Hayate the combat butler

Destinés à un public adolescent masculin mais faisant néanmoins fureur chez certain(e)s adultes et/ou jeunes filles, les shonen ont droit à leur propre rubrique!
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Koiwai
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Re: Hayate the combat butler

Message non lu par Koiwai » 06 janv. 2016, 16:16

Tome 22 :

Tandis qu'en Italie, l'éternel enseignant célibataire Kaoru essaie désespérément de faire comprendre ses sentiments à Yukiji pour un résultat catastrophique très amusant, le voyage en Grèce se poursuit pour Hayate et les autres, avec une délirante "chasse au pélican" pour récupérer le précieux chapeau de Nagi. Puis après un début de tome très axé humour, le voyage se poursuit jusqu'à Athènes, où, entre autres, Nishizawa se fait un bonheur de découvrir les richesse de la ville avec l'aide de Nagi, et Hinagiku stresse à l'idée de son dîner avec Hayate... d'autant qu'une fois de plus, la jeune fille en arrive à pense que Hayate la déteste, et les tentatives de Maria pour éclaircir les choses n'arrangent rien ! Entre les quiproquos, les suspenses sentimentaux et les moments de plaisir des personnages, le voyage semble donc se poursuivre dans la joie et la bonne humeur...

Vraiment ? Hé bien, pas tout à fait, car l'heure de retrouvailles attendues depuis plusieurs tomes, et sur lesquelles Kenjirô Hata a su distiller une certaine attente, sont enfin arrivées... et comme on pouvait s'en douter, elles vont chambouler Hayate. Les événements survenus dix ans auparavant, qui l'ont tant conditionné et n'ont jamais quitté sa mémoire, refont surface en me^me temps qu'une fille qu'il n'a jamais oublié pendant toutes ces années. Et l'impact sur le ton de la série est excellente, dès ces retrouvailles qui, une fois de plus, apparaissent presque surnaturelles dans la façon dont elles se font. Bien qu'il soit toujours là, l'humour se fait de plus en plus discret au fil des pages, car on suit un Hayate qui a perdu son habituel sourire, se replonge dans son passé pour faire le point sur ce qu'il ressent... et le résultat amène une fin de volume intense qui laisse de fortes attentes pour la suite. Que fera Hayate ? Qu'adviendra-t-il des sentiments de Hinagiku et des autres ? Quels rebondissements ces retrouvailles plus douloureuses que joyeuses vont-elles amener autour de la fortune des Sanzen'in ? On a hâte de le savoir. En attendant, mission réussie pour Hata, qui nous offre des retrouvailles marquantes dans leur ambiance, grâce à une narration finement menée.
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Re: Hayate the combat butler

Message non lu par Koiwai » 06 janv. 2016, 16:16

Tome 23 :

Il y a dix ans, la rencontre de Hayate et d'A-tan marquait à jamais le destin de ces deux enfants amoureux mais séparés de façon dramatique. Et il a fallu attendre le séjour en Grèce pour que notre héros recroise la route de celle qui n'a jamais quitté son esprit... mais qui, elle, semble l'avoir oublié. Profondément chamboulé par ces inattendues retrouvailles avec cette jeune fille qu'il pensait ne jamais revoir, notre héros a en plus appris certaines choses sur elle : est est l'une des proviseurs de l'institut Hakuô, mais n'apparaît quasiment jamais en public, la seule personne ayant noué contact avec elle étant Hinagiku. Et Hayate doit désormais faire le point, comprend qu'il aime encore Athéna, et l'avoue à Hina alors que celle-ci s'apprêtait à lui faire part de ses sentiments...

La 22ème volume s'achevait de façon intense sur toutes ces considérations très intrigantes. Quelle sera la réaction de la pauvre Hina ? Hayate pourra-t-il dire tout ce qu'il a sur le coeur à Athéna ? A-tan l'a-t-elle vraiment oublié ? Et que deviendra Nagi dans tout ça ?

Les questions se bouscule, et il est appréciable de voir que Kenjirô Hata n'oublie aucune de ses pistes. Forcément troublée, Hina pourra-t-elle elle-même faire le point de son côté et ne as s'enfermer dans la tristesse ? La jeune fille est certes forte, mais aura sans doute besoin de soutien, à commencer par celui de Miki. Mais ce sont bien les nombreux tourments de Hayate qui animent un tome pour le moins étonnant.
Etonnant, car l'humour a beau être encore présent par bribes essentiellement grâce à Makina, il s'avère désormais beaucoup plus effacé pour laisser place à une ambiance qui renoue avec l'aspect surréaliste d'il y a dix ans, qui est à nouveau ponctué de références importantes (Saint Seiya, Utena) ou plus discrètes (Bastard), et qui est surtout marqué par une atmosphère plus sérieuse, plus dramatique, et où l'on a même droit à des scènes d'action dépourvues du moindre élément comique (notamment par l'intermédiaire d'une Isumi qu'on n'avait encore jamais vue aussi sérieuse).

Et l'ensemble est globalement captivant. Il se traine un peu par instants, mais dégage parfaitement l'essentiel : les informations autour d'Athéna s'enchainent à nouveau, laissent notamment deviner toute la tristesse qui l'a sans doute rongée ces dernières années, et au bout de tout ça Hayate devra très vite faire un choix aussi difficile que primordial, où il devra peut-être sacrifier le bonheur de l'une des deux personnes en qui il tient le plus...

On peut dire que Kenjirô Hata étonne plus que jamais en consolidant encore l'aspect dramatique, sérieux et sombre. Au coeur d'un manga habituellement comique, le mangaka ose, surprend, continue d'exploiter des ficelles qu'il a savamment distillées tout au long des tomes précédents... et le résultat est là : dans sa postface du tome 22, l'auteur conseillait de lire les volumes 23 et 24 à la suite, et on comprend parfaitement pourquoi.
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Re: Hayate the combat butler

Message non lu par Koiwai » 07 janv. 2016, 22:26

Tome 24 :

Préserver la pierre royale des Sanzen'in et protéger la fortune de Nagi, et voir Athéna sombrer jusqu'à ce qu'elle disparaisse.
Briser la pierre, sauver Athéna, et condamner Nagi à perdre tout ce qu'elle a au risque de briser son bonheur.

Hayate est face à un choix cruel, où il semble impossible de protéger à la fois les deux personnes qui ont changé sa vie et en qui il tient le plus. L'ambiance plus sérieuse et dramatique que jamais s'est largement confirmée, et l'on s'attendait à suivre dans ce volume de longs tiraillements chez notre héros... C'était mal connaître Nagi. Car assez vite dans le volume, c'est bien elle qui prend une décisions on ne peut plus étonnante de sa part. La jeune fille, habituellement si égoïste ou capricieuse, prouve ainsi qu'elle a bien évolué aux côtés de Hayate, et à quel point elle tient au sourire de son majordome, au fil d'une scène superbement mise en scène, où les décors nocturnes et le sourire réconfortant de l'héritière des Sanzen'in apportent une certaine mélancolie.

Mais au bout de cette très belle scène, rien n'est fini pour autant : sous l'emprise de l'être divinisé Midas, Athéna est toujours en danger, son esprit s'affaiblit, celui de Midas prend le dessus... Un ultime affrontement doit se tenir entre elle et Hayate, le jeune garçon pourra-t-il seulement la sauver et s'expliquer avec elle ? Réponse au bout d'un duel très joliment mis en scène, porté par des décors surnaturels à l'ambiance délicieuse, et surtout par le voile qui se lève sur ce qu'A-tan ressent au plus profond d'elle, jusqu'à une fin de volume particulièrement touchante.

Mais tout cela est loin d'être la seule richesse du volume, car dans le même temps, une ambiance de fête s'est installée à l'hôtel loué par Nagi, et quasiment tous nos héros en voyage s'y sont réunis pour marquer comme il se doit la fin de leur périple en Grèce. L'ambiance se veut plutôt chaleureuse entre les différents personnages, l'humour refait surface par bribes, et c'est surtout l'occasion pour certains personnages de faire le point sur ce qu'ils ressentent. Ainsi Hinagiku et Nishizawa, plus soudées que jamais dans leur amitié et leur amour pour l'instant déçu, s'avèrent-elles très touchantes. Sans oublier une Yukiji surprenante, s'éloignant brièvement de son rôle habituel pour afficher un visage de grande soeur bienveillante. Le meilleur dans tout ça ? Peut-être le don de Kenjirô Hata pour intégrer l'humour au coeur des événements plus dramatiques ou mélancoliques, à l'image de la déferlante de monstres bizarres, ou des déguisement rigolos que Hina et Nishizawa portent alors qu'elles se confessent ce qu'elles ressentent.

L'arc sur Athéna n'est pas encore tout à fait terminé, et l'on a hâte de voir quel en sera la suite et peut-être fin, d'autant que de grands changements risquent d'arriver très vite dans la vie de nos héros. En attendant, ce tome est peut-être le point d'orgue d'un arc qui fut bien mené et fut très étonnant dans une comédie de ce genre. Chapeau.
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Re: Hayate the combat butler

Message non lu par Koiwai » 18 janv. 2016, 18:59

Tome 25 :

"Il n'y a personne. Personne ne vient. Je n'entends personne. Personne ne m'appelle. Je suis seule. Toujours seule. Je suis seule, ici... pour l'éternité. Mais je ne peux m'en prendre qu'à moi."

Il a été entamé dans le tome 17, il trouve sa conclusion dans ce 25ème volume. L'arc "The End of the world", centré sur le passé de l'enfant Hayate aux côtés de son amour A-tan, trouve, 8 opus plus tard, et après bien des événements tantôt drôles tantôt plus douloureux, une conclusion tout en mélancolie, où nous découvrons enfin le ressenti triste et cruel de la jeune Athéna après sa dispute avec Hayate. Les explications sur la manière dont elle s'est séparée de Hayate il y a dix ans témoignent surtout, de façon cruelle, de tout l'amour qu'elle portait à notre héros, et les informations sur ce qui lui est arrivé après le départ de Hayate sont intéressantes, autant pour ce qui la concerne que pour ce qu'elles apportent sur un personnage souvent évoqué mais jusque là absent et très mystérieux : Ikusa, le grand frère disparu de Hayate.

C'est alors dans une ambiance plus douce-amère que jamais que se referme ce flashback habilement narré... mais tout est-il fini pour autant concernant Athéna ? Certainement pas. Car dans le présent, à Athènes, Hayate l'a enfin retrouvée, l'a sauvée des griffes de Midas... et doit désormais s'expliquer une dernière fois avec elle, dans l'émotion et les regrets, au sujet de leur séparation dix ans auparavant, et de ce qu'ils ont continué à ressentir l'un pour l'autre pendant tout ce temps. Après tout, la nuit est encore loin d'être finie, et c'est sous le ciel étoilé scintillant et devant la lune, dans une ambiance plus mélancolique et surnaturelle que jamais, que Kenjirô Hata boucle enfin la boucle, mêlant avec force images du passé et du présent, images de ces enfants amoureux devenus adolescents. Et après Nagi dans le volume précédent, c'est au tour d'Athéna de prendre une décision difficile et témoignant tout son attachement à Hayate.
Il ne pouvait y avoir plus belle conclusion pour cette partie sur A-tan, qui fut superbement narrée par son auteur. Kenjirô Hata, en prenant soin d'étaler les choses sur 8 tomes, en les entrecoupant de passages comiques plus typiques de sa série, a su étonner de par la teneur de cette partie, a réussi à émouvoir et à révéler beaucoup de choses sur ses personnages sans alourdir son oeuvre. Il a parfaitement joué son coup. Et au vu des nombreuses pistes mystérieuses qu'il est encore possible de développer (autour du frère de Hayate, de la mère de Nagi, de l'avenir de cette dernière, de la fortune des Sanzen'in...), on peut supposer qu'il nous resservira le même genre de choses plus tard.

Mais dans l'immédiat, l'arc sur Athéna a aussi un autre mérite : il nous promet un important bouleversement dans la série, qui devrait amener parfaitement un certain renouvellement. En effet, pour Hayate, Nagi vient de renoncer à ce qu'elle avait de plus important : la fortune des Sanze'nin, qui lui permettait jusqu'à présent de vivre sans connaître la moindre difficulté. Et aux côtés de son majordome et des autres, elle va devoir dire adieu à l'immense demeure où elle habitait, pour trouver un logement et une vie sans doute plus modestes. Et la première partie de cette nouvelle vie s'annonce délicate, puisque Hayate devra trouver pour sa jeune maîtresse un nouvel habitat, avec une somme très limitée ! Dans cette nouvelle vie qui s'annonce, l'humour revient au galop, notamment via les souhaits du tigre Tama ou via les mésaventures de Hayate et de Maria avec un gang de chats aux dégaines improbables, mais on peut aussi y retenir la petite prise d'importance et les petites informations surprenantes concernant ce cher Klaus ! Voila qui commence bien cette nouvelle orientation de la série. On a hâte de voir ce que l'auteur nous réserve désormais.
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Re: Hayate the combat butler

Message non lu par Koiwai » 20 janv. 2016, 18:56

Tome 26 :

Une toute nouvelle vie commence pour Hayate, Nagi et Maria. La jeune Sanzen'in ne peut désormais plus compter sur la fortune de sa famille, et c'est avec de nouveaux projets en tête qu'elle part s'installer dans sa nouvelle demeure, une vieille bâtisse en bois de 30 ans d'âge, que sa mère avait autrefois laissée à Klaus. Mais avant de s'y installer, Hayate et Maria auront fort à faire pour nettoyer la maison, car personne n'y a mis les pieds depuis 30 ans... personne, hormis des chats sauvages et un étrange fantôme qui va leur jouer quelques tours...

Après la fin douce-amère de l'arc sur A-tan dans le tome précédent, Kenjirô Hata continue ici de poser les nouvelles bases de sa série, avec un changement de cadre qui se fait petit à petit, et en renouant avec le typique humour agréable de l'oeuvre. Ainsi, le fantôme de la bâtisse jouera-t-il quelques tours à une Izumi plus... féline que jamais.
Mais à peine cette affaire est-elle réglée et Nagi est-elle installée qu'elle doit déjà réfléchir à une chose importante : trouver de quoi s'assurer des revenus réguliers ! Entre plusieurs idées parfois farfelues, se dégage celle de louer les pièces non-occupées de la résidence pour percevoir des loyers. Mais encore faut-il trouver des gens ayant envie de louer une chambre dans une vieille bicoque avec salle de bains commune...

On devine que Hata prendra son temps pour amener petit à petit des locataires, puisqu'il n'y en a qu'un au bout de ce tome, à savoir une Chiharu que l'on apprécie de voir un peu plus mise en avant, et qui noue assez vite une relation avec Nagi grâce... aux jeux vidéo. Et tant mieux, car ainsi, les choses paraissent plus naturelles, et l'auteur a tout le loisir de faire arriver convenablement les locataires, tout en travaillant convenablement ses personnages (ici, le petit sentiment de solitude de Nagi, et la façon dont cette nouvelle vie devrait la pousser à plus se sociabiliser). Même si ici, la chute sur l'arrivée de Chiharu est aussi idiote qu'amusante. Et l'autre locataire sur le point d'arriver est un morceau de choix, puisqu'il s'agit du tigre Tama ! Mais encore faut-il réussir à l'amener jusqu'à la résidence discrètement, la tâche n'étant pas aidée par une Hinagiku décidément malchanceuse dès qu'elle se retrouve seule avec Hayate... Suite de l'affaire dans le prochain tome !

A cela, il faut ajouter un passage de très bonne facture concernant l'anniversaire d'une Nishizawa qui croit que tout le monde l'a oubliée, et qui est l'occasion de la mettre un peu en avant de façon à la fois amusante et touchante, et de consolider un peu son amitié avec Nagi. Et l'on obtient, au bout du compte, un volume qui s'avère fort agréable pour reprendre doucement mais efficacement les nouvelles bases après l'impressionnant arc sur Athéna.
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Re: Hayate the combat butler

Message non lu par Koiwai » 23 janv. 2016, 15:46

Tome 27 :

Tandis que Nagi commence sa vie dans la vieille résidence et qu'une première locataire, Chiharu, est arrivée, Hayate tente désespérément de ramener discrètement le tigre Tama auprès de sa maîtresse, mais tombe sur un os en croisant Hinagiku. Hina n'est pourtant que le premier obstacle pour ramener Tama, car après cette première épreuve surtout comique, un autre danger plus mystérieux arrive, des flèches étant décochées sur le carton où se trouve le tigre...
Quant à la suite, elle voit Nagi prendre une importante décision : consciente que la location de chambres ne sera peut-être pas suffisante pour entretenir les finances, elle décide de dessiner des mangas pour gagner de l'argent ! Mais a-t-elle seulement le talent pour ça ?

Ce tome est essentiellement occupé parla tentative de Nagi de devenir mangaka, ce qui est l'occasion pour Kenjirô Hata de faire revenir d'anciens visages que l'on n'avait pas vus depuis très longtemps, à savoir le mangaka Kôji Ashibashi, et Kôtarô Azumamiya ! Et si les choses commencent de façon très drôle grâce à une Nagi persuadée qu'elle a dessiné un chef d'oeuvre alors que son manga est improbable, la suite sait se faire un peu plus touchante. Car en rencontrant Ashibashi, la jeune fille va comprendre qu'elle n'est pas au-dessus du lot. Son rêve de devenir mangaka est brisé, elle doit se remettre en question, pour un résultat étonnamment touchant, même si l'humour est toujours présent. Pour preuve, Nagi est tellement déprimée qu'elle devient sérieuse en cours !
Mais tout ceci n'est que la première étape nous amenant vers une nouvelle partie prometteuse : au contact d'une Chiharu qui l'aide un peu à surmonter ses désillusions, Nagi est amenée à faire ses premiers pas dans un univers qu'elle ignorait totalement : celui des fanzines ! Et on peut dire que le mangaka parvient à poser de façon intéressante cette nouvlele aprtie, avec en plus des interrogations sur Luka, et l'arrivée d'une petite rivalité avec le cercle de recherche Maizumi.

A l'entrée en matière efficace de ce nouvel arc, il faut ajouter l'omniprésence de l'humour : la méconnaissance totale de Nishizawa en matière de manga (au point qu'elle trouve le manga de Nagi bon, c'est dire...), sa mésentente avec Kôtarô, les nouvelles mésaventures de la "soubrette" Hayate en fin de tome... Mais c'est encore un autre élément qui intrigue beaucoup tout au long du tome : l'entrée en scène d'une nouveau personnage, Yozora Hôsen, on ne peut plus énigmatique et inquiétante, puisqu'elle se rapproche de Hayate et de Nagi pour une raisons mystérieuse et qui n'annonce pas de bonnes choses... et avec elle apparaissent de nouveaux mystères, essentiellement au sujet d'une mystérieuse photo à l'effigie du "28ème descendant"... A quoi correspond-elle ?

Ne perdant pas de vue son humour, parvenant également à s'intéresser encore et toujours à ses personnages (ici, Nagi et ses désillusions d'apprentie mangaka), et n'étant pas avare en nouvelles pistes intrigantes et intéressantes, Kenjirô Hata démarre de fort bonne manière l'arc des fanzines !
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