Ashita no joe

Destinés à un public adolescent masculin mais faisant néanmoins fureur chez certain(e)s adultes et/ou jeunes filles, les shonen ont droit à leur propre rubrique!
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né un11septembre
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Ashita no joe

Message non lu par né un11septembre » 26 janv. 2010, 18:45

Ashita no joe

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série publiée dans son édition originale japonaise en 20 tomes
éditeur français: Glenat
nombre de tomes prévus: 13
Auteurs: Asao Takamori et Tetsuya Chiba


volume 1
Voici qu’arrive dans la collection vintage de Glenat un des mangas les plus référencés dans les ouvrages du monde entier parlant de bande dessinée en général et de manga en particulier.
Ce « Joe de demain » est un axe important dans la carrière de Tetsuya Chiba. Le dessinateur qui a commencé sa carrière très tôt dans des magazines pour filles va voir sa notoriété grandir avec les mangas sportifs. Il faut dire que son graphisme dynamique et l’abondance de sonorisation des scènes de combats en font le dessinateur-phare du genre.
L’histoire, écrite par Asao Takamori, est assez connue et je ne vais pas spolier votre plaisir de lecture.
Joe Yabuki est un adolescent frondeur et bagarreur qui vit misérablement en vagabondant sans but. Il est remarqué par Danpei Tange, un ancien boxeur devenu alcoolique qui lui trouve un talent certain pour le noble art et promet à un Joe septique une ascension vertigineuse vers les plus hautes compétitions en un rien de temps. Dés lors, Chiba va nous narrer le parcours parsemée de rencontres cruciales qui vont changer son existence jusqu’au combat du plus haut niveau qui lui offrirai la consécration.
Les premières choses qu’on remarque à la lecture de ce premier tome d’Ashita no joe, c’est un graphisme très claire et d’une grande profondeur de champ ainsi que la grande diversité des physionomies. D’abord, la profondeur de champ, c’est un terme de cinéma qui est lié à l’illusion de la troisième dimension. Elle est très présente ici dans des décors parfaitement rendus par des perspectives profondes et une disposition d’éléments sur plusieurs plans. Là où la plupart des dessinateurs ont du mal à faire ressortir le dessin de la platitude de la page, Chiba se montre tout à fait maitre de l’espace qu’il crée et cadre de manière peu académique. La diversité des personnages et leur physionomie, ensuite. Loin d’habiller tout ses personnages sur le même modèle, il croque ici tout une population qui bien que pauvre et marginale n’en reste pas moi très humaine. Pour un œil averti, les caricatures rappellent les Pieds-Nickelés de Forton ou les premiers travaux de Franquin sur Spirou. On sent un réel plaisir à inventer des faciès patibulaires ou des bonnes bouilles de garnements. C’et tout une tranche sociale démunie d’ouvriers journaliers, de mendiants aux chaussures trouées et de va-nu-pieds combinards qui forme la figuration très vivante des premières scènes.
Les bagarres donnent l’impression de vraies corrections par l’extrême ponctuation de chaque coup en onomatopées. Chiba n’a pas recours à la pleine visualisation arrêtée des impacts comme le fait Morikawa dans la série Ippo mais plutôt à l’image dynamique du poing dans le visage ou de l’adversaire déporté par le coup. Le personnage de Joe Yabuki n’est pas monolithique et infaillible non plus. Il ne faut pas attendre bien longtemps avant de le voir perdre un combat. L’ascension du jeune boxeur va être très difficile et semée d’embûches, de douleur, de doutes et même de dépression.
Vous l’aurez compris par ces deux allusions, Ashita no joe prend un chemin fort différent de celui de la série ippo. On est dans un drama, une comédie dramatique pleine de suspense. Si c’est bien un manga sur la boxe, ce n’est pas que ça. Il a une raison sociale aussi. Si Joe à des aspects de parasite et profite un temps de la naïveté de Danpei Tange, il n’en est pas moins généreux et devient rapidement un héros sympathique par son mépris des autorités (et son immaturité), captant avec lui dans ses mauvais coups les enfants du quartier qu’il distrait de leur misère. La maison de redressement sera une étape et le lieu de ses premiers exploits. Il en devient au fil des chapitres et de ses victoires l’idole de toute une couche sociale défavorisée prenant sa revanche sur le destin. Les différentes rencontres voient évoluer Joe mais Chiba n’en oublie pas de faire vivre et rendre authentique les personnages secondaires. Au fil de l’histoire vont surgir tout les obstacles que l’on peut imaginer vers le chemin du professionnalisme, milieu sportif pas foncièrement honnête. La victoire et même la survie sont remises en doute à chaque combat.
C’est un monument de la bd mondiale qui vous arrachera des rires et des larmes comme il l’a fait pour les fans japonais dans les années 70. Lecture totalement indispensable, cela va sans dire…
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Kakunoshin Niitsu
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Re: Ashita no joe

Message non lu par Kakunoshin Niitsu » 06 mars 2010, 00:45

Une grande oeuvre, ça ne fait aucun doute et ce dès la lecture de ce premier volume.Quel lecteur s'intéressent un minimum au manga n'a jamais entendu parler de sa fameuse fin qui a suscité l'émotion au Japon ?

Mais commençons par le début.Le graphisme est formidable dans un style simple et intemporel.Cela m'a donné l'impression d'une bouffée d'air frais malgré l'ancienneté du titre.Clair et agréable il me rappelle un peu Journal d'une disparition, manga qui lui aussi à sa manière dépeignait la vie des rues...Le dessin d'Ashita no Joe demeure toutefois plus dynamique boxe oblige !

Pour ce qui est de l'histoire en elle même j'ai eu un peu de mal au début.Pensant que Danpei avait repéré le talent de Joe en deux mouvements de ce dernier, j'ai trouvé cela trop rapide...
[spoiler]ce fut avant de savoir qu'il voulait faire un boxeur pro de chaque bagarreur dont il croise la route.Si bien que du moins au début on peut vraiment se demander si ce vieil ivrogne à réellement décelé un quelconque talent chez Yabuki ou si c'est juste son rêve, son obsession qui le reprend (comme se le dise d'ailleurs les enfants du quartier).[/spoiler]
Tout ça est très bien fait.

Pareil pour la personnalité de Yabuki pour laquelle il m'a fallu du temps avant d'accrocher...faut bien dire que c'est un voyou, voleur, manipulateur etc... allant jusqu'à embarquer un groupe d'enfants dans ses histoires.Il profite également de la crédulité de Danpeï bien que celui ci ne soit pas tout blanc non plus.
C'est d'ailleurs pour moi le grand point fort de cette série (de ce premier volume) et ce qui rends ces personnages attachant au final.Personne n'est tout noir ou tout blanc... chacun tente de survivre à sa manière dans ce quartiers pauvre des doyas.En usant du système D (pour pas dire combine) en se raccrochant à un rêve.
Déjà alcoolique celui de Danpei lui permet de ne pas sombrer davantage, il voit en Joe sa dernière chance de réussir quelque chose dans sa vie.Yabuki lui y voit un moyen de servir ses propre intérêts pendant son passage en maison de redressement.Lieu ou apparement il passera une période importante et où il fera une rencontre primordiale pour la suite.

Un manga humain qui une fois entré dans le récit est impossible de lacher.On
ne voit pas passer les 350 pages du bouquin.Un excellent moment de lecture et pourtant après avoir lu tant et tant de critiques élogieuses j'avais peur d'être déçu.Ce ne fut pas le cas !
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Wang Tianjun
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Re: Ashita no joe

Message non lu par Wang Tianjun » 06 mars 2010, 10:20

J'ai également fait l'acquisition de ce premier volume de "Joe de demain", d'une part pour la caution "culturelle" qu'il implique (vu le mythe que ça a été au Japon), et d'autre part grâce à (ou à cause de) l'excellente critique de néun. :)

Malgré toutes les qualités que l'on peut trouver à la série, j'ai un problème, et pas des moindres : je peux pas encadrer Joe ! :mrgreen:
En fait je trouve qu'il garde la naïveté et l'impétuoisté des héros shonen de l'époque mais dans un monde assez violent, avec également une certaine insouciance qui me sort par les yeux. Comme l'ont souligné les deux avis précédent à leur façon, tout n'est ni blanc ni noir, et Joe a pas mal de choses à se reprocher. Cependant, pour l'instant j'ai l'impression qu'il ne prend jamais conscience des conséquences de ses actes et qu'il méprise complètement le monde qui l'entoure. il implique des gamins dans ses combines, s'emporte au tribunal, crée des problèmes dans les prisons qu'il fréquente,... le tout avec un large sourire et un air de dire "rien à foutre". Cependant, on sent une grande remise en question à la fin du tome dès lors qu'il y aura une embuche suffisamment imposante pour l'arrêter, et j'espère que la série va enfin aller dans ce sens. Sans compter que pour l'instant, la boxe n'est que très peu présente !

L'autre gros bémol que j'ajouterais viendrait de l'édition offerte par Glénat : au départ, je pensais qu'ils allaient reprendre le format d'une des éditions collectors VO, comprenant une frise... mais ce n'est pas le cas. M'enfin, ça encore, on peut s'en passer. Ce qui me gêne, c'est que le support aussi semble partir dans le rétro, avec une simple couverture cartonnée fine, sans rabat ! Ils ont néanmoins rajouté un film protecteur dessus, faisant apparaitre la silhouette du héros en 4ème de couverture, mais ce film a tendance à s'arracher très facilement ! Je m'attendais à quelque chose d'aussi conséquent que pour Cyborg 009, avec couverture renforcé et bande de tissu pour faire le marque-page. Glénat aurait-il revu ses ambitions à la baisse pour sa collection Vintage ? Et enfin, que dire de cet autocollant hideux de la fédération française de boxe/Adidas... :roll:


Bref pour l'instant je ne suis qu'à moitié conquis par Ashita no Joe, à défaut de trouver le héros intéressant, mais ça devrait venir. Peut-être que j'en attendais un peu trop de cette série mythique... mais je ne perds pas espoir :wink:
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Otaku62
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Re: Ashita no joe

Message non lu par Otaku62 » 09 mars 2010, 14:44

Je dois dire que moi aussi ce manga m'intéressait mais lorsque j'ai vu la présentation du bouquin j'ai vite déchanté...Je pensais que Glenat effectuerait une édition similaire à celle de Cyborg009 mais même pas.Si on peut remarquer qu'il y a bien plus de pages que dans un cyborg,la présentation est quand à elle désastreuse.Au vu du nombre de pages et surtout de son prix,on aurait été en droit d'avoir une présentation identique à ce qui avait été fait pour les Dragon Ball Doubles...
Pour le coup,ça sera sans moi à moins de le trouver en occasion.

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shun
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Re: Ashita no joe

Message non lu par shun » 26 juin 2010, 23:04

un 2 èm tome différent, pour le premier tome son caractère me tapais sur le système, ici on passe a des choses plus sérieuses et c'est tant mieux.
là ou le bas blesse c'est que les combats sont mou, peu de densité, quand yabuki se relève on ne ressent pas cette "force" de toujours se relever comme on peut le ressentir dans ippo.

j'ai aussi du mal avec des petits geste par ci par là, comme par ex yabuki qui frappe son entraineur pour le repousser, ou inversement, ou entre d'autres perso.

j'arrête là les frais, j'avais pour ma part trouver la série sympathique sans plus, le manga lui m'accroche bien moins.
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Wang Tianjun
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Re: Ashita no joe

Message non lu par Wang Tianjun » 28 juil. 2010, 20:56

Ashita no Joe 3

Alors qu'il poursuit sa peine pénitentiaire, Joe Yabuki fait la rencontre de Tooru Rikiishi, boxeur professionnel, et avec qui la rivalité naîtra très vite. À la suite de leurs premières échauffourées, le centre d'éducation décide d'organiser un tournoi par équipe où s'affrontent les différents dortoirs. Joe ne pense déjà qu'à la finale pour y retrouver son adversaire désigné, mais attention à ne pas sous-estimer les autres participants... notamment Aoyama, le nouveau protégé de Danpei Tange !

Avec l'organisation de cette coupe, le noble art de la boxe prend une part prépondérante dans ce troisième volume, rentrant enfin dans le feu de l'action après une mise en place assez lente mais fort passionnante. Les matchs sont très dynamiques, spectaculaires en restant réalistes, et la différence de gabarit de la plupart des combattants permet de ne ressentir aucune redondance. Les auteurs nous font ressentir toutes les subtilités du "roi des sports" qui ne consiste pas uniquement à frapper dans tous les sens comme peut le croire Joe à un moment donné. Par le personnage d'Aoyama, d'une allure très chétive mais fort agile, l'accent est mis sur les techniques défensives et sur l'importance du jeu de jambes. Même les lecteurs réfractaires au genre (dont je peux faire partie) seront captivés sans mal par le talent narratif de la série.

Face à des adversaires aussi talentueux, Joe devra forcément se remettre en question, et mettre son orgueil et sa prétention de côté, une fois au pied du mur. L'évolution psychologique du héros est presque palpable au fil des pages, lorsqu'il se retrouve face à sa solitude où à son impuissance. Par la boxe, le téméraire et prétentieux gamin, n'hésitant pas à multiplier les fautes les plus basses pour gagner, deviendra un homme accompli et loyal. Le tout, sous l'impulsion des enseignements de Danpei Tange, qu'ils soient explicites ou non. A ce titre, les scènes marquantes et chargées en émotion se multiplie, notamment lorsque le mentor s'excuse envers ses deux élèves. Mais le point culminant du tome réside dans un affrontement porteur de sens entre Joe et Rikiishi, afin de graver définitivement la rivalité éternelle qui risque de perdurer tout au long de la saga. Les deux meilleurs ennemis se cherchent mutuellement, l'un ressentant un vide lorsque l'autre n'est déjà plus là.

Ce volume marque aussi le retour des protagonistes à la vie réelle après avoir payé leur dette à la société. On retrouve alors le quartier des Doyas et ses sympathiques habitants, et tombera sur quelques bonnes surprises. Joe sera alors bouleversé par la chaleur humaine qu'il y retrouvera, dans le cœur de ceux qui croient en lui. Il est temps alors de repartir sur des bases saines, au rythme de la boxe, et de se tourner vers un avenir que l'on imagine déjà glorieux.

Vous l'aurez compris, ce troisième volume est une vraie réussite, portant un message qui n'a rien perdu de son impact dans nos sociétés contemporaines. La détermination de Joe est à présent aboutie pour le faire entrer dans la légende, et pour hisser l'œuvre parmi les monuments de la bande-dessinée et de la littérature en général. Un incontournable, tout simplement !
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Kakunoshin Niitsu
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Re: Ashita no joe

Message non lu par Kakunoshin Niitsu » 23 sept. 2010, 23:55

J'aime toujours autant cette série ! Ce que j'apprécie le plus c'est l'évolution de Joe Yabuki comme en parle très bien Tianjun dans sa critique.C'est d'autant plus appréciable qu'elle s'effectue lentement, la personnalité de mauvais garçon de Joe bien qu'elle soit détestable par moment ne s'efface comme ça d'un coup de gomme.D'ailleurs c'est ce qui donne un côté réaliste à cette oeuvre.Les personnages principaux (Danpei, Mlle Yuki et Joe) ne sont pas exempt de défauts et ce sont ces défauts qui nous sautes aux yeux en premier lieu.Malgré cela ils deviennent attachant au fur et à mesure que les pages se tournent.Maintenant que Yabuki est libre et qu'il à pris conscience de ses limites en tant que boxeur il peut pour la première fois envisager sérieusement son avenir cependant je pense que son caractère impulsif reste présent ce qui donnera beaucoup de travail coach Tange si ils veulent réussir leur objectif commun.

Par contre j'ai constaté avec regret quelques bizarrerie au niveau de la traduction dans ce volume :

-Page 168 : "Le mépris m'aurait sans doute ôté toute envie de retenir..." (Joe parle des leçons que Danpei aurait pu lui apprendre plus tôt.Toute envie de les retenir (les leçons donc) m'aurait semblé plus juste.Mais bon passe encore.
-Page 237 : Bras du fer au lieu de bras de fer.
-Page 121 : Une astérisque pour signaler la signification du mot down en anglais.Le problème c'est que ce mot apparaît à de nombreuses reprises avant cela dans le récit... pourquoi avoir attendu 121 pages avant de l'expliquer ?

Tout ça pour dire que c'est dommage pour un titre qui mériterait une attention toute particulière.
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slayer
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Re: Ashita no joe

Message non lu par slayer » 24 sept. 2010, 08:29

3 erreurs et tu trouve ça dommage ... Tu n'es pas très indulgent.

Moi je me dirais plutôt "3 erreurs seulement pour plus de 200 pages"
"L'amitié n'exige rien en échange, que de l'entretien."
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Kakunoshin Niitsu
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Re: Ashita no joe

Message non lu par Kakunoshin Niitsu » 24 sept. 2010, 10:11

slayer a écrit :3 erreurs et tu trouve ça dommage ... Tu n'es pas très indulgent.

Moi je me dirais plutôt "3 erreurs seulement pour plus de 200 pages"
Ah bon tu trouves ? J'en connais des bien moins indulgent que moi.^^
C'est juste que mon attention est plus grande pour ce titre que pour un manga lambda.Avec la réputation qui le précède (une réputation méritée après lecture de ces trois premiers volumes) une ou plusieurs relecture ne serait pas de trop.
Puis je précise que je n'ai pas dis qu'il y avait 3 erreurs en tout.J'en ai simplement cité 3 !
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Re: Ashita no joe

Message non lu par slayer » 24 sept. 2010, 13:49

En même temps sur les 3 erreurs, la 1ere est une question d'interprétation, la 2ème est une coquille qui peut arriver et la 3ème est la plus légitime.

Si toi tu es tatillon sur un titre que tu aimes, l'éditeur (Glénat ici) doit l'être sur tous les titres de son catalogue et pas seulement quelques titres.

La perfection n'est pas de ce monde.
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