Bleach 24 : En 3 lettres, nul. Aucun poncif scénaristique du shônen ne nous est épargné dans ce magnifique tome : hop, un sacrifice bidon ; tiens, un intervenant incongru (déjà vu mais complètement anecdotique jusqu'à maintenant) qui se fait latter en 2 pages de temps (ça valait le coup de le sortir du chapeau, tiens) ; et vas-y que je te fais une montée en puissance subite (et sous un prétexte pourri en plus) et bien sûr la magnifique interruption du combat par le méchant pour une raison vue une centaine de fois et sous prétexte que le héros n'est pas à la hauteur. Si c'est pour se faire éclater d'ici une dizaine de tomes, hein, c'est clair que ça vaut le coup. Dans ce tome inutile, on apprend également que les ennemis affrontés par les capitaines ne sont que du menu fretin (sans déc' ?) et que ce sont des Espagnols, qui doivent certainement être très poilus, catholiques et aux longs doigts puant la paëlla.
Seule chose à sauver de ce tome, 2 superbes pages d'ouverture pour le chapitre 213, qui sans aucun mot (ça nous épargnera des répliques nanardes) font passer beaucoup de choses.
Un tome très mauvais, encore plus que les précédents. Du coup, je me demande, Bleach est-il devenu vraiment mauvais ou ai-je passé l'âge de ces conneries ?
