mais il en manque 2 notables : le sosie argenté de Zatch et Burago.
Sans oublier Ted, le démon motard, dont on doit encore assister aux retrouvailles avec Cherish (émotion en perspective), et surtout Bari, le démon dont le pouvoir doit bien égaler celui de Burago.
Au total, il reste 22 démons. Après la bataille contre faudo, je doute qu'il reste plus de 10 démons. Des alliés de Zatch sont condamnés à disparaître à un moment ou à un autre, histoire de faire avancer le scénario. À moins que le système de téléportation de Faudo ne les renvoie tous dans le monde des démons, là où brûler leurs livres ne signifiera plus leur disparition.
Mais à 12 volumes de la fin, pas le choix, les combats doivent devenir plus rudes. Dommage que Zatch aie toujours l'air si faible par rapport à ses adversaires. Et sincèrement, j'ai du mal à voir qui parmi les alliés de Zatch pourrait avoir raison de Burago, Bari ou Zéon.
En ce qui concerne le volume 22, l'auteur ne perd pas de temps et Faudo se réveille rapidement. C'est une des qualités de Zatch bell d'aller droit à l'essentiel, sans délayer trop le moment où il faudra affronter le grand adversaires. Quatre volumes après que la menace succédant au démons millénaires ait été dévoilée, Zatch y fait déjà face. Les combats sont rondement menés, l'affrontement bien géré et agréable à suivre. Et on attend toujours avec impatience la suite.
Zatch bell, c'est typiquement le manga que objectivement je trouve moyen, mais que je ne peux pas m'empêcher d'apprécier pour sa simplicité, la violence et la bonne mise en scène de ses combats, et son univers. On a beau se dire que c'est terriblement classique, c'est malgré tout prenant car l'auteur n'essaie pas d'en faire de trop et est parfaitement à l'aise avec son histoire et ses personnages. Définitivement meilleur que Bleach et consort, qui nous sorte eux aussi du combat en-veux-en-voilà, mais sans ce feeling qui donne une cohérence à l'ensemble.