KEN'ICHI
Auteur : Matsuena Shun
Nombre de tome au Japon : 33 (en cours chez Shogakukan)
Nombre de tome en France : 9 (en cours chez Kurokawa)
Genre : Action/Sport
Prix : 6.50€
Pitch : Le jeune Kenichi SHIRAHAMA, grand amateur de livres, est victime de brimades dans son lycée. Sa seule amie de classe est Miu Fûrinji, qui vient d'arriver dans son établissement. Kenichi ne va pas tarder à découvrir son talent pour les arts martiaux. Cela l'abasourdit, mais en même temps, l'attire de plus en plus vers Miu… Voici une histoire d'arts martiaux pour devenir un homme courageux !!
Vol.1 :
Ce premier tome terminé, c'est donc l'heure du bilan et je dois dire que je ne suis pas entièrement convaincu. Le manga peut paraitre intéressant, mais quelques points noirs viennent noircir le tableau.
Commençons par le début avec l'histoire, Kenichi jeune looser qui croit que tout peut être appris au travers des livres ("Comment se faire des amis ?", "Comment devenir fort ?" etc etc), rencontre une dénommée Miu fraichement débarquée dans son lycée et sa seule amie. Jusqu'à la rien de fantastique, sauf que Miu est une fille surpuissante, critère fort utile quand on apprend que Kenichi va devoir combattre un gros molosse. Alors, bien entendu Miu décide de lui apprendre quelques trucs et comme vous vous en doutez tous, Kenichi se révèle doué. Après son fameux combat, Miu lui donne l'adresse du dojo Ryuzampaku où il pourra s'entrainer et apprendre plein de trucs sympa. Entre en scènes quelques personnages tous plus fou les uns que les autres et le tome s'achève en nous apprenant que c'est finalement la "maison" de Miu. Voilà pour ce que l'on sait après avoir fermé le tome.
Maintenant on va passer à la dissection de tout ça. Tout d'abord, premiere chose, d'entrée on a droit au stéréotype du looser qui veut devenir fort et qui va s'entrainer dur pour le devenir (un peu comme Noritaka pour ainsi dire). Tout le monde sait que "le looser" est un stéréotype, que "le mec doué "d'office" s'en est un aussi et que forcément il n’y a pas grand chose d'autres mais bon, pourquoi pas un garçon « normal » pour une fois ?? Bref, comme par hasard il rencontre Miu qui elle est super douée et qui va l'aider pour devenir fort. Plus haut j'ai dit que Kenichi était doué, ce n’est pas forcément exact, je m'explique : il ne faut pas s'attendre à du "je te montre un truc et INCROYABLE tu le fais mieux que moi du premier coup". Justement, il s'entraine dur et à force il y arrive, cela dit il semble avoir un "don" pour la compréhension, durant son combat contre Daimonji il démontre un sens du combat plutôt exceptionnel et comprend rapidement quelques astuces. Un point qui m'a dérangé le "fan service" !! Non mais sérieusement, qu'est-ce que c'est que ces filles qui ont des poitrines énormes (peut importe l'âge hein, que ce soit la petite sœur, la mère ou Miu) et surtout les tenues, des trucs tellement moulant qu'on voit les "fossettes" au-dessus des fesses. Pour ma part je n’ai pas trop apprécié, parce que je trouve qu'ici le fan service n'a pas sa place et qu'il gâchait plus la lecture qu'autres chose. Pour finir, l'humour disons que c'est la plupart du temps du vu et revu et donc les gags font rarement mouche. Concernant les dessins, c'est ma foi dans l'ensemble correct, le style est encore dans « l’a peu près » mais visiblement l'auteur gère de mieux en mieux (rien qu'entre le début et la fin du tome c'est visible). Le découpage est plutôt classique et reste clair que ce soit dans les scènes de combat ou pour le reste, la lecture reste plaisante à ce niveau.
Concernant l’édition, comment ne pas dire un mot sur la couverture, qui n'est pas la même que la version originale, mais qui est nettement mieux que cette dernière, donc bien joué de la part de Kurokawa pour le coup. Pour le reste c’est du Kurokawa et donc rien à signaler.
En conclusion Ken’Ichi est un manga avec du potentiel, après avoir fermé le tome le lecteur ressent peut-être une impression de "trop gentil". Comme s'il ne donnait que 50% de ce qu'il est capable de donner, en espérant que dans les prochains tomes le manga connaitrait une ascension et pas une régression parce que sinon il ne fera pas long feu. Alors, certes dans cette critique ce ne sont quasiment que des points négatifs cela dit le reste est impeccable. Il manque juste le « déclic », le cas contraire serait embêtant pour une série qui dépasse 30 tomes et qui est toujours en cours, donc attendons de lire les prochains tomes pour nous faire une idée définitive.
Good Points :
- L'évolution des dessins qui passe de moyen à correct.
- L'histoire qui à du potentiel.
Bad Points :
- Le manga est pour l'instant trop "gentil" dans l'ensemble.
- L'humour vu et revu.
- Le fan service inutile et agaçant dans pour ce genre de manga.
Auteur : Matsuena Shun
Nombre de tome au Japon : 33 (en cours chez Shogakukan)
Nombre de tome en France : 9 (en cours chez Kurokawa)
Genre : Action/Sport
Prix : 6.50€
Pitch : Le jeune Kenichi SHIRAHAMA, grand amateur de livres, est victime de brimades dans son lycée. Sa seule amie de classe est Miu Fûrinji, qui vient d'arriver dans son établissement. Kenichi ne va pas tarder à découvrir son talent pour les arts martiaux. Cela l'abasourdit, mais en même temps, l'attire de plus en plus vers Miu… Voici une histoire d'arts martiaux pour devenir un homme courageux !!
Vol.1 :
Ce premier tome terminé, c'est donc l'heure du bilan et je dois dire que je ne suis pas entièrement convaincu. Le manga peut paraitre intéressant, mais quelques points noirs viennent noircir le tableau.
Commençons par le début avec l'histoire, Kenichi jeune looser qui croit que tout peut être appris au travers des livres ("Comment se faire des amis ?", "Comment devenir fort ?" etc etc), rencontre une dénommée Miu fraichement débarquée dans son lycée et sa seule amie. Jusqu'à la rien de fantastique, sauf que Miu est une fille surpuissante, critère fort utile quand on apprend que Kenichi va devoir combattre un gros molosse. Alors, bien entendu Miu décide de lui apprendre quelques trucs et comme vous vous en doutez tous, Kenichi se révèle doué. Après son fameux combat, Miu lui donne l'adresse du dojo Ryuzampaku où il pourra s'entrainer et apprendre plein de trucs sympa. Entre en scènes quelques personnages tous plus fou les uns que les autres et le tome s'achève en nous apprenant que c'est finalement la "maison" de Miu. Voilà pour ce que l'on sait après avoir fermé le tome.
Maintenant on va passer à la dissection de tout ça. Tout d'abord, premiere chose, d'entrée on a droit au stéréotype du looser qui veut devenir fort et qui va s'entrainer dur pour le devenir (un peu comme Noritaka pour ainsi dire). Tout le monde sait que "le looser" est un stéréotype, que "le mec doué "d'office" s'en est un aussi et que forcément il n’y a pas grand chose d'autres mais bon, pourquoi pas un garçon « normal » pour une fois ?? Bref, comme par hasard il rencontre Miu qui elle est super douée et qui va l'aider pour devenir fort. Plus haut j'ai dit que Kenichi était doué, ce n’est pas forcément exact, je m'explique : il ne faut pas s'attendre à du "je te montre un truc et INCROYABLE tu le fais mieux que moi du premier coup". Justement, il s'entraine dur et à force il y arrive, cela dit il semble avoir un "don" pour la compréhension, durant son combat contre Daimonji il démontre un sens du combat plutôt exceptionnel et comprend rapidement quelques astuces. Un point qui m'a dérangé le "fan service" !! Non mais sérieusement, qu'est-ce que c'est que ces filles qui ont des poitrines énormes (peut importe l'âge hein, que ce soit la petite sœur, la mère ou Miu) et surtout les tenues, des trucs tellement moulant qu'on voit les "fossettes" au-dessus des fesses. Pour ma part je n’ai pas trop apprécié, parce que je trouve qu'ici le fan service n'a pas sa place et qu'il gâchait plus la lecture qu'autres chose. Pour finir, l'humour disons que c'est la plupart du temps du vu et revu et donc les gags font rarement mouche. Concernant les dessins, c'est ma foi dans l'ensemble correct, le style est encore dans « l’a peu près » mais visiblement l'auteur gère de mieux en mieux (rien qu'entre le début et la fin du tome c'est visible). Le découpage est plutôt classique et reste clair que ce soit dans les scènes de combat ou pour le reste, la lecture reste plaisante à ce niveau.
Concernant l’édition, comment ne pas dire un mot sur la couverture, qui n'est pas la même que la version originale, mais qui est nettement mieux que cette dernière, donc bien joué de la part de Kurokawa pour le coup. Pour le reste c’est du Kurokawa et donc rien à signaler.
En conclusion Ken’Ichi est un manga avec du potentiel, après avoir fermé le tome le lecteur ressent peut-être une impression de "trop gentil". Comme s'il ne donnait que 50% de ce qu'il est capable de donner, en espérant que dans les prochains tomes le manga connaitrait une ascension et pas une régression parce que sinon il ne fera pas long feu. Alors, certes dans cette critique ce ne sont quasiment que des points négatifs cela dit le reste est impeccable. Il manque juste le « déclic », le cas contraire serait embêtant pour une série qui dépasse 30 tomes et qui est toujours en cours, donc attendons de lire les prochains tomes pour nous faire une idée définitive.
Good Points :
- L'évolution des dessins qui passe de moyen à correct.
- L'histoire qui à du potentiel.
Bad Points :
- Le manga est pour l'instant trop "gentil" dans l'ensemble.
- L'humour vu et revu.
- Le fan service inutile et agaçant dans pour ce genre de manga.