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Résumé:

Jeune lycéenne, issue d'un milieu modeste, Tsukushi Makino est parvenue à intégrer l'un des établissements les plus prestigieux du pays. Très vite, elle se heurte à bande des F4, les garçons les plus populaires, mais qui font régner la terreur dans le lycée. La pauvre Tsukushi se retrouve vite persécutée moralement par les quatre garçons. Mais plutôt que de s'aplatir comme les autres et d'attendre que la vague passe, elle décide de leur tenir tête...

Avis:

Une jeune fille pauvre qui débarque dans un lycée de riche... de quoi provoquer de nombreux évènements. Si on rajoute à cela que les élèves de ce lycée sont absolument odieux et que l'héroïne possède un fort caractère et un grand courage, nous obtenons un manga au scénario palpitant. L'auteur fait une critique de la richesse à travers cette série. Ici, les riches sont représentés comme des personnes dédaigneuses et pouvant tout obtenir avec leur argent. Ils sont également cruels avec la pauvre Makino qui a osé se rebeller. Le F4, qui tient les rênes du lycée, semble être composé de personnages encore plus détestables que les autres. Pourtant, Makino va petit à petit se lier aux membres du groupe, notamment à Rui, un jeune homme froid et discret qui ne la laisse pas indifférente. Un autre membre du F4, Dômyôji, qui parait le pire de tous, va petit à petit s'attacher à la courageuse héroïne.
Tsukushi Makino est donc le moteur de ce manga. C'est un personnage attachant par sa combattivité. Malgré toutes les brimades que lui font vivre les élèves de son lycée, elle ne se laisse jamais faire et ne baisse pas les bras. En effet, il y a des passages durs dans Hana Yori Dango. On a d'ailleurs du mal à imaginer qu'une lycéenne puisse vivre tout cela, mais c'est aussi ce qui donne son charme au manga.
Cependant, il y a aussi de l'amour. Des sentiments vont naître entre certains personnages. Les relations demeureront toujours assez complexes du fait de la différence de classe entre Makino et les autres et des caractères des personnages, mais il y aura beaucoup de moments forts.
Il y a également des passages humoristiques. Dômyôji, qui peut être le protagoniste le plus terrible, a aussi un coté comique.
On remarquera que certains personnages évolueront et changeront au contact de l'héroïne. En dehors de Makino, plusieurs protagonistes ont également une personnalité intéressante, et l'auteur nous fait comprendre que la richesse ne fait pas forcément le bonheur. Les richissimes membres du F4 ont aussi leurs blessures...
Hana Yori Dango est donc une série pleine de surprises et de rebondissements, alternant entre passages durs, tristes et drôles. Cependant, le ton reste toujours optimiste grâce au caractère du personnage principal.
J'ai eu du mal à accrocher au graphismes au départ. En effet, au début de la série, les visages sont excessivement allongés, les traits trop arrondis et les tenues vestimentaires des personnages ne sont pas très travaillées. Cependant, au fil des volumes, on remarque une nette amélioration. Les dessins deviennent agréables, les habits et les décors bien détaillés.

J'ai donc été conquise par les périples de cette cendrillon des temps modernes. Ce manga, qui au départ me faisait peur au vu du nombre de volumes sortis, ne s'essouffle pas une seconde et m'a procuré beaucoup d'émotions. Je le conseille à tous!

C'est une très belle présentation!
Hana Yori Dango est une série intéressante, et l'adaptation en drama est très bonne ! J'avais commencé à lire le manga mais j'ai vite été rebuté par l'adaptation de glenat : sens français mais surtout beaucoup de fautes ! Notamment il y a une bulle dans le volume 1ou 2 (si je me souviens bien) ou tout les mots on été inversés, encrage très mauvais pour certaines pages...en faite je me suis beaucoup énervé en le lisant et du coup j'ai laissé tombé...mais bon je reprendrais peut être la série, surtout si il n'y pas d'essoufflement c'est vraiment dommage vue que c'est un classique, un shojo à avoir. D'ailleurs il faudrai que j'aille voir si l'adaptation s'améliore au fil des volumes...

à mon avis, une série plutot decevante sur la longueur.

L'idée de base est interessante: une jeune fille brillante mais pauvre fait ses études dans une école huppée remplie de petits bourgs et tombe amoureuse de l'un d'eux, alors qu'un des camarades du prince charmant s'interesse a elle.
Tsukushi est plutot ordinaire malgré un caractère bien trempé (identification facile avec le lectorat) et Domioji est tout ce qu'on peut s'imaginer de detestable chez un gosse élevé sans souci d'argent (arrogant et particulièrment stupide. Incapable d'être franc sans désamorcer l'instant suivant le poids de sa franchise) le reste des personnages secondaires ne servant qu'à relancer continuellement une situation bien établie aprés 3 tomes.
Les 2 amoureux transis s'aiment et se detestent sans être en phase plus de 20 pages d'affilée. Ils font preuve d'immaturité (surtout Domioji encore en phase "je lui tire les nattes parce que je l'aime"). Tsukushi de son coté ne cesse de reculer une écheance plus que probable en s'amourachant d'autres garçons ou en "merdant" lamentablement dans des moments clés pour l'avancement de leur idylle. (le coup de renverser là table de reception devant la mère de Domioji, par exemple). Il n'y a rien de realise dans cette histoire et bien peu de choses même vraisemblables. (les parents qui abandonnent Tsukushi pour trouver un travail dans un village de pecheur)

Donc pas du tout une série que je recommande dans son integralité, j'ai pour ma part souffert à terminer la lecture des tomes 13 à 29 (j'avais acheté le lot complet jusque là). Le personnages m'ont ennuyés, au mieux, exasperés par moments et au final indifferés completement. (j'en reviens toujours pas du passage où Tsukushi part à NY pour reconquerir Domioji et ne rencontre là-bas, sur 9 millions d'habitants, que des gens qu'elle connait.)

C'est vrai que ce manga n'a rien d'original, on sait déjà comment ça va se finir, mais étrangement, ça se laisse toujours lire.
J'ai arrêté et repris cette série deux fois. Je trouvais les graphismes trèèèès moche au début, le F4 n'ayant rien de beaux gosses, et la palme revenant à Shizuka, sensée être une beauté, et qui ressemble à un mec très moche quand elle décide de se couper les cheveux devant tout le monde pour symboliser son indépendance. Et puis l'histoire n'était pas de celles qui vous donne envie de lire la suite immédiatement.
J'ai lâché vers le tome 8, pendant un bon bout de temps. Puis, sans doute parce que je n'avais rien d'autre à lire, je l'ai reprise, pendant deux ou trois tomes, relâché, à nouveau repris, et finalement, je continue à suivre. Entre des histoires sombres, ou au scénario complexes, la simplicité d'Hana Yori Dango est très agréable. Les pages et les bulles ne sont pas chargées, on n'a pas besoin de relire les tomes pour savoir où on en était. C'est léger, assez drôle, ça se lit vite.
Par contre, le rythme joue peut-être. Je lis un tome tout les deux mois, mais je ne crois pas que je pourrai enchaîner tous les tomes d'un coup, là, c'est vrai que les défauts seraient plus visibles et moins supportables.
Bref, Hana Yori Dango, c'est une série repose-tête ^^.

Un peu de dépoussiérage du poste semble nécessaire... Je fais un gros coup de coeur pour cette série que je viens de terminer.

Franchement, cette série est vraiment géniale. Y'a 37 tomes mais on en redemande... Les persos deviennent si attachants (surtout Tsukasa et Tsukushi...) et l'auteur a su maintenir le suspens jusqu'à la fin.
Les péripéties étaient parfois assez extravagantes mais je trouve que c'est ce qui fait le charme de la série. On rajoute à ça l'humour de certaines situations... Quant aux dessins, j'avoue que je les trouvais vraiment moches au début mais l'auteur a su s'améliorer. De toute façon, les dessins n'ont jamais rebuté ma lecture.
C'est une série où j'ai toujours voulu la suite et que je relirais avec plaisir.

Je le redirais encore, gros coup de coeur pour ce shojo, à mettre entre toutes mains!

j'ai connue cette serie grace au drama et j'ai tout de suite aimée meme ma mere li cette serie