vol.3:
Hattori a enfin découvert la technique du vent divin de nikumaru et va affronter ce dernier pour déterminer qui des deux est le plus fort.
En travaillant dans un bar,nikumaru va rencontrer une jeune fille triste...
Hattori va retrouver sa cousine à qui il a promis de sortir avec...
On va aussi faire la connaissance du père de nikumaru qui est en fait un policier assez déjanté...
Le père et le fils sarutobi vont devoir s'affronter pour le bien de l'académie...
et Nikumaru découvre qu'on peut aussi utiliser un cochon comme ninja...
Encore un tome poilant dans la lignée des autres volumes.Toujours aussi plaisant...
L'académie des ninjas
Re: L'académie des ninjas
Tome 4:
Dans ce quatrième volume, Nikumaru va, après avoir subi un terrible régime imposé par Mako, devoir faire face à la 301ème fille du lycée, la seule sur laquelle il n'a pas encore expérimenté sa technique du vent divin, qui lui permet de soulever les jupes des filles. Mais à la surprise générale, la demoiselle parvient à contrer la technique de Nikumaru ! Et ce n'est pas tout: le temps d'un chapitre, le lecteur pourra découvrir comment Nikumaru et Mako se sont rencontrés, et les circonstances qui ont amené la belle à tomber amoureuse de ce ninja obsédé et rondouillard.
Dans la lignée des précédents volumes, ce tome laisse à nouveau la belle place à un comique loufoque, absurde et crétin, porté par des personnages assez barrés, et confirme que nous avons là une série qui lorgne beaucoup sur l'humour d'un titre comme Urusei Yatsura sans jamais en atteindre l'effervescence et le capital sympathie, mais qui reste fort plaisante malgré tout, bien que la lassitude commence à pointer le bout de son nez par moments.
Dans ce quatrième volume, Nikumaru va, après avoir subi un terrible régime imposé par Mako, devoir faire face à la 301ème fille du lycée, la seule sur laquelle il n'a pas encore expérimenté sa technique du vent divin, qui lui permet de soulever les jupes des filles. Mais à la surprise générale, la demoiselle parvient à contrer la technique de Nikumaru ! Et ce n'est pas tout: le temps d'un chapitre, le lecteur pourra découvrir comment Nikumaru et Mako se sont rencontrés, et les circonstances qui ont amené la belle à tomber amoureuse de ce ninja obsédé et rondouillard.
Dans la lignée des précédents volumes, ce tome laisse à nouveau la belle place à un comique loufoque, absurde et crétin, porté par des personnages assez barrés, et confirme que nous avons là une série qui lorgne beaucoup sur l'humour d'un titre comme Urusei Yatsura sans jamais en atteindre l'effervescence et le capital sympathie, mais qui reste fort plaisante malgré tout, bien que la lassitude commence à pointer le bout de son nez par moments.
Re: L'académie des ninjas
Tome 5:
Ce cinquième volume voit arriver un nouveau personnage, ou plutôt deux: Nekowakamaru est un jeune garçon qui forme un duo de ninja prometteur avec... son cochon ! Envoyé par ses parents à l'Académie des ninjas pour qu'il s'améliore, il loge chez les parents de Nikumaru. Mais l'opposition entre les deux adolescents est inévitable, Nikumaru montrant vite son intérêt pour la chair grassouillette du cochon de Nakowakamaru. Et comme si ça ne suffisait, ce dernier n'est pas insensible au charme de Mako.
On peut dire que l'apparition de ce duo improbable que Nekowakamaru forme avec son cochon arrive au bon moment pour redonner un petit coup de boost à la série, qui avait tendance à devenir un peu monotone. Certes, l'humour reste toujours le même, en se basant surtout sur la gloutonnerie et la perversité de Nikumaru, l'idiotie des personnages, le décalage de leurs réactions et l'absurdité et la loufoquerie de nombreuses situations. Mais l'on ne peut que constater que ces deux nouveaux protagonistes se montrent très efficaces lorsqu'il s'agit de mettre en avant tout ceci.
Au final, s'ils n'apportent rien de véritablement nouveau à la série, les deux nouveaux protagonistes que sont Nekowakamaru et son cochon apportent un peu de sang neuf fort plaisant.
Ce cinquième volume voit arriver un nouveau personnage, ou plutôt deux: Nekowakamaru est un jeune garçon qui forme un duo de ninja prometteur avec... son cochon ! Envoyé par ses parents à l'Académie des ninjas pour qu'il s'améliore, il loge chez les parents de Nikumaru. Mais l'opposition entre les deux adolescents est inévitable, Nikumaru montrant vite son intérêt pour la chair grassouillette du cochon de Nakowakamaru. Et comme si ça ne suffisait, ce dernier n'est pas insensible au charme de Mako.
On peut dire que l'apparition de ce duo improbable que Nekowakamaru forme avec son cochon arrive au bon moment pour redonner un petit coup de boost à la série, qui avait tendance à devenir un peu monotone. Certes, l'humour reste toujours le même, en se basant surtout sur la gloutonnerie et la perversité de Nikumaru, l'idiotie des personnages, le décalage de leurs réactions et l'absurdité et la loufoquerie de nombreuses situations. Mais l'on ne peut que constater que ces deux nouveaux protagonistes se montrent très efficaces lorsqu'il s'agit de mettre en avant tout ceci.
Au final, s'ils n'apportent rien de véritablement nouveau à la série, les deux nouveaux protagonistes que sont Nekowakamaru et son cochon apportent un peu de sang neuf fort plaisant.
Re: L'académie des ninjas
Tome 6:
Une nouvelle directrice débarque à l'académie: la mère de Mako ! Et celle-ci, pour d'obscures raisons, est bien décidée à éloigner sa fille de Nikumaru, même si elle doit pour cela se montrer tyrannique et sans pitié...
La vie de Nikumaru à l'académie devient alors un supplice: interdiction d'être pervers, interdiction d'être gros... sont autant de subterfuges farfelus que la mère de Mako met en place pour tenter de pousser notre héros vers la porte de sortie de l'académie... Mais d'une manière ou d'un autre, Nikumaru s'en sort à chaque fois, et pas de la plus commune des manières.
L'humour est donc toujours de la partie, mais c'est avec une petite surprise que l'on voit la deuxième partie du tome se faire un peu moins propice à l'humour idiot, lorsque Nikumaru se voit contraint par la directrice d'aller poursuivre ses études à l'étranger pendant plusieurs années... Et tandis que l'on découvre les raisons qui poussent la mère de Mako à tant détester Nikumaru, et que l'on cerne mieux les liens qui unissent les familles de notre couple de héros, Mako n'en finit plus de se lamenter, et Nikumaru lui-même semble mettre un peu de côté son éternelle insouciance... Avant que, finalement, tout ceci ne se termine sur une idiotie, un peu à la manière de ce que Rumiko Takahashi nous proposait parfois dans Ranma 1/2.
En se faisant vaguement plus sérieux par instants et en développant un peu les relations entre les familles de Nikumaru et Mako, cet avant-dernier volume évite la monotonie et parvient à relancer un peu la série avant le septième et dernier tome.
Une nouvelle directrice débarque à l'académie: la mère de Mako ! Et celle-ci, pour d'obscures raisons, est bien décidée à éloigner sa fille de Nikumaru, même si elle doit pour cela se montrer tyrannique et sans pitié...
La vie de Nikumaru à l'académie devient alors un supplice: interdiction d'être pervers, interdiction d'être gros... sont autant de subterfuges farfelus que la mère de Mako met en place pour tenter de pousser notre héros vers la porte de sortie de l'académie... Mais d'une manière ou d'un autre, Nikumaru s'en sort à chaque fois, et pas de la plus commune des manières.
L'humour est donc toujours de la partie, mais c'est avec une petite surprise que l'on voit la deuxième partie du tome se faire un peu moins propice à l'humour idiot, lorsque Nikumaru se voit contraint par la directrice d'aller poursuivre ses études à l'étranger pendant plusieurs années... Et tandis que l'on découvre les raisons qui poussent la mère de Mako à tant détester Nikumaru, et que l'on cerne mieux les liens qui unissent les familles de notre couple de héros, Mako n'en finit plus de se lamenter, et Nikumaru lui-même semble mettre un peu de côté son éternelle insouciance... Avant que, finalement, tout ceci ne se termine sur une idiotie, un peu à la manière de ce que Rumiko Takahashi nous proposait parfois dans Ranma 1/2.
En se faisant vaguement plus sérieux par instants et en développant un peu les relations entre les familles de Nikumaru et Mako, cet avant-dernier volume évite la monotonie et parvient à relancer un peu la série avant le septième et dernier tome.
Re: L'académie des ninjas
Tome 7:
Tandis que la loubarde Mika semble étonnamment se rapprocher de Kotarô, le sérieux président de l'association des délégués, Nikumaru doit faire face à de nouveaux ennemis bien singuliers: deux jumeaux garçon-fille bien singuliers, puisqu'ils prennent plaisir à échanger leur identité, débarquent à l'Académie et, sous couvert d'être de nouveaux élèves, sont chargés de retrouver et de dérober un rouleau qui contiendrait pléthore des techniques liées à l'illusion, un art retiré des cours depuis longtemps.
Seul Nikumaru semble avoir flairé le piège (ou plutôt, a compris grâce à sa technique du vent divin que la nouvelle venue, censée être une fille, n'en est pas une...), mais qui le croira ? La situation se complique encore lorsque Mako se retrouve directement impliquée dans les évènements...
L'heure de l'affrontement final a sonné pour nos héros. Face à leurs nouveaux ennemis, ils auront fort à faire, et tandis que le grand-père de Nikumaru se retrouve face à une vieille connaissance, Nikumaru doit sauver en lui faisant retrouver ses esprits une Mako hypnotisée par l'ennemi, pour une conclusion restant assez ouverte, mais renforçant le lien entre les deux adolescents, et dans laquelle notre héros rondouillard paraît plus sérieux que d'habitude et en deviendrait presque charismatique ! Finalement développé de manière assez classique, l'ultime affrontement que constitue ce tome n'en est pas moins plaisant à suivre, d'autant qu'il ne se prend jamais totalement au sérieux en intégrant toujours une bonne dose d'humour, à commencer par le fait que les deux jumeaux prennent plaisir à se travestir.
Agréable série que cette Académie des ninjas, qui, malgré quelques baisses de régime, aura globalement su se faire amusante en nous dépeignant son lot de situations cocasses portées par un héros délirant. S'il n'atteint pas, dans la même catégorie, le niveau d'autres titres comme ceux de Rumiko Takahashi, le manga old school de Doki Doki reste plaisant.
Tandis que la loubarde Mika semble étonnamment se rapprocher de Kotarô, le sérieux président de l'association des délégués, Nikumaru doit faire face à de nouveaux ennemis bien singuliers: deux jumeaux garçon-fille bien singuliers, puisqu'ils prennent plaisir à échanger leur identité, débarquent à l'Académie et, sous couvert d'être de nouveaux élèves, sont chargés de retrouver et de dérober un rouleau qui contiendrait pléthore des techniques liées à l'illusion, un art retiré des cours depuis longtemps.
Seul Nikumaru semble avoir flairé le piège (ou plutôt, a compris grâce à sa technique du vent divin que la nouvelle venue, censée être une fille, n'en est pas une...), mais qui le croira ? La situation se complique encore lorsque Mako se retrouve directement impliquée dans les évènements...
L'heure de l'affrontement final a sonné pour nos héros. Face à leurs nouveaux ennemis, ils auront fort à faire, et tandis que le grand-père de Nikumaru se retrouve face à une vieille connaissance, Nikumaru doit sauver en lui faisant retrouver ses esprits une Mako hypnotisée par l'ennemi, pour une conclusion restant assez ouverte, mais renforçant le lien entre les deux adolescents, et dans laquelle notre héros rondouillard paraît plus sérieux que d'habitude et en deviendrait presque charismatique ! Finalement développé de manière assez classique, l'ultime affrontement que constitue ce tome n'en est pas moins plaisant à suivre, d'autant qu'il ne se prend jamais totalement au sérieux en intégrant toujours une bonne dose d'humour, à commencer par le fait que les deux jumeaux prennent plaisir à se travestir.
Agréable série que cette Académie des ninjas, qui, malgré quelques baisses de régime, aura globalement su se faire amusante en nous dépeignant son lot de situations cocasses portées par un héros délirant. S'il n'atteint pas, dans la même catégorie, le niveau d'autres titres comme ceux de Rumiko Takahashi, le manga old school de Doki Doki reste plaisant.