J'ai acheté les 5 premiers tomes (pour le moment) et j'ai adoré les premiers. Vraiment drôle, des personnages très intéressants et une certaine originalité. Mais (oui il y a un "mais") après, je me suis rendue compte qu'il n'y avait pas d'histoire continue. Ce qui est vraiment vraiment dommage. Et moi, je déteste ce genre de manga qui enchainent les chapitres sans qu'il n'y ait de continuité. C'est tellement dommage car au final, my lovely hockey club aurait vraiment pu être irrésistible pour moi.
Donc je vais attendre de voir si il commence a y avoir une histoire dans les prochains tomes (pas jusqu'au 8 de toute évidence vu ce que tu dis Koiwai ^^) et sinon j'me les achèterai quand j'aurai envie de bien rigoler (on peut pas lui enlever ça au moins).
My lovely Hockey Club
Re: My lovely Hockey Club
Tome 9:
Depuis qu'un prince a volé son premier baiser à Hana, Izumi est furax ! Sous la houlette de Natsuki, les autres membres du club décident de tout faire pour effacer la mauvaise humeur de leur camarade, et mieux encore, pour tenter de rapprocher Hana et Izumi. Mais évidemment, avec de tels énergumènes, rien ne va se passer comme prévu et la situation va aller de mal en pis, pour le plus grand bonheur de nos zygomatiques! Les uns après les autres, les plans des membres du club échouent lamentablement, et il leur faudra toute la patience du monde pour réussir à réconcilier les deux zigotos.
Dans la suite du volume, Izumi va à nouveau vouloir se détacher de sa "maman-poule" Itoigawa et tenter de se débrouiller tout seul dans la vie quotidienne, ce qui va être synonyme de dégâts. Quant au dernier chapitre, il propose de revenir sur une partie de l'enfance d'Izumi et Itoigawa, au moment de leur première rencontre, anthologique, avec ce diable de Natsuki.
Avec ce neuvième volume, la série est plus que jamais en vitesse de croisière. Les gags s'enchaînent comme dans une machine bien huilée et font généralement sourire, mais le tout peine de plus en plus à se renouveler. Si quelques nouveaux personnages très secondaires, comme une prof n'hésitant pas à draguer ses élèves sous ses airs d'innocente, viennent apporter un peu de fraîcheur, le tout repose généralement encore et toujours sur les même éléments: l'idiotie d'Izumi, la goinfrerie de Hana, les crises de la poule Wacky, le sadisme de Natsuki... L'attachement que l'on a pour tous ces personnages continue de rendre la lecture plaisante, mais il serait bon qu'Ai Morinaga parviennent réellement à proposer du nouveau et se laisse plus partir en vrille comme elle le faisait si bien dans le fabuleux destin de Taro Yamada. Ici, finalement, les seuls véritables gros délires arrivent par l'intermédiaire de l'excellent Martin, débile à souhait.
Si la lecture reste divertissante, My lovely hockey club s'enfonce à chaque fois un peu plus dans un manque de renouvellement et de folie qui rend la série un peu longuette par instants.
Depuis qu'un prince a volé son premier baiser à Hana, Izumi est furax ! Sous la houlette de Natsuki, les autres membres du club décident de tout faire pour effacer la mauvaise humeur de leur camarade, et mieux encore, pour tenter de rapprocher Hana et Izumi. Mais évidemment, avec de tels énergumènes, rien ne va se passer comme prévu et la situation va aller de mal en pis, pour le plus grand bonheur de nos zygomatiques! Les uns après les autres, les plans des membres du club échouent lamentablement, et il leur faudra toute la patience du monde pour réussir à réconcilier les deux zigotos.
Dans la suite du volume, Izumi va à nouveau vouloir se détacher de sa "maman-poule" Itoigawa et tenter de se débrouiller tout seul dans la vie quotidienne, ce qui va être synonyme de dégâts. Quant au dernier chapitre, il propose de revenir sur une partie de l'enfance d'Izumi et Itoigawa, au moment de leur première rencontre, anthologique, avec ce diable de Natsuki.
Avec ce neuvième volume, la série est plus que jamais en vitesse de croisière. Les gags s'enchaînent comme dans une machine bien huilée et font généralement sourire, mais le tout peine de plus en plus à se renouveler. Si quelques nouveaux personnages très secondaires, comme une prof n'hésitant pas à draguer ses élèves sous ses airs d'innocente, viennent apporter un peu de fraîcheur, le tout repose généralement encore et toujours sur les même éléments: l'idiotie d'Izumi, la goinfrerie de Hana, les crises de la poule Wacky, le sadisme de Natsuki... L'attachement que l'on a pour tous ces personnages continue de rendre la lecture plaisante, mais il serait bon qu'Ai Morinaga parviennent réellement à proposer du nouveau et se laisse plus partir en vrille comme elle le faisait si bien dans le fabuleux destin de Taro Yamada. Ici, finalement, les seuls véritables gros délires arrivent par l'intermédiaire de l'excellent Martin, débile à souhait.
Si la lecture reste divertissante, My lovely hockey club s'enfonce à chaque fois un peu plus dans un manque de renouvellement et de folie qui rend la série un peu longuette par instants.
Re: My lovely Hockey Club
Tome 10:
Izumi est décidément un garçon imprévisible (ou prévisible dans la débilité, au choix), et cette fois-ci, il se rpend de lubie pour les kappas et décide d'aller en débusquer un, sous l'oeil atterré de Hana... Parce que, tout le monde le sait, les kappas, ça n'existe pas... N'est-ce pas ?... Hein... Que... Il en a trouvé un ?!
Nouvelle lubie pour Izumi, et nouveau chapitre de n'importe quoi, où les coïncidences grosse comme une maison s'enchaînent pour le bien des gags. On retrouve une Hana très terre à terre face à ce kappa dont elle se méfie, et elle a bien raison. Mais Izumi, lui, préfère s'occuper de son kappa, le réchauffant en le serrant fort contre son corps nu, ou lui offrant allègrement la viande de Hana (sacrilège !). Cousu de fil blanc, se renouvelant peu, la chapitre fait néanmoins sourire grâce aux frasques d'Izumi et aux malheurs de Hana, mais pitié, un peu de nouveauté ne ferait pas de mal à la série !
La nouveauté, on aurait pu croire qu'elle arriverait dès le chapitre suivant, qui voit Izumi chassé de chez lui par son père pour une raison idiote (ça va de soi) et se retrouve hébergé dans la famille de Hana (oh oh !), puis dans le chapitre suivant qui voit nos deux héros contraints de se rendre à une cure thermale en compagnie d'une bande de vieilles et de vieux très orientés vers la chose.
A plusieurs reprises, on sourit sans problème face à la palette de personnages secondaires que nous présente Ai Morinaga, entre le grand-père de Hana qui force Izumi à se lever à 4h du matin pour faire du tofu, la mère de notre héroïne qui cherche par tous les moyens à rapprocher sa fille de son nouveau locataire pour leur offrir une belle lune de miel (?!), ou cette bande de vieilles et vieux dont la laideur et la grossièreté n'a d'égal que l'appétit sexuel.
Autant de seconds rôles propices à des situations cocasses ou gênantes pour nos deux héros, propices au rire pour le lecteur, mais malheureusement, le tout en vient vite à encore tourner en rond ici, Morinaga se basant sur les mêmes éléments pour son humour, ne faisant rien avancer au détour de ces chapitres indépendants, et oubliant même les autres membres du club de hockey au passage.
Ceux-là, il faut attendre le dernier chapitre du tome pour les revoir... et pour revoir le sujet du hockey par la même occasion ! Une nouvelle année scolaire débute, nos héros sont tellement idiots qu'ils ont tous redoublé si on en croit Morinaga dans sa préface, l'heure des inscriptions en club est arrivée, et Izumi et les autres sont bien décidés à repousser toutes les candidatures pour leur club. Pourtant, il leur est difficile de résister à cleui qui se présente face à eux, jeune garçn 100% efféminé, qui s'est inscrit dans leur lycée juste pour jouer au hockey malgré sa condition physique qui l'envoie au seuil de la mort au moindre effort.
En soi, revoir le sujet du hockey après tant de volumes où il était absent fait plaisir, et l'apparition d'un nouveau personnage réjouit, mais qu'on se le dise, tout ceci ne sera encore l'affaire que d'un chapitre, au sein duquel la mangaka va se faire un plaisir d'exploiter le plus possible en un minimum de pages de caractère de son héros d'un chapitre, vraiment doté d'une très mauvaise condition physique... On rigole la première fois, on sourit la deuxième, on se lasse la troisième.
Le temps des excellents premiers volumes de My lovely hockey club semble loin. La lecture reste amusante, mais n'a plus le charme des débuts, la faute à une auteure qui s'est trop enfoncée dans son rythme de croisière et a tendance à tourner en rond. Il lui reste quatre volume pour rectifier ça.
Izumi est décidément un garçon imprévisible (ou prévisible dans la débilité, au choix), et cette fois-ci, il se rpend de lubie pour les kappas et décide d'aller en débusquer un, sous l'oeil atterré de Hana... Parce que, tout le monde le sait, les kappas, ça n'existe pas... N'est-ce pas ?... Hein... Que... Il en a trouvé un ?!
Nouvelle lubie pour Izumi, et nouveau chapitre de n'importe quoi, où les coïncidences grosse comme une maison s'enchaînent pour le bien des gags. On retrouve une Hana très terre à terre face à ce kappa dont elle se méfie, et elle a bien raison. Mais Izumi, lui, préfère s'occuper de son kappa, le réchauffant en le serrant fort contre son corps nu, ou lui offrant allègrement la viande de Hana (sacrilège !). Cousu de fil blanc, se renouvelant peu, la chapitre fait néanmoins sourire grâce aux frasques d'Izumi et aux malheurs de Hana, mais pitié, un peu de nouveauté ne ferait pas de mal à la série !
La nouveauté, on aurait pu croire qu'elle arriverait dès le chapitre suivant, qui voit Izumi chassé de chez lui par son père pour une raison idiote (ça va de soi) et se retrouve hébergé dans la famille de Hana (oh oh !), puis dans le chapitre suivant qui voit nos deux héros contraints de se rendre à une cure thermale en compagnie d'une bande de vieilles et de vieux très orientés vers la chose.
A plusieurs reprises, on sourit sans problème face à la palette de personnages secondaires que nous présente Ai Morinaga, entre le grand-père de Hana qui force Izumi à se lever à 4h du matin pour faire du tofu, la mère de notre héroïne qui cherche par tous les moyens à rapprocher sa fille de son nouveau locataire pour leur offrir une belle lune de miel (?!), ou cette bande de vieilles et vieux dont la laideur et la grossièreté n'a d'égal que l'appétit sexuel.
Autant de seconds rôles propices à des situations cocasses ou gênantes pour nos deux héros, propices au rire pour le lecteur, mais malheureusement, le tout en vient vite à encore tourner en rond ici, Morinaga se basant sur les mêmes éléments pour son humour, ne faisant rien avancer au détour de ces chapitres indépendants, et oubliant même les autres membres du club de hockey au passage.
Ceux-là, il faut attendre le dernier chapitre du tome pour les revoir... et pour revoir le sujet du hockey par la même occasion ! Une nouvelle année scolaire débute, nos héros sont tellement idiots qu'ils ont tous redoublé si on en croit Morinaga dans sa préface, l'heure des inscriptions en club est arrivée, et Izumi et les autres sont bien décidés à repousser toutes les candidatures pour leur club. Pourtant, il leur est difficile de résister à cleui qui se présente face à eux, jeune garçn 100% efféminé, qui s'est inscrit dans leur lycée juste pour jouer au hockey malgré sa condition physique qui l'envoie au seuil de la mort au moindre effort.
En soi, revoir le sujet du hockey après tant de volumes où il était absent fait plaisir, et l'apparition d'un nouveau personnage réjouit, mais qu'on se le dise, tout ceci ne sera encore l'affaire que d'un chapitre, au sein duquel la mangaka va se faire un plaisir d'exploiter le plus possible en un minimum de pages de caractère de son héros d'un chapitre, vraiment doté d'une très mauvaise condition physique... On rigole la première fois, on sourit la deuxième, on se lasse la troisième.
Le temps des excellents premiers volumes de My lovely hockey club semble loin. La lecture reste amusante, mais n'a plus le charme des débuts, la faute à une auteure qui s'est trop enfoncée dans son rythme de croisière et a tendance à tourner en rond. Il lui reste quatre volume pour rectifier ça.
Re: My lovely Hockey Club
Tome 11:
Quatre histoires sont de nouveau au programme de ce volume
Alors que la fête du lycée approche, une nouvelle lubie s'empare d'Izumi : le club fera un film de pirates ! Tandis que chacun se voit affublé d'un rôle, des visages connus reviennent pour s'incruster : tandis que le narcissique Mr Saint-Martin s'autoproclame héros de l'histoire, le père pirate de Natsuki débarque à l'improviste, et Moé, notre fujoshi de service, se place au scénario et est bien décidée à en profiter pour fantasmer sur certaines situations... Autant dire que le tournage s'annonce grand-guignolesque et que le résultat final sera loin de ce qu'espérait Izumi...
Dans la suite du volume, Itoigawa se prend de sympathie pour un gamin qui lui rappelle... son poisson rouge, et provoque la jalousie de ce grand capricieux d'Izumi. Puis une tête connue revient sur le devant de la scène pour tenter vainement de s'emparer du coeur insensible de Hana tout en provoquant à nouveau la jalousie d'Izumi. Et pour finir, Izumi se retrouve disciple d'un vieillard dans la montagne, pour pratiquer l'ascèse en compagnie d'un écureuil volant, d'un raton laveur et d'une biche.
En somme, que des idées complètement barrées et débiles, que de la routine pour My lovely hockey club. La recette ne change pas, les histoires indépendantes sont toujours au programme, et il ne faudra compter sur aucune évolution dans la relation entre Hana et Izumi, même si Ai Morinaga insiste de plus en plus sur la jalousie maladive de ce dernier. Et pourtant, ici, après quelques volumes un peu redondants, la sauce reprend.
Cela, on le doit à plusieurs choses. Tout d'abord, aux personnages secondaires entrevus dans quelques tomes précédents, qui sont ici nombreux à réapparaître. Mais également à ce qui a toujours rendu les oeuvres d'Ai Morinaga si exquises : un certain goût pour taquiner et malmener les personnages et pour flirter avec l'amoral. Ici, les protagonistes, Izumi en tête, morflent bien à quelques reprises et subissent de petites humiliations comme on les aime. Quant à la petite dose d'amoralité, on peut l'entrevoir via le vieillard du dernier chapitre ou la gamine de 12 ans qui se met à coller Itoigawa... Cela n'est somme toute pas mis en avant, mais fait plaisir à revoir. Sur ces points, on ne retrouve donc pas encore les meilleurs moments des premiers volumes et l'excellence du Fabuleux destin de Taro Yamada ou du Vilain petit canard, mais, c'est un fait, on est heureux de retrouver un tant soit peu cette caractéristique.
Enfin, on peut toujours compter sur la débilité profonde de certaines situations (la pratique de l'ascèse avec des animaux...) et les running gags avec la gloutonnerie et la flemme prononcée de Hana.
Au final, on se retrouve avec un volume encore loin d'atteindre l'excellent niveau des tout premiers tomes, mais qui se révèle sympathique, car renouant un petit peu avec les bonnes vieilles (absences de) valeurs d'Ai Morinaga. Pourvu que ça dure !
Quatre histoires sont de nouveau au programme de ce volume
Alors que la fête du lycée approche, une nouvelle lubie s'empare d'Izumi : le club fera un film de pirates ! Tandis que chacun se voit affublé d'un rôle, des visages connus reviennent pour s'incruster : tandis que le narcissique Mr Saint-Martin s'autoproclame héros de l'histoire, le père pirate de Natsuki débarque à l'improviste, et Moé, notre fujoshi de service, se place au scénario et est bien décidée à en profiter pour fantasmer sur certaines situations... Autant dire que le tournage s'annonce grand-guignolesque et que le résultat final sera loin de ce qu'espérait Izumi...
Dans la suite du volume, Itoigawa se prend de sympathie pour un gamin qui lui rappelle... son poisson rouge, et provoque la jalousie de ce grand capricieux d'Izumi. Puis une tête connue revient sur le devant de la scène pour tenter vainement de s'emparer du coeur insensible de Hana tout en provoquant à nouveau la jalousie d'Izumi. Et pour finir, Izumi se retrouve disciple d'un vieillard dans la montagne, pour pratiquer l'ascèse en compagnie d'un écureuil volant, d'un raton laveur et d'une biche.
En somme, que des idées complètement barrées et débiles, que de la routine pour My lovely hockey club. La recette ne change pas, les histoires indépendantes sont toujours au programme, et il ne faudra compter sur aucune évolution dans la relation entre Hana et Izumi, même si Ai Morinaga insiste de plus en plus sur la jalousie maladive de ce dernier. Et pourtant, ici, après quelques volumes un peu redondants, la sauce reprend.
Cela, on le doit à plusieurs choses. Tout d'abord, aux personnages secondaires entrevus dans quelques tomes précédents, qui sont ici nombreux à réapparaître. Mais également à ce qui a toujours rendu les oeuvres d'Ai Morinaga si exquises : un certain goût pour taquiner et malmener les personnages et pour flirter avec l'amoral. Ici, les protagonistes, Izumi en tête, morflent bien à quelques reprises et subissent de petites humiliations comme on les aime. Quant à la petite dose d'amoralité, on peut l'entrevoir via le vieillard du dernier chapitre ou la gamine de 12 ans qui se met à coller Itoigawa... Cela n'est somme toute pas mis en avant, mais fait plaisir à revoir. Sur ces points, on ne retrouve donc pas encore les meilleurs moments des premiers volumes et l'excellence du Fabuleux destin de Taro Yamada ou du Vilain petit canard, mais, c'est un fait, on est heureux de retrouver un tant soit peu cette caractéristique.
Enfin, on peut toujours compter sur la débilité profonde de certaines situations (la pratique de l'ascèse avec des animaux...) et les running gags avec la gloutonnerie et la flemme prononcée de Hana.
Au final, on se retrouve avec un volume encore loin d'atteindre l'excellent niveau des tout premiers tomes, mais qui se révèle sympathique, car renouant un petit peu avec les bonnes vieilles (absences de) valeurs d'Ai Morinaga. Pourvu que ça dure !
Re: My lovely Hockey Club
Tome 12:
Les aventures du club de hockey sur gazon se poursuivent, sans qu'il ne soit question un seul instant de hockey. Par contre, côté voyages, nos héros se font une nouvelle fois plaisir : un premier voyage où ils se retrouvent à la recherche du trésor des Tokugawa en compagnie d'une bande de vieillards branques , un deuxième à Hokkaidô où, ils se retrouvent chez une étrange femme dont Natsuki s'éprend... Les recettes classiques, en somme, mais ici, elles ont de plus en plus de mal à convaincre : Ai Morinaga fait dans la facilité, enchaîne des gags vus et revus, propose des conclusions cousues de fil blanc... On sourit à quelques reprises, mais le tout manque totalement de renouvellement.
Pourtant, la fin de l'histoire à Hokkaido enclenche pour la première fois un fil conducteur annonçant la fin prochaine de la série. Natsuki, toujours aussi taquin, envoie à la figure d'Izumi une terrible réalité : il est amoureux de Hana ! Et pour forcer le brun de la bande à enfin assumer ses sentiments, Natsuki n'hésite pas à employer les grands moyens.
Tout dans la facilité : voilà qui résume assez bien ce qui enclenche sûrement la dernière ligne droite de la série. L'heure est venue pour les sentiments de se dévoiler réellement, même si la route est encore longue, et pour cela, Ai Morinaga utilise les grosses ficelles, en se basant à nouveau sur les habituels voyages et sur de l'humour déjà épuisé jusqu'à la moelle : le manque total d'assurance d'Izumi face à ses sentiments, le côté taquin de Natsuki, une Hana qui ne capte rien et ne pense encore et toujours qu'à manger et dormir (ce qui permet à nouveau quelques bouilles totalement idiotes de notre héroïne, mais même là, on se lasse tant c'est du déjà vu)...
L'arrivée de la dernière ligne droite de la série fait plaisir à voir, mais il est dommage qu'Ai Morinaga tombe dans tant de facilité et de déjà vu. Le récit s'essouffle, mais étant donné qu'il reste encore deux tomes, on peut espérer avoir une conclusion réussie, si la mangaka retrouve son meilleur niveau et parvient à nous surprendre.
Les aventures du club de hockey sur gazon se poursuivent, sans qu'il ne soit question un seul instant de hockey. Par contre, côté voyages, nos héros se font une nouvelle fois plaisir : un premier voyage où ils se retrouvent à la recherche du trésor des Tokugawa en compagnie d'une bande de vieillards branques , un deuxième à Hokkaidô où, ils se retrouvent chez une étrange femme dont Natsuki s'éprend... Les recettes classiques, en somme, mais ici, elles ont de plus en plus de mal à convaincre : Ai Morinaga fait dans la facilité, enchaîne des gags vus et revus, propose des conclusions cousues de fil blanc... On sourit à quelques reprises, mais le tout manque totalement de renouvellement.
Pourtant, la fin de l'histoire à Hokkaido enclenche pour la première fois un fil conducteur annonçant la fin prochaine de la série. Natsuki, toujours aussi taquin, envoie à la figure d'Izumi une terrible réalité : il est amoureux de Hana ! Et pour forcer le brun de la bande à enfin assumer ses sentiments, Natsuki n'hésite pas à employer les grands moyens.
Tout dans la facilité : voilà qui résume assez bien ce qui enclenche sûrement la dernière ligne droite de la série. L'heure est venue pour les sentiments de se dévoiler réellement, même si la route est encore longue, et pour cela, Ai Morinaga utilise les grosses ficelles, en se basant à nouveau sur les habituels voyages et sur de l'humour déjà épuisé jusqu'à la moelle : le manque total d'assurance d'Izumi face à ses sentiments, le côté taquin de Natsuki, une Hana qui ne capte rien et ne pense encore et toujours qu'à manger et dormir (ce qui permet à nouveau quelques bouilles totalement idiotes de notre héroïne, mais même là, on se lasse tant c'est du déjà vu)...
L'arrivée de la dernière ligne droite de la série fait plaisir à voir, mais il est dommage qu'Ai Morinaga tombe dans tant de facilité et de déjà vu. Le récit s'essouffle, mais étant donné qu'il reste encore deux tomes, on peut espérer avoir une conclusion réussie, si la mangaka retrouve son meilleur niveau et parvient à nous surprendre.
Re: My lovely Hockey Club
Tome 13 :
Dix mois ! Il aura fallu attendre dix mois avant de pouvoir lire le treizième et avant-dernier volume de My lovely hockey club. Un état de fait assez frustrant, au vu de la fin du douzième volume. Mais fort heureusement, la série d'Ai Morinaga ne devrait plus connaître de tels aléas, puisque le quatorzième et dernier volume est annoncé pour avril prochain.
On retrouve donc une Hana qui ne sait pas comment réagir face à la soudaine et inattendue déclaration de Natsuki ! Voici la jeune fille dans un sérieux embarras, elle qui n'a jamais eu pour habitude de se faire draguer ! Et la situation est d'autant plus complexe que Natsuki, qui accumule les cadeaux auprès des parents de la jeune fille et se montre extrêmement serviable, semble déjà totalement accepté par la famille !
Mais Izumi n'a pas dit son dernier mot. Maintenant qu'il a conscience de ses sentiments pour Hana, il lui faut prendre son courage à deux mains et se déclarer avant que l'élue de son coeur ne lui soit définitivement volée...
Enclenchée dans le douzième tome, la dernière ligne droite de My lovely hockey club est confirmée dans un treizième tome qui laisse la part belle au triangle amoureux composé de Hana, Natsuki et Izumi. Parfait en tout points, le blondinet a toutes les faveurs de la mère de Hana, au détriment d'un Izumi qui, malgré tous ses efforts et l'aide précieuse d'Itoigawa, accumule les échecs cuisants auprès de notre héroïne, un peu perdue au milieu de tout ce bazar, et qui, fidèle à elle-même, préfère tout fuir par fainéantise...
Au final, on s'amuse pas mal dans un volume qui renoue un tant soit peu avec ce qui fait la force de la mangaka, à savoir un don certain pour malmener ses personnages. Ainsi, les malheurs d'un Izumi qui fait pourtant tant d'efforts ont de quoi amuser, tandis que cette chère Hana reste délicieusement à côté de la plaque. De plus, il est appréciable de voir que les personnages secondaires, comme les parents de Hana (qui vaudront eux aussi quelques éclats de rire), Itoigawa en aide d'Izumi, ou même Martin qui reste présent sans être très utile, ne sont pas oubliés.
En résulte un volume plutôt plaisant qui, s'il ne fait concrètement encore rien changer à la donne, parvient à offrir plusieurs bons moments en malmenant nos héros. C'est donc avec curiosité que l'on entamera le dernier volume, d'autant qu'un autre retour en fin de tome devrait pimenter une dernière fois les aventures de nos héros.
Dix mois ! Il aura fallu attendre dix mois avant de pouvoir lire le treizième et avant-dernier volume de My lovely hockey club. Un état de fait assez frustrant, au vu de la fin du douzième volume. Mais fort heureusement, la série d'Ai Morinaga ne devrait plus connaître de tels aléas, puisque le quatorzième et dernier volume est annoncé pour avril prochain.
On retrouve donc une Hana qui ne sait pas comment réagir face à la soudaine et inattendue déclaration de Natsuki ! Voici la jeune fille dans un sérieux embarras, elle qui n'a jamais eu pour habitude de se faire draguer ! Et la situation est d'autant plus complexe que Natsuki, qui accumule les cadeaux auprès des parents de la jeune fille et se montre extrêmement serviable, semble déjà totalement accepté par la famille !
Mais Izumi n'a pas dit son dernier mot. Maintenant qu'il a conscience de ses sentiments pour Hana, il lui faut prendre son courage à deux mains et se déclarer avant que l'élue de son coeur ne lui soit définitivement volée...
Enclenchée dans le douzième tome, la dernière ligne droite de My lovely hockey club est confirmée dans un treizième tome qui laisse la part belle au triangle amoureux composé de Hana, Natsuki et Izumi. Parfait en tout points, le blondinet a toutes les faveurs de la mère de Hana, au détriment d'un Izumi qui, malgré tous ses efforts et l'aide précieuse d'Itoigawa, accumule les échecs cuisants auprès de notre héroïne, un peu perdue au milieu de tout ce bazar, et qui, fidèle à elle-même, préfère tout fuir par fainéantise...
Au final, on s'amuse pas mal dans un volume qui renoue un tant soit peu avec ce qui fait la force de la mangaka, à savoir un don certain pour malmener ses personnages. Ainsi, les malheurs d'un Izumi qui fait pourtant tant d'efforts ont de quoi amuser, tandis que cette chère Hana reste délicieusement à côté de la plaque. De plus, il est appréciable de voir que les personnages secondaires, comme les parents de Hana (qui vaudront eux aussi quelques éclats de rire), Itoigawa en aide d'Izumi, ou même Martin qui reste présent sans être très utile, ne sont pas oubliés.
En résulte un volume plutôt plaisant qui, s'il ne fait concrètement encore rien changer à la donne, parvient à offrir plusieurs bons moments en malmenant nos héros. C'est donc avec curiosité que l'on entamera le dernier volume, d'autant qu'un autre retour en fin de tome devrait pimenter une dernière fois les aventures de nos héros.
Re: My lovely Hockey Club
Tome 14 :
Alors qu'elle passe un séjour dans une station thermale en compagnie de Natsuki et des jumeaux, Hana tombe nez à nez sur Izumi, accompagné de sa collante fiancée Tamako ! Et évidemment, cette situation ne manque pas de créer des crises de jalousie entre nos deux héros qui ont encore bien du mal à assumer leurs sentiments, et tout ceci fait le jeu de Natsuki et Tamako qui en profitent pour se rapprocher toujours plus de leur bien aimé(e)... Hana finira-t-elle avec Izumi ou avec Natsuki ? Ce quatorzième et dernier volume vous apportera la réponse... ou pas vraiment.
En effet, Ai Morinaga choisit ici la solution de la fin ouverte, ce qui frustrera sans doute certains lecteurs, d'autant que pendant les trois quarts du tome la mangaka s'amuse à semer le trouble dans les sentiments de Hana et Izumi, au gré de différents rebondissements ultra faciles et ou très banals (crise de jalousie, pleurs, voyage en Angleterre très soudain...) qui ne doivent leur salut qu'aux habituelles pointes d'humour. Et ce, bien que cet humour soit devenu trèèès répétitif en se basant jusqu'au bout sur les éléments habituels tels la goinfrerie de Hana ou sa capacité à s'endormir n'importe quand et n'importe comment. Heureusement, d'autres petits moments, comme le focus sur l'hilarant père de Hana, sont plus sympathiques en variant un peu plus les choses.
Bref, ça reste relativement amusant, mais il faut quand même avouer que la série a perdu énormément de son humour, au profit d'une intrigue sentimentale très banale et prévisible, qui s'étire pour au final pas grand chose.
Heureusement, il y a le dernier chapitre, qui, s'il reste ouvert, revient aux fondamentaux en remettant en avant le sujet tant oublié du hockey sur gazon, et ce de façon complètement idiote, invraisemblable et amusante, et de manière à revoir une dernière fois tous les personnages secondaires qui ont animé la série depuis ses débuts en nous faisant régulièrement hurler de rire.
En somme, le dernier tome de My lovely hockey club laisse une impression mi-figue mi-raisin, celle d'une série qui s'est un peu perdue en cours de route en peinant à se renouveler et en s'enfonçant ici dans une dernière ligne droite sentimentale tout juste sauvée par quelques bons gags et par un dernier chapitre qui vire dans du n'importe quoi appréciable, où l'on reconnaît enfin la patte habituelle de la mangaka. Pas totalement satisfaisant, mais pas déplaisant non plus.
Alors qu'elle passe un séjour dans une station thermale en compagnie de Natsuki et des jumeaux, Hana tombe nez à nez sur Izumi, accompagné de sa collante fiancée Tamako ! Et évidemment, cette situation ne manque pas de créer des crises de jalousie entre nos deux héros qui ont encore bien du mal à assumer leurs sentiments, et tout ceci fait le jeu de Natsuki et Tamako qui en profitent pour se rapprocher toujours plus de leur bien aimé(e)... Hana finira-t-elle avec Izumi ou avec Natsuki ? Ce quatorzième et dernier volume vous apportera la réponse... ou pas vraiment.
En effet, Ai Morinaga choisit ici la solution de la fin ouverte, ce qui frustrera sans doute certains lecteurs, d'autant que pendant les trois quarts du tome la mangaka s'amuse à semer le trouble dans les sentiments de Hana et Izumi, au gré de différents rebondissements ultra faciles et ou très banals (crise de jalousie, pleurs, voyage en Angleterre très soudain...) qui ne doivent leur salut qu'aux habituelles pointes d'humour. Et ce, bien que cet humour soit devenu trèèès répétitif en se basant jusqu'au bout sur les éléments habituels tels la goinfrerie de Hana ou sa capacité à s'endormir n'importe quand et n'importe comment. Heureusement, d'autres petits moments, comme le focus sur l'hilarant père de Hana, sont plus sympathiques en variant un peu plus les choses.
Bref, ça reste relativement amusant, mais il faut quand même avouer que la série a perdu énormément de son humour, au profit d'une intrigue sentimentale très banale et prévisible, qui s'étire pour au final pas grand chose.
Heureusement, il y a le dernier chapitre, qui, s'il reste ouvert, revient aux fondamentaux en remettant en avant le sujet tant oublié du hockey sur gazon, et ce de façon complètement idiote, invraisemblable et amusante, et de manière à revoir une dernière fois tous les personnages secondaires qui ont animé la série depuis ses débuts en nous faisant régulièrement hurler de rire.
En somme, le dernier tome de My lovely hockey club laisse une impression mi-figue mi-raisin, celle d'une série qui s'est un peu perdue en cours de route en peinant à se renouveler et en s'enfonçant ici dans une dernière ligne droite sentimentale tout juste sauvée par quelques bons gags et par un dernier chapitre qui vire dans du n'importe quoi appréciable, où l'on reconnaît enfin la patte habituelle de la mangaka. Pas totalement satisfaisant, mais pas déplaisant non plus.