Saint Seiya Lost Canvas

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zoulrak
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Re: Saint Seiya Lost Canvas

Message non lu par zoulrak » 27 juil. 2009, 19:09

Je viens de finir le tome 6 de Lost Canvas.
Cette série me plait vraiment, je retrouve l'esprit de la série originale mais avec sa touche personnelle c'est vraiment sympa.
Moi qui suis du signe du taureau j'avais toujours été déçu du personnage que je trouvais moyen dans ces actions. Depuis que je lis Saint Seiya j'ai toujours regretté de na pas être né sous le signe de la Vierge :lol:
Mais j'avoue qu'après la lecture du tome 6 je peux suis fier d'annoncer que le taureau est le plus héroïque des chevaliers d'or !!! :mrgreen:
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né un11septembre
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Re: Saint Seiya Lost Canvas

Message non lu par né un11septembre » 28 juil. 2009, 09:51

MODE DISCUSSION PUERILE ON
quelle blague, le taureau est balayé par la vierge d'un battement de paupière
MODE DISCUSSION PUERILE OFF

Je continue à beaucoup apprecier l'esthetisme du dessin. on n'est pas dans le manièrisme horripilant de seiya G ni dans l'exageration caricaturale de la série mère. il faut reconnaitre que la touche feminine de Teshirogi fait du bien à une narration finalement assez conventionnelle.
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Erkael
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Re: Saint Seiya Lost Canvas

Message non lu par Erkael » 12 sept. 2009, 16:27

Vol 7: Voilà un tome véritablement passionnant qui apporte du renouveau à la série, un peu de sang neuf malgré le fait que l’on devine et pressente de nombreuses choses !
Avec ce volume la série s’émancipe vraiment du Saint Seiya original, et ce tout en gardant les multiples références qui sauront ravir les fans !
Toujours beaucoup d’action, mais parfaitement intégrée dans une histoire tenant la route et qui arrive à nous accrocher ; on sort de la linéarité que l’on pouvait redouter, et malheureusement inhérente à Saint Seiya…ici il s’agit véritablement d’un guerre, les deux camps attaquent tour à tour, en envoyant des soldats en première ligne, en élaborant des stratégies visant à déstabiliser l’adversaire…alors bien entendu, ce n’est pas non plus un traité de stratégies guerrières, mais le tout tient admirablement la route.
Mais les petits plus qui font la différence sont les différents clins d’œils mélangés aux nouveautés qu’apportent l’auteur. On apprend que le maître de Jamir et le grand Pope sont jumeaux…forcément on pense à Saga et Kanon, mais surtout à Shion et Doko quand on apprend qu’ils sont deux survivants de la précédente guerre Sainte…tout comme les deux précités le deviendront à l’issue de celle ci. Manigolodo, le chevalier du Cancer, est en tout point identique à son successeur au niveau de l’apparence, et l’auteur nous bluffe un moment en nous faisant croire qu’il s’agit lui aussi d’une ordure…mais il tombe le masque et vient défendre Tenma…on attend avec impatience d’en apprendre plus sur lui. Autre petit détail, on voit l’espace d’une image, le grand Pope avec son ancienne armure : justement celle du Cancer…et mine de rien, cela fait plaisir de voir de nouvelles têtes revêtir des armures que l’on connaît bien (c’est et cela restera le plus gros défaut de cette série : la similitude entre les deux générations de Chevaliers) !
Ajoutez à cela que l’auteur agrémente le bestiaire de nouvelles créatures, en plus de créer de toute pièce un nouveau spectre particulièrement réussi…bref on a entre les mains un excellent tome qui permet à Lost Canvas de prendre son envol sans avoir à se soucier de son parent !
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Erkael
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Re: Saint Seiya Lost Canvas

Message non lu par Erkael » 13 oct. 2009, 18:48

Vol 8: L’aventure Lost Canvas se poursuit pour le meilleur et…le meilleur ! Un nouveau chevalier d’or est à l’honneur après Albafica du Poisson, Asmita de la Vierge et Aldébaran du Taureau, c’est au tour de Manigoldo du Cancer ! Et comme ses prédécesseurs, il est bien différent du chevalier avec lequel il partagera son armure dans la série d’origine !
Alors que dés son apparition l’auteur a fait planer le doute, il ne sera pas la bête sanguinaire qu’était DeathMask…on se retrouve avec un chevalier fanfaron, amusant, presque taquin qui passe son temps à se moquer de ses adversaires en leur balançant des petites vannes…il possède véritablement une personnalité ! D’autant plus que l’auteur introduit un petit flash back le présentant enfant…vraiment de quoi nous satisfaire.
Bien sur les mauvaises langues reprocheront au titre, une certaine redondance malgré une approche différente et originale de la première série, et ils auront raison : depuis le début, dés qu’un chevalier d’or fait son apparition, il brille le temps d’un court moment, en impose par sa puissance et se sacrifie héroïquement pour la bonne cause…on aurait bien entendu préféré qu’ils soient tous plus présents ou au moins utilisés à plusieurs reprises (même si leur mort à tous ne fait aucun doute, du fait de la cohérence avec la première série). Et c’est également dommage que les premiers sacrifiés soient ceux que l’on voyaient le moins dans la série originelle… voilà pour les défauts !

A coté de ça, l’auteur trouve le moyen de développer encore l’univers de la série, en présentant le grand pope actuel, en créant des liens maître-élèves, presque des liens de filiation, venant approfondir la présente série et renforçant son identité propre ! Elle se permet de donner naissance à de nouvelles techniques inédites pour le chevalier du Cancer qui avait été jusque là sous exploité, vraiment de quoi combler les fans !
Et surtout, terminée la linéarité que l’on pouvait reprocher au titre, du moins à l’original, l’auteur va ici sauter les étapes, alors que tous les spectres ne sont pas vaincus, que les Juges des enfers sont encore là, Manigoldo et son maître vont directement s’attaquer à Thanatos, le Dieu de la Mort, rien que ça…un surprise de taille qui vient encore confirmer l’émancipation au titre d’origine ! Et si on ne cesse de le répéter depuis quelques tomes, cela se confirme encore un peu plus, car malgré tout, la comparaison se fait malgré nous…mais c’est avec des volumes comme celui ci, de cette qualité et contenant ces surprises là que la série conquiert peu à peu son indépendance…tout en sachant se montrer fidèle et respectueuse de son aîné…paradoxe dites vous ? Pas du tout ! Tel un enfant qui s’appuie sur le modèle de son parent, Lost Canvas c’est fait « un prénom » (pour rester dans la métaphore filiale) et va peut être dépasser la génération précédente !
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Re: Saint Seiya Lost Canvas

Message non lu par Erkael » 13 déc. 2009, 17:48

Vol 9: Les volumes se suivent et ne se ressemblent pas dans cette série qui ne cesse de se bonifier ! L’intérêt est en permanence renouvelé, pas de redondance, nouveaux personnages qui apparaissent tour à tour, chacun apportant sa pierre à l’édifice…on est bien loin ici du schéma linéaire de la série d’origine. Bien entendu on retrouve le même schéma depuis le début…dés qu’un adversaire puissant apparaît, un chevalier d’or fait également son apparition pour se sacrifier avec les honneurs ; mais étant donné qu’on sait dés le début qu’ils doivent mourir (on ne refait pas l’histoire après tout), autant qu’il meurent avec panache…et pour le moment ce fut le cas pour tous. L’auteur refait intervenir rapidement le temps de quelques cases, le charismatique Manigoldo, dernier adieu pour un départ tragique et émouvant…vraiment très réussi.
Le problème venant justement de là, les chevaliers d’or pour la plupart, meurent dés leur première apparition, ce qui laisse peu de temps pour s’attacher à eux et être affecté par leurs décès, mais l’auteur arrivant à mener sa barque correctement s’en sort très bien, et arrive à leur insuffler une personnalité et à nous toucher.
Ainsi un retour est fait sur le sacrifice du grand pope qui a permis d’emprisonner une des plus redoutable menace protégeant Hadès : Thanatos le dieu de la mort.
Et là encore, la surprise est forte et l’effet fait carrément mouche : dans la première série, on connaissait, les Dieux jumeaux, Hypnos et Thanatos et les trois juges des enfers, seuls véritables obstacles avant Hadès…ce n’était pas suffisant pour sacrifier dix chevaliers d’or, même en trouvant d’autres astuces. Et bien que cela ne tienne, dans ce volume apparaissent les quatre dieux du monde des rêves, les fils de Hypnos ! (dont Kurokawa nous fait un petit historique en fin de tome, dans les pages bonus…excellente initiative qui mérite d’être signalé encore et encore). Quatre nouveaux ennemis possédant tous une classe folle et suffisamment de prestance et de charisme pour mériter d’entraîner un chevalier d’or avec eux ; et cette fois, se sera El Cid, le possesseur de l’armure du Capricorne qui est à l’honneur. Pour le moment il tient encore le coup, mais les quatre Dieux du monde des rêves ne sont pas encore tombés.
Tenma n’est pas oublié pour autant, il doit lutter contre ses propres désirs et souvenirs du passé, qui lui sont projetés par un des quatre Dieu. Et là nouvelle surprise : il revêt la Kamui de Pégase qu’on était loin d’attendre aussi tôt !

Tout ça pour dire qu’on a une nouvelle fois un tome de très grande qualité, que la série ne cesse de nous surprendre et de nous tenir en haleine…un must tout simplement !
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Re: Saint Seiya Lost Canvas

Message non lu par hdix » 05 janv. 2010, 09:47

Je suis assez d'accord avec toi dans l'ensemble.
En plus de ca, les combat ne s'éternise pas inutilement, ça y va, ça tergiverse pas, voire même limite des fois c'est un peu rapide.
justement qd tenma revête la kamui de pégase, en un coup c'est réglé. Alors que bon c'est qd même un dieu du rêve.
Mais bon a la limite je préfère ça que qd ça traine.

Par contre seul reproche que je peux réellement faire, alors après c'est peut être que moi, mais j'ai l'impression que les dessins se densifient, ca devient brouillon sur certaines pages où j'ai du mal à distinguer ce qu'il se passe.
C'est qd même pas deja la vieillesse ?? :evil:
Ça m'empêche un peu d'apprécier certaines actions, mais bon, ça ne fait ça qu'à moi ??
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Re: Saint Seiya Lost Canvas

Message non lu par né un11septembre » 09 janv. 2010, 10:43

hdix a écrit :Par contre seul reproche que je peux réellement faire, alors après c'est peut être que moi, mais j'ai l'impression que les dessins se densifient, ca devient brouillon sur certaines pages où j'ai du mal à distinguer ce qu'il se passe.
C'est qd même pas deja la vieillesse ?? :evil:
Ça m'empêche un peu d'apprécier certaines actions, mais bon, ça ne fait ça qu'à moi ??
je sors d'une récente lecture de 15 tomes de seiya G: c'est, comparativement, limpide comme graphisme. :lol:
non, c'est vrai qu'il faut parfois se concentrer sur le dessin pour piger le sens de l'action. la dessinatrice ne brille pas specialement dans les scenes d'action.
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Re: Saint Seiya Lost Canvas

Message non lu par Mr White » 15 janv. 2010, 15:13

etant un grand fan de saint seiya ( un jour je vous montrerait des photos de ma collection de myth cloth ) il me falait reagir dans ce topic .

quand j'ai entendu parler pour la premiere fois de ce manga j'etais enthousiaste ( et c'est peu de le dire ) je me suis donc jeter dessus comme seiya sur le danger et ce malgrer qu'on connaisse deja la fin ; au debut tout allais bien mais petit a petit j'ai commencer a me lasser du manque d'inovation si on lisait une page sur deux ou meme trois on en serait que trop peu deboussoler ; les chevaliers d'or ont la meme tete que leurs successeurs: presque les memes origines ; le scenario de l'histoire est vraiment basique alors moi pour l'instant je dis stop ; peut etre que je reviendrait a cette serie plus tard mais pour l'instant je ne trouve pas de pretexte ou d'assez bonne condition pour continuer ce manga .

par contre ceux qui doivent etre content c'est bandai avec la pletore de myth qu'il vont pouvoir sortir leur poches vont vraiment s'alourdir
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Aldébaran
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Re: Saint Seiya Lost Canvas

Message non lu par Aldébaran » 12 févr. 2010, 14:01

Erkael a écrit :Et toujours sur ce même principe Mu du Belier, il sort d'ou puisque Shion était toujours là?
Il ne me semble pas que quelqu'un a répondu à cette question, donc je le fait.

Lorsqu'un chevalier d'or devient Grand Pope, il renonce à son armure. C'est pour ça que Mu a remplacé Shion dans la maison du bélier et que Manigoldo a remplacé son maître dans celle du cancer (dans Lost Canvas).
Même mort, je continuerai le combat.

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Re: Saint Seiya Lost Canvas

Message non lu par Erkael » 13 févr. 2010, 00:45

Aldébaran a écrit :
Erkael a écrit :Et toujours sur ce même principe Mu du Belier, il sort d'ou puisque Shion était toujours là?
Il ne me semble pas que quelqu'un a répondu à cette question, donc je le fait.

Lorsqu'un chevalier d'or devient Grand Pope, il renonce à son armure. C'est pour ça que Mu a remplacé Shion dans la maison du bélier et que Manigoldo a remplacé son maître dans celle du cancer (dans Lost Canvas).
... Merci, mais je suis parfaitement au courant, je pratique Saint Seiya depuis presque 20 ans.

Avant de répondre à une question, lis l'ensemble du texte dans lequel elle est posée...

Je critiquais le fait que les chevaliers d'or de l'époque Lost Canvas soient des copies conformes de ceux de la série d'origine. Peut etre sur un principe de réincarnation (que je n'approuve pas)...d'ou ma question: si les 11 autres sont les réincarnations des chevaliers d ela génération précédente...d'ou sort Mu?
Et je n'attend pas de réponse! Ce n'est pas une vrai question, elle ne sert qu'à illustrer un propos
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