Magazine Be x Boy

Shojo, josei, yuri, yaoï... En d'autres termes voici la rubrique regroupant les genres de manga destinés à un public féminin!
Avatar du membre
Loli-pamplo
Bisho blond addict
Messages : 440
Enregistré le : 21 janv. 2009, 16:19
Localisation : Sur ce drôle de caillou perdu dans l'espace...
Contact :

... xD

Message non lu par Loli-pamplo » 11 oct. 2009, 16:39

NiDNiM a écrit : Takaba, ou comment faire figure de nouvelle poupée gonflable gesticulante et excitante pour les chefs des mafias du coin.
Qu'est-ce que j'ai RIGOLE xDDD Ahahahahaha mais c'est TROP ça ! Ma mère a pas compris l'éclat de rire du coup xD Je suis explosée xDD

Enfin bref *Reprend son calme* Dans l'ensemble, je suis plutôt bien d'accord avec tes avis. Silent Loooove <3 Cette histoire est adorable ma préférée dans le magasine, je verrais si je fais un avis plus complet plus tard, mais tu as tout mon soutiens pour viewfinder je te protégerais des fan déchainées xD
Modifié en dernier par Loli-pamplo le 11 oct. 2009, 16:45, modifié 1 fois.
~ Ne fait pas demain ce que tu peux faire après demain ~


Image

Avatar du membre
NiDNiM
Otaku Girl
Messages : 1300
Enregistré le : 30 nov. 2008, 17:53
Localisation : Avec ma chérie

Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par NiDNiM » 11 oct. 2009, 16:41

Je savais que tu allais aimer XD

Et encore, vivement la suite (le moment de transition entre le mode poupée gonflable rebelle / poupée gonflable amoureuse) :twisted:
[Définir, c'est limiter.]
[Le critique est celui qui peut transposer d'une autre manière ou traduire en éléments nouveaux, son impression de la beauté.]

Oscar Wilde, Le portrait de Dorian Gray

Mon trésor
MON coup de cœur, MA pub.

Avatar du membre
NiDNiM
Otaku Girl
Messages : 1300
Enregistré le : 30 nov. 2008, 17:53
Localisation : Avec ma chérie

Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par NiDNiM » 20 déc. 2009, 19:30

Magazine Be x Boy 3 :

Avec cette troisième parution du magazine Be x Boy, c’est la dernière fois que les lecteurs auront à payer 4 € 95 puisque dans le prochain opus, le prix augmentera d’un euro, et les séries changeront. En effet, sur les 9 titres présents actuellement, on verra arriver 4 nouveaux débuts de séries. En parallèle, certains titres comme Silent Love ou Do you know my detective sont prévus en volume relié dans le catalogue de l’éditeur, respectivement en janvier et février 2010. Pour ce qui est du troisième magazine de Be x Boy, le seul changement à noter est l’apparition de Love Lesson, remplaçant apparemment Viewfinder de la même mangaka. Cependant, il faut savoir que si on a eu droit qu’à deux chapitres de la série principale, c’est que le premier tome est ainsi fait : deux épisodes de Viewfinder et trois histoires courtes, dont Love Lesson, dont la présence ici est alors justifiée.

Silent Love se retrouve ici en premier chapitre du magazine, et c’est avec un immense plaisir qu’on retrouve l’amour perturbé de Tôno et Tamiya, qui ont en plus du même coup droit aux pages couleur. Bien que les complications qui unissent et séparent les deux adolescents soient assez classiques, on se passionne bien volontiers pour la candeur de Tôno, sa timidité maladive et son manque d’expression toujours bienvenus. Et puis l’arrivée d’un ami d’enfance a beau être un peu facile, cela permet de se demander comment les deux jeunes hommes vont s’en sortir : cela les séparera-t-il ou au contraire cette épreuve renforcera-t-elle leur amour ? Yebisu Celebrities, qui vient juste après, est nettement moins émouvant et plaisant. En effet, on retrouve Haruka et sa stupidité. Certes, vous me direz qu’il n’y a qu’un pas entre naïveté candide et stupidité. Pourtant, ce n’est pas tellement un point de vue subjectif : il suffit de se rendre compte du caractère passif et complètement mièvre d’Haruka pour en comprendra la limite. Ses rougissements, ses sourires à la « petite maison dans la prairie » (oui oui il y a même le chien) et ses pleurs lorsque son patron daigne s’intéresser à lui … On a vaguement l’impression que l’histoire va décoller grâce à la création d’un nouveau slogan pour une entreprise quelconque, mais tout cela n’a pour but que de rapprocher le patron et son subordonné. L’auteur ne profite même pas de la pléiade de beau gosse qu’elle a introduit dans le premier tome afin d’en faire un harem : cela aurait été moins crédible mais au moins un peu plus animé que les réflexions amoureuses puériles d’un gamin qui appelle encore « patron » celui qu’il aime. La suite au prochain épisode ? Mais a-t-on véritablement envie de savoir comment va tourner tout ceci pour les deux êtres qui, au final, ne nous intéressent pas tant que ça ?

Avec Hey Sensei, on retrouve la fraîcheur de Yaya Sakuragi, qui réussit toujours à mettre en scène des personnages un peu complexés, timides et peu démonstratifs. Le désir de l’un, la retenue de l’autre, l’avancement des deux se concrétisant par un déménagement du prof … Plus l’on s’éloigne du cadre scolaire, meilleure est l’histoire. Néanmoins, la différence d’âge et de statut est conservée et c’est dans un souci de rigueur -bien que parfois maladroite- que la mangaka fait évoluer doucement ses deux personnages, sans que l’on remarque toutefois de changement majeur. Love lesson est donc un chapitre bonus du premier tome de Viwfinder, et il conserve avec lui toute l’appréhension que l’on peut coller au nom de l’auteur : du sexe pour du sexe, de la violence et surtout une grande part de soumission de la part d’un protagoniste supposé être un peu rebelle … C’est globalement ainsi que commence donc ce chapitre, avec un « actif » au regard dur et à l’approche sympathique, un « passif » plus que passif, soumis telle une serpillère devant un balais. Et vas y que je te saute dessus avec comme prétexte de te piquer ton paquet de cigarettes, et vas y que je te viole comme je veux sur le toit de l’école … Pas vraiment de sado masochisme ici, juste une scène de sexe pour ne rien dire, juste une nouvelle sans intérêt aucun. De plus, celle-ci est particulièrement courte et n’a donc pas une seule case de disponible pour ne serait ce que faire semblant d’approfondir un caractère en particulier.

Welcome to the chemistry lab ! fait un grand pas en avant dans son histoire. Et, si l’on regrette que des couples homosexuels se forment si facilement dans tous les coins, cette nouvelle romance amène un peu de fraîcheur, même si l’on se languit du sadisme mystérieux de Shibaura. Ici, c’est le frère de Kôsuke qui découvrira l’amour qu’il s’efforçait de tenir à distance de son frère. L’élu de son cœur est un joli garçon à la mémoire trop courte, et qui a l’originale habitude de tout noter dans un carnet … sauf ce qui dépend de ses sentiments. Un bon moment de lecture, qui fera sourire et plaira d’avantage que la relation professeur - élève de Shibaura et Kôsuke. Dans My demon and me, la première chose qui nous vient à la lecture est sans hésitation l’absence inhabituelle de scène érotique. C’est juste un très long chapitre sur la présence de Setsu et son magnétisme. On découvre avec un peu de surprise les vieilles connaissances du démon, et au final la narration n’avance pas : Aki est juste de plus en plus faible et dépend de plus en plus de Setsu, qu’il apprécie manifestement plus qu’il ne veut le dire. Une seule chose peut résumer ce chapitre : l’attente. L’attente d’une quelconque réaction, d’un quelconque avancement dans l’histoire qui a tendance à stagner en mettant trop en valeur des personnages secondaires que l’auteur n’approfondit pas spécialement.

Whispers, par contre, et là où certains titres nous apportent une bonne surprise, devient moins captivant. Renji est de plus en plus transparent -c’est le cas de le dire-, et leur péripétie de ce chapitre n’intéresse pas vraiment. En effet, la thématique de la mort, des revenants, est bien gentille mais quelque peu trop fortement appuyée. Ceci dit, la narration de Bohra Naono est efficace, tant elle allie bien les situations comiques voire ridicules avec les passages plus profonds, développés et réfléchis. De plus, le graphisme, toujours aussi caractériel et soigné, permet d’apprécier presque à sa juste valeur un chapitre un peu plus décevant. Une fois qu’elle aura épuisé toutes ses idées autour de la qualité de réincarnation de Kazuki, on se demande bien dans quoi le récit va pouvoir puiser une source d’inspiration … Lovely teachers, quant à lui, continue d’aborder tendrement la relation entre les deux profs de primaire. On revient sur la notion de préjugé, comme dans le premier opus du magazine, mais cette fois par un œil extérieur qui connait déjà bien Takigawa. Les enfants aident le lecteur à ne pas trop prendre au sérieux certains passages tandis que le questionnement de Komori est construit, organisé et légitime. Bref, une lecture qui perdure dans un niveau plus que satisfaisant, et ce tout en douceur : rien n’est brusqué, pas même la relation charnelle des deux hommes. Enfin, le dernier chapitre revient sur les aventures de Shigure et Ryûnosuke, qui cette fois ci ne s’attardent pas franchement sur une affaire policière qui rentrerait dans leur cadre de détective privé. En effet, cet extrait développe d’avantage l’amour qui unit les deux êtres, en en montrant l’ampleur mais aussi les limites : dans la volonté de protection de l’autre, il peut advenir une souffrance mutuelle. La fin de ce chapitre conclut le magazine et nous frustre quelque peut. Certes, mais après ? La série commence enfin à devenir intéressante, malgré le physique largement trop féminin de Shigure.

L’ensemble de cette parution de Be x Boy 3 s’équilibre en lui-même. Si auparavant on distinguait assez clairement les « bonnes » séries et les « moins bonnes », cela a perdu un peu de sa véracité. Ainsi, certains titres évoluent et permettent aux lecteurs de se repositionner constamment face aux séries. L’avantage d’un magazine de prépublication où il faut attendre et toujours attendre entre deux parties d’une même narration, mais surtout où l’on peut comparer la qualité de plusieurs récits portant sur un même thème. Globalement, la disparition de temporaire de Viewfinder, la confirmation des bonnes surprises et l’amélioration de quelques séries permettent de passer outre la déception de certaines autres. Au final, c’est un bon troisième magazine que voilà, et à vrai dire, on commençait à s’attacher aux personnages … Qu’en sera-t-il du volume 4 ?
[Définir, c'est limiter.]
[Le critique est celui qui peut transposer d'une autre manière ou traduire en éléments nouveaux, son impression de la beauté.]

Oscar Wilde, Le portrait de Dorian Gray

Mon trésor
MON coup de cœur, MA pub.

Avatar du membre
NiDNiM
Otaku Girl
Messages : 1300
Enregistré le : 30 nov. 2008, 17:53
Localisation : Avec ma chérie

Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par NiDNiM » 04 avr. 2010, 19:21

Magazine Be x Boy 4 :

Le quatrième opus du magazine d’Asuka propose quatre nouvelles séries, ainsi que le retour de Viewfinder … Mais commençons par les anciennes. Silent love se concentre sur l’éloignement temporaire des deux tourtereaux et, en présentant la famille de Tono et la détermination de celui-ci, c’est l’humour qui prime avant tout, rejetant un peu les sentiments au second plan. Toutefois, la particularité de ce héros est tellement attachante que l’on en rit toujours de bon cœur … Yebisu Celebrities, au contraire, continue sur la mauvaise impression qu’on en avait. Passant sans prévenir à un deuxième couple sorti de nulle part, on retrouve l’impression du gamin dans les bras d’un adulte, gosse pleurnichard et capricieux par-dessus le marché. Bref, une narration décousue qui n’apporte rien et ne charme absolument pas par une originalité quasiment absente. Viewfinder revient, et là on n’est pas déçus : aucun changement ! Si ce n’est qu’Asami est tout seul à le violer, cette fois, la narration reste centrée sur la violence sous-jacente sans réellement profiter du contexte mafieux et policier, comme s’il était inutile. Il suffirait pourtant que l’on sente que l’auteur privilégie son intrigue plutôt que les innombrables scènes sexuelles dont elle nous abreuve jusqu’à nous noyer … Welcome to the chemistry lab allie plus subtilement les deux couples principaux, et propose un petit bout d’histoire qui n’a rien de transcendant, sans être désagréable. Questions, doutes et sentiments sont au programme, sans que cela ait beaucoup de répercussions sur notre avis global du tome. Enfin, My demon and me s’améliore bien que quelques pages seulement lui soient consacrées : une fois les sentiments d’un grand timide exprimé, il ne reste plus qu’à donner suite, et si l’on oublie l’aspect un peu loufoque de la narration, ce chapitre est un passage rafraichissant, au lieu d’être laborieux comme il l’était avant.

Parlons maintenant nouveautés, puisqu’elles présentent pas moins de quatre premiers chapitres, assez longs et imposants afin de démarrer les histoires. The path of love a l’honneur de profiter des pages couleurs, très appréciées, et a l’avantage de ne pas instaurer une romance lycéenne, puisque les protagonistes sont légèrement plus âgés. La question de l’homosexualité, du regard de l’autre est abordée succinctement, quand Shinohara n’ose pas se déclarer à Nishioka, qu’il aime depuis longtemps déjà. La mangaka aurait certes pu aller plus loin, mais il reste encore des choses à dire sur la façon dont la relation des deux hommes va évoluer, surtout quand on prend en compte la personnalité candide et désarmante de Nishioka. Celui-ci est d’ailleurs prévenu lors d’une discussion entre son ami et Hirano, un rival potentiel, ce qui manque un peu de clarté et de naturel. Le dessin est net, clair et sans bavures notoires, mais peut être un peu figé et classique, nous donnant l’impression de bien connaitre l’auteur alors qu’en fait, pas du tout. Par contre, celle-ci exprime parfaitement la naïveté de Nishioka sans en faire un être ridicule. Ce qui vaut le coup d’être remarqué ! Vient ensuite une histoire de l’auteur de Yellow, sorti aux éditions Asuka. School of the Muse est assez original dans son concept d’école pour les stars, et l’histoire d’amour entre Hanai et Yû est aussi sincère que charmante. Certes, le viol n’était pas indispensable, ceci dit, il entre assez bien dans la narration, est corrigé bien vite et ne donne pas l’impression de devenir une habitude. Cela perturbe un peu qu’on puisse tomber amoureux après un tel acte, mais seule cette incohérence vient bouleverser l’appréciable narration de Makoto Tateno. Une dynamique avérée, un graphisme artistique sans être habituel, des expressions rondement affirmées, bref c’est ici un bel ouvrage que l’auteur signe.

Enfin, les deux dernières nouvelles du tome arrivent. Vanilla star, la première, est certainement en passe de devenir la meilleure histoire de Bexboy. L’histoire de Takeshi, homosexuel avéré prenant un certain plaisir devant des films érotiques pour hommes comme lui, tombe subitement sous le charme de Yûto, un acteur qui lui saute aux yeux. Il va tout faire pour le retrouver, économiser et se payer ses charmes, après avoir appris pour ses activités nocturnes particulières. Ainsi, c’est le bonheur … sauf que le beau jeune homme ne fait que son métier, et que pour le revoir et lui plaire, Takeshi va devoir faire beaucoup d’efforts … En un chapitre, l’auteur parvient à nous plaire, à titiller notre curiosité et à nous donner l’irrépressible envie d’avoir la suite. Une histoire mature, une narration particulière, un héros attachant … Que demander de mieux ? De plus, le dessin, assez fin et à peine ce qu’il faut comme aspect brouillon, est agréable à regarder, d’autant plus que les deux personnages ont un style qui, semblerait, leur corresponde bien. La dernière histoire tourne plus vers le fantastique, avec une insupportable poupée, « bloody doll », qui séduit par sa beauté mais ne reste jamais longtemps dans les mains d’un même propriétaire … Shin va toutefois tenter l’expérience, à ses risques et périls. Le scénario est un peu léger, peu original, mais l’humour et le caractère de Bolet passent plutôt bien auprès des lecteurs, de même que les dessins enchanteurs mettant en valeur des beaux yeux de biche, des détails relativement travaillés mais des SD trop récurrents.

Continuant sur sa lancée, le magazine Bexboy est plein de bonnes surprises, surtout avec ces nouvelles séries qui débarquent à l’intérieur, à la fois réalistes, drôles ou touchantes. On sent un potentiel réel dans les séries choisies par l’auteur, et il ne reste plus qu’à attendre leurs sorties en reliés pour en profiter intégralement ! Dernier point, Asuka a l'air de plus en plus axé sur la communication, les jeux, interviews et informations. Bref, ce qui constitue un véritable magazine ... Et c'est une excellente initiative !
[Définir, c'est limiter.]
[Le critique est celui qui peut transposer d'une autre manière ou traduire en éléments nouveaux, son impression de la beauté.]

Oscar Wilde, Le portrait de Dorian Gray

Mon trésor
MON coup de cœur, MA pub.

Yuninfinity

Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par Yuninfinity » 13 mai 2010, 21:21

Un bonne initiative de la part d'Akuza.

Peu de série ont retenu mon intention... mais pour les yaoi que j'ai découvert ou que je connaissais déjà, j'ai fais ma "checklist"

- Viewfinder que je connaissais déjà, est évidemment celle que j'ai de suite adopté.
- My demond and me est assez étrange, c'est un ovni ce truc o_O, mais il me plait.
- Hey Sensei déjà sorti, se retrouve dans ma Mangathèque évidemment, bien qu'il s'agisse d'un one shot, je l'ai trouvé trop court, dommage !
- Lovely Teachers également en librairie a rejoint le reste de mon fidèle troupeau, et hérite un peu de la même impression que Hey Sensei.
- Plus récemment Vanilla Star est une agréable surprise, j'ai hâte de l'avoir en main...
- Même chose pour The Path Love, j'ai surtout apprécié l'incroyable parité entre les personnages.

Puis les autres j'ai pas du tout accroché, plein de clichés, Silent Love (dommage le graphisme est génial) et compagnie m'ont pas transporté.

Avatar du membre
shun
Messages : 918
Enregistré le : 23 sept. 2004, 21:43

Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par shun » 22 juin 2010, 09:09

je viens d'avoir le numéro 6 et cool pour le 7 qui sort a la japan expo, on aura en exclu un one shot ( 1 chap ) de yuka nita ( prépublié y'a a peine quelque semaines au jap ). j'aime bien ce genre d'exclu au mag, car ça sortira peut être pas tout de suite en relié au japon.
Groupe facebook de vente manga en Belgique : https://www.facebook.com/groups/1024308 ... 6/?fref=ts

Avatar du membre
lilithme
Messages : 9
Enregistré le : 18 juin 2010, 10:58

Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par lilithme » 22 juin 2010, 16:31

Personnellement je trouve quand même que le niveau n'est pas bien haut dans les prépublications choisies, à part effectivement quelques unes qui sortent du lot comme My Demon and Me ou Viewfinder, mais à part ça on reste vraiment dans les clichés du genre, lire tout ça à la suite pour moi ça fait trop! Je comprends qu'on puisse trouver ça divertissant, mais après avoir lu "le Jeu du Chat et de la Souris" je suis en fait devenue vachement plus difficile sur la qualité des histoires et la profondeur des personnages!

Avatar du membre
shun
Messages : 918
Enregistré le : 23 sept. 2004, 21:43

Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par shun » 24 juin 2010, 20:19

pour les nouveaux titre prévu dans ce prochain numéro, voici la liste :

- In the Name of Beauty de Modoru Motoni
- In God’s Arms de Yonezou Nekota
- Open 24 hours a day de Moi Tennohji
- Lost Memories de Yu Minazuki
Groupe facebook de vente manga en Belgique : https://www.facebook.com/groups/1024308 ... 6/?fref=ts

Yuninfinity

Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par Yuninfinity » 05 juil. 2010, 16:25

lilithme a écrit :Personnellement je trouve quand même que le niveau n'est pas bien haut dans les prépublications choisies, à part effectivement quelques unes qui sortent du lot comme My Demon and Me ou Viewfinder, mais à part ça on reste vraiment dans les clichés du genre, lire tout ça à la suite pour moi ça fait trop! Je comprends qu'on puisse trouver ça divertissant, mais après avoir lu "le Jeu du Chat et de la Souris" je suis en fait devenue vachement plus difficile sur la qualité des histoires et la profondeur des personnages!
Ça fou un coup de lire ça, mais c'est tellement vrai... surtout qu'on a plus de One Shots que de vraies et bonnes séries. On nous bombarde avec la quantité en dénigrant la qualité, dommage.

My Demon and Me, Viewfinder, Vanilla Star et The Path Love reste tout de même dans mes préférences ^^

J'ai que ça à quoi m'accrocher pour l'instant alors... XD

Avatar du membre
NiDNiM
Otaku Girl
Messages : 1300
Enregistré le : 30 nov. 2008, 17:53
Localisation : Avec ma chérie

Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par NiDNiM » 06 juil. 2010, 20:23

(Oui je suis en retard d'une publication, je sais :D)

Magazine Be x Boy 5 :

Un tome avec moins de surprises, mais les amateurs seront heureux de retrouver les toutes dernières séries du magazine, qui continuent globalement toutes sur leur bonne lancée. Rien de bien nouveau avec Yebisu Celebrities, on est satisfaits de s’attarder sur un même couple, mais la narration est toujours un peu trop plate, bien qu’elle s’améliore petit à petit. The school of muse est assez déroutant, puisque le principe est de changer de couple à chaque chapitre. Ce mode de récit employé est un peu léger pour approfondir les personnages et s’attarder sur leurs sentiments, toutefois l’auteur parvient avec brio à exploiter ceux-ci dans ce qu’ils ont à donner. Sympathique, bien que parfois un tantinet frustrant lorsque l’on apprécie un des couples … Viewfinder s’améliore doucement mais sûrement, grâce à un contexte plus réaliste, plus mafioso, plus axé sur l’entourage de Feilong et sur son parcours au sein de l’organisation mafieuse chinoise. On apprécie de découvrir un peu plus ce personnage, même si les dernières pages de ce chapitre ne plairont pas forcément … Une allusion sur une relation entre frères ? Bof … Mais attendons de voir ce qu’il en est par la suite. Welcome to the chemistry lab accélère la cadence, pas forcément pour notre plus grand plaisir. « M’sieur Shiba » se révèle être un simple pervers avec un pseudo passé sombre, et la relation charnelle qu’il a avec son élève n’est pas aussi mystérieuse que l’on espérait !

On enchaine avec My demon and me, qui est en fait une petite nouvelle de fin de tome, reprenant la relation élève professeur. Aucune originalité, aucun suivi, et très peu d’intérêt … Des personnages sortis de nulle part nous entraînent dans une romance mille et une fois jouée, et ce chapitre se fait rapidement oublier. Vanilla Star confirme par contre son intérêt, avec une certaine chaleur innocente et légère dans un récit qui était plus détaché et mature. Un peu de contraste ne fait jamais de mal, et les sentiments des personnages sont suffisamment aboutis et pertinents pour intéresser le lecteur, sans compter que le style graphique est plutôt plaisant ! Lover’s doll prend une voie sans doute plus prometteuse qu’à ses débuts, puisque l’on s’amuse volontiers à s’attarder sur les sentiments vulnérables d’une poupée possessive et capricieuse, émotions assez inhabituelles chez un objet. The path of love continue sur une petite lancée tranquille, quotidienne, sans remous. Sympathique, mais pas extraordinaire, ce chapitre ne se démarque pas même si l’on ne doute pas que dans le contexte d’un volume relié, à la suite de ce qu’on a déjà pu lire, ledit chapitre pourra être bien plus intéressant. Enfin, Silent love continuera de séduire les fans, avec son humour camouflé, sa tendresse et la grande qualité d’inexpression de son personnage principal. Sans sexe, ce dernier chapitre a de plus l’avantage de se reconcentrer sur les émotions des protagonistes.

En définitive, on est plutôt satisfaits des nouvelles séries, les anciennes ayant parfois du mal à se renouveler et à séduire autant, on attend avec impatience un autre renouvellement ! Comme à l’ordinaire, on se perd un peu avec toute cette diversité d’un coup, ce qui peut parfois donner l’impression que nombreuses sont les histoires qui se ressemblent …
[Définir, c'est limiter.]
[Le critique est celui qui peut transposer d'une autre manière ou traduire en éléments nouveaux, son impression de la beauté.]

Oscar Wilde, Le portrait de Dorian Gray

Mon trésor
MON coup de cœur, MA pub.

Répondre