En fait, le fait d'appeler un majordome "Sébastien" n'est pas une référence à Black Butler ; il s'agit plutôt d'un cliché japonais comme quoi tous les majordomes doivent s'appeler Sébastien, dont s'est inspiré l'auteur de Black Butler (entre autres).Takato a écrit :[...] quelques références sont faites dans ce premier tome (notamment à Black Butler qui sont plutôt explicites)
Ou alors il y avait une autre référence directe que j'ai ratée à la lecture du tome.
Bon sinon, que dire ? Je l'ai lu. Ce n'est pas franchement de la daube, mais c'est loin de m'avoir emballée quand même. A la limite, la première partie avec la présentation des personnages était la plus supportable. Parce que dans la deuxième, je lui aurais donné des claques, à cette fille. Désolée de dire que non, même quand vous êtes une fujoshi (et je le sais, j'en suis une è_é) vous ne causez pas de ça non stop à votre copain, vous ne l'appelez pas "Sebas" toute la journée sous prétexte que vous prenez le thé, et vous lui demandez encore moins d'écrire un roman yaoi juste parce que vous avez envie de lire quelque chose sur votre titre préféré, malheureusement shônen (non, à la place, vous l'écrivez vous-même

J'ai trouvé que le personnage (j'ai déjà oublié son nom, d'ailleurs... ah oui, Yuiko... c'est marrant, c'est le nom de la cruche dans Loveless

Quant à Taiga, il était mou et lent à la détente au début, et dans la deuxième partie, il passe son temps à tomber des nues devant les délires psychotiques de sa copine. Faut-il qu'il l'aime pour pouvoir supporter ça. u_u'
En gros, des personnages pas attachants pour deux sous, à mon avis (on est loin d'un Académie Alice

Bref, ça ne m'a pas emballée. Dans le genre, Asai Rumi et son petit club d'Otaku Girls étaient bien plus convaincants dans le rôle des fujoshi et des victimes de fujoshi. Ici, ça roule beaucoup moins bien. En plus, je crains que si les détracteurs du yaoi tombent sur cette lecture, ils se disent "voilà !! toutes ces filles fan de yaoi sont complètement barges !!" et qu'ils en fassent une généralité d'un stéréotype. Dommage, toutes les fujoshi ne sont pas des hystériques... (Bon. Un peu. Mais pas autant que cette Yuiko. ... Ou du moins pas en public.)
Je lirai quand même le deuxième tome histoire de voir ce qu'il en est... Mais sinon, voilà, ça m'a pas convaincue.