par de nombreuses bouches, ce qui nous pousse à nous demander ce qu'elle a pu faire dans le passé pour la rendre aussi célèbre, outre le fait qu'elle soit une armagicienne de génie. D'ailleurs parlons-en des armagiciens. Dans ce manga on se bat avec du gros calibre, de gros flingues capables d'invoquer de terribles monstres par le biais d'une simple balle. Il sera donc courant de voir un énorme dragon de pierre ou un phoenix tout en flamme aux côtés de nos héros !
Dans le préface, l'auteur annonce bourrer sa série de tout ce qu'il aime, et bien il a de très bons goûts ! Kurohimé, c'est un peu le mélange de tous les éléments qui ont fait le succès des shonens et franchement, on se régale. Tous nos personnages sont attachants, autant gentils que méchants, et cela fait plaisir de voir que déjà, les deux persos principaux sont forts, avec chacun une grande réputation. Ainsi, pas de héros boulet qui invoque Kurohimé juste à temps pour battre l'ennemi en trois coups, Zero se bat malgré que son niveau soit inférieure à celui de l'armagicienne. Le décor est planté, en un volume on voit déjà plus ou moins l'univers où baigne la série et l'on se retrouve dans un monde de cow-boys où la magie est un mode de combat récurrent, un mode où aussi se côtoient humains, dieux et autres espèces en tout genre comme les anges.
Au niveau du dessin l'auteur fait déjà du très bon boulot, le feuilletage des volumes suivants permet de confirmer un progrès permanent dans son travail visuel alors que le manga propose déjà des planches magnifiques. La mise en scène est aussi très bien maîtrisée, bref un régal. Enfin rien de spécial à noter sur l'édition à part peut être une reliure trop serrée pour la premier tirage du manga, gênant un petit peu la lecture; quelques pages blanches inutiles aussi à noter en fin de volume.
Kurohimé est donc un shonen où l'action bat son plein, on ne s'ennuie pas une seule seconde ! L'auteur plante les bases de son récit dans ce volume qui annonce déjà que Kurohimé sera certainement une série à ne pas manquer.
Re: Kurohimé
Kurohimé #2
Toujours en quête du moyen de sauver Kurohimé, Zero et Himéko font halte dans une ville à la décoration singulière : toutes les rues sont couvertes d'avis de recherche de l'armagicienne ! Il semble que nos deux héros soient tombés dans la gueule du loup...
Les aventures de notre maudite Himéko et du pistolero aux quatre flingues continuent ! Toujours autant axé action, ce volume propose le découpage classique du "un chapitre = une histoire". Dans le premier nos deux héros se retrouveront dans une des bases de Onimaru, toujours autant énervé contre Kurohimé. Ce chapitre sera l'occasion de montrer diverses invocations de l'armagicienne ainsi qu'insister sur le fait que l'amour est vraiment la clé pouvant la délivrer de sa malédiction.
Dans le second chapitre nos héros se retrouvent coincés dans un bâtiment rempli de bonbons qui n'est autre que la demeure de Kashihimé, apprentie armagicienne.
On continue ensuite dans un incroyable labyrinthe de pierre où vivent des personnes plutôt étranges et qui n'ont pas l'air de porter nos deux vagabonds dans leur coeur.
Enfin, Zero trouvera un rival dans le dernier chapitre, un certain Saika prêt à tout pour conquérir le coeur de Kurohimé...
Toujours aussi sympathique, Kurohimé nous captive autant. L'auteur pose ses bases du récit petit à petit et l'on se doute que dans un futur proche nos héros vont croiser des ennemis bien plus coriaces. Le dessin est vraiment très bon, les invocations en imposent pas mal et les quelques chibis viennent rajouter quelques petites touches d'humour.
Kurohimé est pour l'instant un shonen qui se révèle être fort divertissant, on espère juste que l'aspect "j'arrive à la fin et je suis la meilleure" de Kurohimé s'atténuera par la suite pour ne pas rendre le récit redondant.
Toujours en quête du moyen de sauver Kurohimé, Zero et Himéko font halte dans une ville à la décoration singulière : toutes les rues sont couvertes d'avis de recherche de l'armagicienne ! Il semble que nos deux héros soient tombés dans la gueule du loup...
Les aventures de notre maudite Himéko et du pistolero aux quatre flingues continuent ! Toujours autant axé action, ce volume propose le découpage classique du "un chapitre = une histoire". Dans le premier nos deux héros se retrouveront dans une des bases de Onimaru, toujours autant énervé contre Kurohimé. Ce chapitre sera l'occasion de montrer diverses invocations de l'armagicienne ainsi qu'insister sur le fait que l'amour est vraiment la clé pouvant la délivrer de sa malédiction.
Dans le second chapitre nos héros se retrouvent coincés dans un bâtiment rempli de bonbons qui n'est autre que la demeure de Kashihimé, apprentie armagicienne.
On continue ensuite dans un incroyable labyrinthe de pierre où vivent des personnes plutôt étranges et qui n'ont pas l'air de porter nos deux vagabonds dans leur coeur.
Enfin, Zero trouvera un rival dans le dernier chapitre, un certain Saika prêt à tout pour conquérir le coeur de Kurohimé...
Toujours aussi sympathique, Kurohimé nous captive autant. L'auteur pose ses bases du récit petit à petit et l'on se doute que dans un futur proche nos héros vont croiser des ennemis bien plus coriaces. Le dessin est vraiment très bon, les invocations en imposent pas mal et les quelques chibis viennent rajouter quelques petites touches d'humour.
Kurohimé est pour l'instant un shonen qui se révèle être fort divertissant, on espère juste que l'aspect "j'arrive à la fin et je suis la meilleure" de Kurohimé s'atténuera par la suite pour ne pas rendre le récit redondant.
Modifié en dernier par Kiraa7 le 01 févr. 2012, 12:31, modifié 1 fois.
Re: Kurohimé
Kurohimé #3
Kurohimé et Zero pénètrent dans un village où les objets sont dotés de vie. C'est là que règne la vieille Kyokyobaa, une armagicienne déjantée qui ne supporte aucun rival. Encore moins lorsqu'il s'agit de Kurohimé !
Le périple de notre pistolero et de notre armagicienne préférés continue de plus bel et les voici arriver dans un village où une vilaine sorcière s'amuse à transformer les gens en objet. Une mission toute simple pour nos héros, cependant Zero se fait vulgairement transformé en chaise, il est donc impossible pour Himéko de se transformer en Kurohimé ! Mais qui est donc cette jolie brune qui a l'air de la connaître ?
Cette histoire reste dans la même veine que celles du précédent volume, bien que deux fois plus longues. Cela prouvera que nos deux héros sont inséparables et vivent désormais au dépend de l'autre.
Dans les chapitres suivants on passe au degré supérieur avec l'entrée en scène des dieux et des démons. Kurohimé va vite s'apercevoir que ses invocations ne peuvent pas toujours la sauver et va devoir trouver un autre moyen de se battre. On en apprend davantage sur le passé de notre armagicienne si célèbre et cela sera l'occasion pour Zero de se remettre en question : celui-ci était tombé d'admiration devant elle 10 ans auparavant et a découvert l'amour et la justice par son biais, or depuis celle-ci n'est plus la même et a perdu tous ses souvenirs. Commence alors son "combat" contre cette Kurohimé...
Les choses prennent forme, lentement mais sûrement. Autant la première histoire est un peu trop similaire aux précédentes, autant la suivante fait entrer de nouveaux protagonistes qui risquent d'amener une suite au récit forte intéressante. Avec cet univers vraiment plaisant, on veut que ça dure !
Kurohimé et Zero pénètrent dans un village où les objets sont dotés de vie. C'est là que règne la vieille Kyokyobaa, une armagicienne déjantée qui ne supporte aucun rival. Encore moins lorsqu'il s'agit de Kurohimé !
Le périple de notre pistolero et de notre armagicienne préférés continue de plus bel et les voici arriver dans un village où une vilaine sorcière s'amuse à transformer les gens en objet. Une mission toute simple pour nos héros, cependant Zero se fait vulgairement transformé en chaise, il est donc impossible pour Himéko de se transformer en Kurohimé ! Mais qui est donc cette jolie brune qui a l'air de la connaître ?
Cette histoire reste dans la même veine que celles du précédent volume, bien que deux fois plus longues. Cela prouvera que nos deux héros sont inséparables et vivent désormais au dépend de l'autre.
Dans les chapitres suivants on passe au degré supérieur avec l'entrée en scène des dieux et des démons. Kurohimé va vite s'apercevoir que ses invocations ne peuvent pas toujours la sauver et va devoir trouver un autre moyen de se battre. On en apprend davantage sur le passé de notre armagicienne si célèbre et cela sera l'occasion pour Zero de se remettre en question : celui-ci était tombé d'admiration devant elle 10 ans auparavant et a découvert l'amour et la justice par son biais, or depuis celle-ci n'est plus la même et a perdu tous ses souvenirs. Commence alors son "combat" contre cette Kurohimé...
Les choses prennent forme, lentement mais sûrement. Autant la première histoire est un peu trop similaire aux précédentes, autant la suivante fait entrer de nouveaux protagonistes qui risquent d'amener une suite au récit forte intéressante. Avec cet univers vraiment plaisant, on veut que ça dure !
Modifié en dernier par Kiraa7 le 01 févr. 2012, 12:31, modifié 1 fois.
Re: Kurohimé
Kurohimé #4
A la demande de Zero, Kurohimé rend la vie à des morts. C'est alors que surgit une troupe d'Anges de la Mort, venue du Monde Céleste pour s'emparer de l'âme du Kurohimé ! Redevenue Himéko au pire moment, l'armagicienne parviendra-t-elle à se sortir de cette situation critique ?
Fini les petites histoires sympathiques, Kurohimé passe à la vitesse grand V ! Dans ce volume nous voyons arriver les fameux Anges de la Mort : alors que Zero se retrouve à sauver une carriole qui en fait regorge de fantômes, voici que les anges viennent pulvériser ces âmes déchues pour les envoyer en enfer ! Cependant ceux-ci sont bien décidés à prendre aussi celle de Kurohimé. Interdits de faire cela, les Anges reviendront sous la forme de danseuses sexy afin de charmer Onimaru et ses hommes (qui ont réussi à rattraper nos héros) ainsi que Zero afin de pouvoir tuer tranquillement Himéko. Un petit peu dur à expliquer comme ça mais ne vous en faîtes pas, on ne se perd pas à la lecture du tome.
Mais dans ce volume, deux autres personnages très importants font leur entrée en scène : Dark Rei, le seigneur de la mort et ShiroHimé, une personne fortement liée à Kurohimé dont nous tairons le pourquoi du comment pour éviter tout spoil.
Enfin, l'amour va aussi être un des points clés et Kurohimé elle-même va se rendre compte que Zero ne la laisse pas indifférente...
Ce volume accélère le rythme de la série, ça y est cette fois-ci l'engrenage est en route ! Pas mal d'entrées en scène certes, mais tous ces personnages vont jouer un rôle important dans la suite. L'auteur a vraiment un dessin somptueux et ne se prive pas de nous offrir des femmes merveilleuses ainsi que des hommes qui ont la classe (on pensera notamment à Sword et à Dark Rei !). Le découpage est aussi très bien maîtrisé et l'auteur sait alterner les scènes d'action, d'humour et d'amour.
En bref, déjà très divertissante sur ses 3 premiers volumes, la série Kurohimé prend un nouveau tournant qui ne peut que captiver le lecteur ! Vite, la suite !
A la demande de Zero, Kurohimé rend la vie à des morts. C'est alors que surgit une troupe d'Anges de la Mort, venue du Monde Céleste pour s'emparer de l'âme du Kurohimé ! Redevenue Himéko au pire moment, l'armagicienne parviendra-t-elle à se sortir de cette situation critique ?
Fini les petites histoires sympathiques, Kurohimé passe à la vitesse grand V ! Dans ce volume nous voyons arriver les fameux Anges de la Mort : alors que Zero se retrouve à sauver une carriole qui en fait regorge de fantômes, voici que les anges viennent pulvériser ces âmes déchues pour les envoyer en enfer ! Cependant ceux-ci sont bien décidés à prendre aussi celle de Kurohimé. Interdits de faire cela, les Anges reviendront sous la forme de danseuses sexy afin de charmer Onimaru et ses hommes (qui ont réussi à rattraper nos héros) ainsi que Zero afin de pouvoir tuer tranquillement Himéko. Un petit peu dur à expliquer comme ça mais ne vous en faîtes pas, on ne se perd pas à la lecture du tome.
Mais dans ce volume, deux autres personnages très importants font leur entrée en scène : Dark Rei, le seigneur de la mort et ShiroHimé, une personne fortement liée à Kurohimé dont nous tairons le pourquoi du comment pour éviter tout spoil.
Enfin, l'amour va aussi être un des points clés et Kurohimé elle-même va se rendre compte que Zero ne la laisse pas indifférente...
Ce volume accélère le rythme de la série, ça y est cette fois-ci l'engrenage est en route ! Pas mal d'entrées en scène certes, mais tous ces personnages vont jouer un rôle important dans la suite. L'auteur a vraiment un dessin somptueux et ne se prive pas de nous offrir des femmes merveilleuses ainsi que des hommes qui ont la classe (on pensera notamment à Sword et à Dark Rei !). Le découpage est aussi très bien maîtrisé et l'auteur sait alterner les scènes d'action, d'humour et d'amour.
En bref, déjà très divertissante sur ses 3 premiers volumes, la série Kurohimé prend un nouveau tournant qui ne peut que captiver le lecteur ! Vite, la suite !
Modifié en dernier par Kiraa7 le 01 févr. 2012, 12:31, modifié 1 fois.
Re: Kurohimé
Kurohimé #5
Que s'est-il passé il y a dix ans, lorsque Kurohimé est partie défier les Dieux ? Shirohimé nous conte la surprenante vérité ! Pendant ce temps, Kurohimé est poursuivie par le Dieu de la mort Dark Rei. Avec Zero, elle tente une contre-attaque désespérée, mais tout de suite après le combat, un autre danger mortel survient !!
Quel volume riche en émotions ! Alors que l'action bat son plein dans le combat opposant Kurohimé et Zero face à Dark Rei, Shirohimé l'alter-ego divin de notre armagicienne raconte à Onimaru désormais transformé en petite bête toute mignonne (et ridicule surtout) le passé de Kurohimé. Nous voyons quelles ont été ses relations avec ce dernier ainsi que pourquoi s'est-elle rebellée contre les Dieux. Sa légende se divise en deux chapitres : d'abord sur le plan terrestre où on la voit telle une guerrière intrépide puis sur le plan céleste où elle se retrouve dans le domaine des Dieux. Nous savons désormais pourquoi et comment elle a été maudite et s'est retrouvée transformée en gamine.
Mais le meilleur du volume ne s'arrête pas là ! En effet après le passé de Kurohimé, c'est l'occasion de voir un combat dantesque entre elle et Dark Rei, chacun aidé respectivement de Zero et des Anges de la Mort. En parlant de mort, celle-ci règne sur les personnages et il est bien possible que certains n'en échappent pas...
Voici un combat époustouflant où le final aura de quoi choquer les esprits : la porte liant le pays de la source jaune au monde des humains va se fermer et il faut donc parvenir sur l'autre rive avant la fermeture complète du passage sous peine de rester bloqué à jamais, cependant il n'y a qu'une place dans la barque permettant de traverser cette rivière...
Le tome se termine d'une manière inattendue et la notion "Fin du premier cycle" écrit en blanc sur fond noir à la dernière page à de quoi nous interroger sur la suite de la série : que va-t-il se passer à présent ? Que sont devenus nos héros ? Mystère...
Les planches de ce volume sont particulièrement magnifiques, l'auteur manie un dessin proche des travaux de Oh!Great, la mise en scène mêlée à ce travail graphique est juste excellente et à de quoi nous émouvoir autant par le passé de Kurohimé que par la fin du tome plutôt bouleversante...
Ce tome 5 de Kurohimé est le meilleur depuis le début de la série : l'auteur manie avec brio dessin et mise en scène pour nous offrir un volume très touchant entre le passé de notre armagicienne et son combat contre Dark Rei qui est juste époustouflant. Ce tome marque la fin du premier cycle, la suite s'annonce déjà énorme !
Que s'est-il passé il y a dix ans, lorsque Kurohimé est partie défier les Dieux ? Shirohimé nous conte la surprenante vérité ! Pendant ce temps, Kurohimé est poursuivie par le Dieu de la mort Dark Rei. Avec Zero, elle tente une contre-attaque désespérée, mais tout de suite après le combat, un autre danger mortel survient !!
Quel volume riche en émotions ! Alors que l'action bat son plein dans le combat opposant Kurohimé et Zero face à Dark Rei, Shirohimé l'alter-ego divin de notre armagicienne raconte à Onimaru désormais transformé en petite bête toute mignonne (et ridicule surtout) le passé de Kurohimé. Nous voyons quelles ont été ses relations avec ce dernier ainsi que pourquoi s'est-elle rebellée contre les Dieux. Sa légende se divise en deux chapitres : d'abord sur le plan terrestre où on la voit telle une guerrière intrépide puis sur le plan céleste où elle se retrouve dans le domaine des Dieux. Nous savons désormais pourquoi et comment elle a été maudite et s'est retrouvée transformée en gamine.
Mais le meilleur du volume ne s'arrête pas là ! En effet après le passé de Kurohimé, c'est l'occasion de voir un combat dantesque entre elle et Dark Rei, chacun aidé respectivement de Zero et des Anges de la Mort. En parlant de mort, celle-ci règne sur les personnages et il est bien possible que certains n'en échappent pas...
Voici un combat époustouflant où le final aura de quoi choquer les esprits : la porte liant le pays de la source jaune au monde des humains va se fermer et il faut donc parvenir sur l'autre rive avant la fermeture complète du passage sous peine de rester bloqué à jamais, cependant il n'y a qu'une place dans la barque permettant de traverser cette rivière...
Le tome se termine d'une manière inattendue et la notion "Fin du premier cycle" écrit en blanc sur fond noir à la dernière page à de quoi nous interroger sur la suite de la série : que va-t-il se passer à présent ? Que sont devenus nos héros ? Mystère...
Les planches de ce volume sont particulièrement magnifiques, l'auteur manie un dessin proche des travaux de Oh!Great, la mise en scène mêlée à ce travail graphique est juste excellente et à de quoi nous émouvoir autant par le passé de Kurohimé que par la fin du tome plutôt bouleversante...
Ce tome 5 de Kurohimé est le meilleur depuis le début de la série : l'auteur manie avec brio dessin et mise en scène pour nous offrir un volume très touchant entre le passé de notre armagicienne et son combat contre Dark Rei qui est juste époustouflant. Ce tome marque la fin du premier cycle, la suite s'annonce déjà énorme !
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Re: Kurohimé
Kurohimé #6
Zero a donné sa vie pour sauver Kurohimé. En se réveillant après un très long sommeil, elle est très choquée par sa disparition ! La nouvelle Kurohimé, née du véritable amour, se met en route vers Yamato, en compagnie d'Asura la démone pour ressusciter Zero. Quels sont les dangers qui l'attendent sur cette nouvelle terre inconnue ?
Nous voici dans le second cycle de Kurohimé. Zero est mort, celle-ci part en quête d'un moyen afin de lui redonner la vie. Après un volume très émouvant où se sont passés beaucoup de choses, la série prend un nouveau départ et nous avons un peu là un tome de transition. Accompagnée d'Asura et d'Onimaru toujours transformé en bestiole rigolote, Kurohimé (qui a maintenant un physique entre sa forme normale et celle de Himéko) part en quête de Yamato, pays où se trouve Yamatohimé ayant soi-disant la capacité de faire revenir Zero parmi les vivants. Mais pour cela elle va devoir traverser la mer où elle risque de rencontrer des êtres plutôt étranges...
Ce tome est, bizarrement, pas mal axé humour. Alors que l'on s'attendait à un volume triste où Kurohimé pleure Zero sans s'arrêter, il n'en est rien ! A part quelques souvenirs par-ci par-là celle-ci garde la tête haute et est déterminée plus que jamais à sauver l'homme qui lui a ramené "le véritable amour".
Alors qu'Asura ne s'affiche pas trop et passe au second plan, Onimaru lui nous fait rire à maintes reprises (le passage où il tombe dans les pommes, se réveille mais retombe dans les vapes à la vue du dragon squelette est à mourir de rire !).
Les deux premiers chapitres ressemblent un peu aux histoires que l'on avait au début de la série, cependant on retrouve les légendes japonaises d'Urashima Taro, du palais sous la mer mais aussi de Yamato le pays du Soleil Levant. Dommage que l'éditeur n'ait pas fait quelques pages bonus sur celles-ci.
Ainsi nous avons là un volume étrange, loin d'être mauvais mais assez inattendu dans sa narration. L'auteur a décidé de nous surprendre avec sa série et ça marche plutôt bien. La fin du tome nous promet une suite un peu plus mouvementée cependant.
Zero a donné sa vie pour sauver Kurohimé. En se réveillant après un très long sommeil, elle est très choquée par sa disparition ! La nouvelle Kurohimé, née du véritable amour, se met en route vers Yamato, en compagnie d'Asura la démone pour ressusciter Zero. Quels sont les dangers qui l'attendent sur cette nouvelle terre inconnue ?
Nous voici dans le second cycle de Kurohimé. Zero est mort, celle-ci part en quête d'un moyen afin de lui redonner la vie. Après un volume très émouvant où se sont passés beaucoup de choses, la série prend un nouveau départ et nous avons un peu là un tome de transition. Accompagnée d'Asura et d'Onimaru toujours transformé en bestiole rigolote, Kurohimé (qui a maintenant un physique entre sa forme normale et celle de Himéko) part en quête de Yamato, pays où se trouve Yamatohimé ayant soi-disant la capacité de faire revenir Zero parmi les vivants. Mais pour cela elle va devoir traverser la mer où elle risque de rencontrer des êtres plutôt étranges...
Ce tome est, bizarrement, pas mal axé humour. Alors que l'on s'attendait à un volume triste où Kurohimé pleure Zero sans s'arrêter, il n'en est rien ! A part quelques souvenirs par-ci par-là celle-ci garde la tête haute et est déterminée plus que jamais à sauver l'homme qui lui a ramené "le véritable amour".
Alors qu'Asura ne s'affiche pas trop et passe au second plan, Onimaru lui nous fait rire à maintes reprises (le passage où il tombe dans les pommes, se réveille mais retombe dans les vapes à la vue du dragon squelette est à mourir de rire !).
Les deux premiers chapitres ressemblent un peu aux histoires que l'on avait au début de la série, cependant on retrouve les légendes japonaises d'Urashima Taro, du palais sous la mer mais aussi de Yamato le pays du Soleil Levant. Dommage que l'éditeur n'ait pas fait quelques pages bonus sur celles-ci.
Ainsi nous avons là un volume étrange, loin d'être mauvais mais assez inattendu dans sa narration. L'auteur a décidé de nous surprendre avec sa série et ça marche plutôt bien. La fin du tome nous promet une suite un peu plus mouvementée cependant.
Re: Kurohimé
Kurohimé #7
Pendant son combat contre le gardien de Yamatohimé, Kurohimé reprend sa vraie forme et retrouve ses pouvoirs, mais c'est au prix de ses souvenirs de Zéro. Kurohimé apprend que pour faire revivre son bien-aimé, elle va devoir libérer Yamatohimé de sa prison. Va-t-elle devoir à nouveau combattre les dieux ?
La lutte de la plus grande des armagiciennes contre les dieux débute dans ce volume orienté vers l'aventure ! Kurohimé va tout d'abord affronté Gandaara le roi des ogres et il va être l'occasion pour elle de se donner à fond dans son combat en améliorant au maximum ses techniques. De l'autre côté du continent un personnage déjà vu auparavant revient sur le devant de la scène et prépare un plan pour affronter notre pauvre héroïne qui a déjà bien assez de boulot.
Kurohimé va se voir dotée de nouveaux objets : Yamatodachi la lame la plus puissante au monde à laquelle il faut apporter eau, terre, vent et feu et les "pétales du coeur". Ce dernier objet représente le coeur de la personne qui la porte, autrement dit dès que Kurohimé se transformera pour retrouver ses pouvoirs d'antan, elle perdre un souvenir de Zéro ! Notre pauvre héroïne se retrouve complètement perdu dans ses choix et vu le faible nombre de pétales, chaque souvenir est un bien précieux...
Durant tout le tome nous avons le plaisir de retrouver la légende de Urashima Taro adapté à la sauce de l'auteur pour un rendu des plus époustouflants ! Ce volume contient sinon d'autres combats haletants entre notre armagicienne et d'autres monstres en tout genre, le tout dans une mise en scène très shonen.
Kurohimé continue d'être bien sympathique donc, il nous tarde de savoir ce qu'il va se passer par la suite et surtout de savoir ce qu'il en est de Zéro : va-t-il revenir ? Telle est la question...
Pendant son combat contre le gardien de Yamatohimé, Kurohimé reprend sa vraie forme et retrouve ses pouvoirs, mais c'est au prix de ses souvenirs de Zéro. Kurohimé apprend que pour faire revivre son bien-aimé, elle va devoir libérer Yamatohimé de sa prison. Va-t-elle devoir à nouveau combattre les dieux ?
La lutte de la plus grande des armagiciennes contre les dieux débute dans ce volume orienté vers l'aventure ! Kurohimé va tout d'abord affronté Gandaara le roi des ogres et il va être l'occasion pour elle de se donner à fond dans son combat en améliorant au maximum ses techniques. De l'autre côté du continent un personnage déjà vu auparavant revient sur le devant de la scène et prépare un plan pour affronter notre pauvre héroïne qui a déjà bien assez de boulot.
Kurohimé va se voir dotée de nouveaux objets : Yamatodachi la lame la plus puissante au monde à laquelle il faut apporter eau, terre, vent et feu et les "pétales du coeur". Ce dernier objet représente le coeur de la personne qui la porte, autrement dit dès que Kurohimé se transformera pour retrouver ses pouvoirs d'antan, elle perdre un souvenir de Zéro ! Notre pauvre héroïne se retrouve complètement perdu dans ses choix et vu le faible nombre de pétales, chaque souvenir est un bien précieux...
Durant tout le tome nous avons le plaisir de retrouver la légende de Urashima Taro adapté à la sauce de l'auteur pour un rendu des plus époustouflants ! Ce volume contient sinon d'autres combats haletants entre notre armagicienne et d'autres monstres en tout genre, le tout dans une mise en scène très shonen.
Kurohimé continue d'être bien sympathique donc, il nous tarde de savoir ce qu'il va se passer par la suite et surtout de savoir ce qu'il en est de Zéro : va-t-il revenir ? Telle est la question...
Re: Kurohimé
Kurohimé #8
Pour hériter du pouvoir de Gembu, le roi des elfes de l'eau, Kurohimé combat la déesse-mère des ogres, Saiyuki. Mais Gembu qui déteste les humains s'est rangé du côté des dieux et permet à Saiyuki d'attaquer avec la force d'un Grand Dieu. Asura affirme alors à Kurohimé que le seul moyen d'en finir est de tuer le grand Gembu lui-même...
La lutte de Kurohimé pour obtenir le pouvoir des rois des elfes continue de plus belle avec un grand combat contre Saiyuki, la déesse-mère des ogres! Kurohimé va vite se rendre compte qu'elle a besoin de plus de pouvoir pour affronter son adversaire et le seul moyen est de convaincre Gembu de partager sa force. Cependant, quelqu'un va intervenir suite à ce combat, et cette personne était loin d'être la bienvenue ! Les choses s'accélèrent, les combats s'enchaînent et d'autres soucis inattendus se trament dans l'ombre : attention, il risque de se passer quelque chose de très grave dans le prochain volume ! Nos héros se retrouvent finalement dans un village pour le moins étrange où l'on y trouve aucun habitant, mais au lieu de ceci plein de plats raffinés qui sortent tout juste du four...étrange non ?
Il faut l'avouer, nous avons ici un tome en demi-teinte : autant les combats sont fabuleux comme toujours, autant ici on retrouve un schéma bien trop classique avec le méchant qui regrette ses actes à la fin du combat, Kurohimé peut être trop mis en avant faisant donc beaucoup d'ombre aux autres personnages qui ont pourtant du potentiel, et enfin une fin de volume très prévisible; c'est dommage, l'auteur nous a habitué a bien mieux. Cependant, il se passe des choses intéressantes du côté des méchants et la série risque de prendre une autre tournure par la suite ! Le volume 5 nous avait marqué en changeant carrément de ton, peut être pouvons nous nous attendre à la même chose du prochain tome ?
Un volume sympathique donc, mais en deçà de ce que l'auteur peut produire.
Pour hériter du pouvoir de Gembu, le roi des elfes de l'eau, Kurohimé combat la déesse-mère des ogres, Saiyuki. Mais Gembu qui déteste les humains s'est rangé du côté des dieux et permet à Saiyuki d'attaquer avec la force d'un Grand Dieu. Asura affirme alors à Kurohimé que le seul moyen d'en finir est de tuer le grand Gembu lui-même...
La lutte de Kurohimé pour obtenir le pouvoir des rois des elfes continue de plus belle avec un grand combat contre Saiyuki, la déesse-mère des ogres! Kurohimé va vite se rendre compte qu'elle a besoin de plus de pouvoir pour affronter son adversaire et le seul moyen est de convaincre Gembu de partager sa force. Cependant, quelqu'un va intervenir suite à ce combat, et cette personne était loin d'être la bienvenue ! Les choses s'accélèrent, les combats s'enchaînent et d'autres soucis inattendus se trament dans l'ombre : attention, il risque de se passer quelque chose de très grave dans le prochain volume ! Nos héros se retrouvent finalement dans un village pour le moins étrange où l'on y trouve aucun habitant, mais au lieu de ceci plein de plats raffinés qui sortent tout juste du four...étrange non ?
Il faut l'avouer, nous avons ici un tome en demi-teinte : autant les combats sont fabuleux comme toujours, autant ici on retrouve un schéma bien trop classique avec le méchant qui regrette ses actes à la fin du combat, Kurohimé peut être trop mis en avant faisant donc beaucoup d'ombre aux autres personnages qui ont pourtant du potentiel, et enfin une fin de volume très prévisible; c'est dommage, l'auteur nous a habitué a bien mieux. Cependant, il se passe des choses intéressantes du côté des méchants et la série risque de prendre une autre tournure par la suite ! Le volume 5 nous avait marqué en changeant carrément de ton, peut être pouvons nous nous attendre à la même chose du prochain tome ?
Un volume sympathique donc, mais en deçà de ce que l'auteur peut produire.
Re: Kurohimé
Kurohimé #9
Kurohimé continue sa lutte effrénée pour retrouver l'âme de Zéro et le ramener dans le monde des vivants. Sur son chemin, elle arrive avec ses compagnons sur les terres glacées de Yuki, la femme des neiges. Alors que le combat est à deux doigts de se conclure d'une bonne manière, Yashahimé surgit de nulle part accompagnée d'un nouvel adversaire : Dark Zéro, qui n'est autre que la fusion des âmes de Dark Rei et de Zéro !
Comme dit dans la chronique du précédent volume, les choses bouleversantes arrivent avec ce volume ! Celui-ci commence d'une manière des plus classiques : l'arrivée de nos héros sur de nouvelles terres avec un nouvel ennemi qui garde prisonnier Byakko, un des rois des elfes. Cela va être l'occasion donc pour voir un combat mêlant armagie et pouvoir des neiges, tout cela sur un fond d'amour. Oui, d'amour. Il est clair qu'au fil des histoires et des dires de l'auteur, nous avons compris que l'élément dont il souhaite mettre en avant dans sa série est bel et bien l'amour, sentiment qui nous pousse à faire des choses incommensurables pour la personne aimée. Ici nous retrouvons donc une histoire d'amour entre Yuki et Yukio, rien de bien original mais tout de même efficace dans la narration.
Mais le meilleur vient après ! En effet, alors que l'on n'est pas vraiment surpris de voir arriver Yashahimé (qui trouve nos héros dès qu'ils se transforment, ce n'est donc pas difficile pour elle...), son nouveau compagnon a lui de quoi surprendre : Dark Zéro, la fusion entre Zéro et Dark Rei ! Et là il faut l'avouer, l'auteur nous offre une prouesse scénaristique qui sort des sentiers battus car ce n'est pas tous les jours que nous voyons le héros fusionné au "grand méchant". De plus, Katakura nous fait baver par le charisme de ce nouveau personnage : "dark" comme il n'est pas permis, avec un oeil dans l'ombre, des membres qui flottent, des mains squelettiques et une carrure qui en impose, les amateurs de vilains qui ont la classe seront aux anges ! Mais qui est réellement ce personnage : Zéro, Dark Rei ? Et bien le mystère reste entier pour l'instant, car si celui-ci affirme être Zéro, sa personnalité n'est absolument plus la même et tend plus vers celle de Dark Rei... Affaire à suivre donc.
Ajoutons également à ceci que les choses ne vont plus être les mêmes pour Kurohimé qui va perdre tout ses pétales sauf un dernier qui lutte, incarnant le souvenir de sa rencontre avec Zéro; cette dernière a donc retrouvé la quasi-majorité de ses pouvoirs !
Nous voici donc impatient de savoir ce qu'il va se passer par la suite, tout simplement car celle-ci est totalement imprévisible ! L'auteur sait réaliser des rebondissements de situation intéressants et vraiment innovants dans le monde du shonen et il faut avouer que l'on se retrouve bouche bée avec ce nouveau personnage : quelle relation va-t-il entretenir avec Kurohimé désormais ? Nous le saurons par la suite qui s'annonce bien plus sombre...
Kurohimé continue sa lutte effrénée pour retrouver l'âme de Zéro et le ramener dans le monde des vivants. Sur son chemin, elle arrive avec ses compagnons sur les terres glacées de Yuki, la femme des neiges. Alors que le combat est à deux doigts de se conclure d'une bonne manière, Yashahimé surgit de nulle part accompagnée d'un nouvel adversaire : Dark Zéro, qui n'est autre que la fusion des âmes de Dark Rei et de Zéro !
Comme dit dans la chronique du précédent volume, les choses bouleversantes arrivent avec ce volume ! Celui-ci commence d'une manière des plus classiques : l'arrivée de nos héros sur de nouvelles terres avec un nouvel ennemi qui garde prisonnier Byakko, un des rois des elfes. Cela va être l'occasion donc pour voir un combat mêlant armagie et pouvoir des neiges, tout cela sur un fond d'amour. Oui, d'amour. Il est clair qu'au fil des histoires et des dires de l'auteur, nous avons compris que l'élément dont il souhaite mettre en avant dans sa série est bel et bien l'amour, sentiment qui nous pousse à faire des choses incommensurables pour la personne aimée. Ici nous retrouvons donc une histoire d'amour entre Yuki et Yukio, rien de bien original mais tout de même efficace dans la narration.
Mais le meilleur vient après ! En effet, alors que l'on n'est pas vraiment surpris de voir arriver Yashahimé (qui trouve nos héros dès qu'ils se transforment, ce n'est donc pas difficile pour elle...), son nouveau compagnon a lui de quoi surprendre : Dark Zéro, la fusion entre Zéro et Dark Rei ! Et là il faut l'avouer, l'auteur nous offre une prouesse scénaristique qui sort des sentiers battus car ce n'est pas tous les jours que nous voyons le héros fusionné au "grand méchant". De plus, Katakura nous fait baver par le charisme de ce nouveau personnage : "dark" comme il n'est pas permis, avec un oeil dans l'ombre, des membres qui flottent, des mains squelettiques et une carrure qui en impose, les amateurs de vilains qui ont la classe seront aux anges ! Mais qui est réellement ce personnage : Zéro, Dark Rei ? Et bien le mystère reste entier pour l'instant, car si celui-ci affirme être Zéro, sa personnalité n'est absolument plus la même et tend plus vers celle de Dark Rei... Affaire à suivre donc.
Ajoutons également à ceci que les choses ne vont plus être les mêmes pour Kurohimé qui va perdre tout ses pétales sauf un dernier qui lutte, incarnant le souvenir de sa rencontre avec Zéro; cette dernière a donc retrouvé la quasi-majorité de ses pouvoirs !
Nous voici donc impatient de savoir ce qu'il va se passer par la suite, tout simplement car celle-ci est totalement imprévisible ! L'auteur sait réaliser des rebondissements de situation intéressants et vraiment innovants dans le monde du shonen et il faut avouer que l'on se retrouve bouche bée avec ce nouveau personnage : quelle relation va-t-il entretenir avec Kurohimé désormais ? Nous le saurons par la suite qui s'annonce bien plus sombre...