Magazine Be x Boy

Shojo, josei, yuri, yaoï... En d'autres termes voici la rubrique regroupant les genres de manga destinés à un public féminin!
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NiDNiM
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Magazine Be x Boy

Message non lu par NiDNiM » 20 juil. 2009, 17:35

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Pour les résumés et autres informations, je vous conseille directement la fiche de manga news ICI, bien plus simple et moins lourd que de faire un joli copier-coller.

Magazine Be x Boy 1 :

Très controversé avant même sa sortie, le magazine Be x Boy aura fait parler de lui. Abordant ses qualités et ses défauts avant la lecture, certains ne donnent pas longue vie à ce format de publication, qui s’inscrit dans la vague yaoi du moment. Mais Asuka, malgré les efforts des autres éditeurs, s’impose incontestablement comme la principale source de Boy’s Love, leur collection exclusivement consacrée au yaoi. Composé de 9 premiers chapitres extraits de titres plus ou moins connus, le magazine Be x Boy a, malgré les doutes émis à son sujet, remporté un succès certain lors de sa sortie. Pour ma part, je traite chaque histoire indépendamment, cela évite des rapprochements hâtifs, et c'est plus simple pour en discuter après coup.

Lovely teachers :
Beaucoup d’humour, des regards perçants et des visages parfois trop peu expressifs, c’est principalement ce que l’on retient de cette première histoire. Tout en douceur, elle permet de plonger facilement dans l’univers du magazine. Elle aborde même un thème intéressant via la présence des enfants : la vision et les préjugés sur l’homosexualité. Ce que dit Takigawa est très vrai, vis-à-vis de ses choix amoureux. Son collègue, naïf et pétri d’idées reçues, a l’air d’accepter cette situation, et ce premier extrait pourrait se terminer là que l’on ne s’en formaliserait pas, comme une introduction à la lecture, un chapitre qui se suffit à lui-même. Une lecture douce, sans précipitation, presque anodine.

Do you know my detective ?
C’est la seule partie du magazine écrite et dessinée par un homme. Le mangaka y raconte les déboires de deux détectives, qui se retrouvent sans véritable travail, alors obligés de travailler comme hôte et serveur dans un bar gay. L’idée est tout sauf originale, le graphisme est stéréotypé à outrance, pourtant on apprécie le dynamisme de la narration, et suivre un peu plus cet étrange couple ne sera pas de refus, tant les scènes amoureuses sont prometteuses mais surtout nécessaire à l’intérêt du titre. Ce n’est pas un simple début qui pourrait se transformer en fin, on sent que les deux jeunes gens n’en ont pas encore terminé dans leurs problèmes de la vie quotidienne, relevée d’un peu d’action.

Silent love :
Voici une nouvelle bien moins classique et ancrée dans les clichés du genre. L’expressivité réduite de Tono est un vrai plaisir. Source de malentendus et de prises de tête, cette situation est peu probable mais très bien décrite, et adorable à suivre. On espère tout du long que les deux jeunes gens arriveront à se comprendre, et Tamiya nous surprend agréablement quand, au lieu de révolutionner son petit ami, il accepte pleinement son « problème » et en vient même à l’apprécier. La narration est fluide, les dessins sont agréables quoique simples, les annotations concernant Tono parfois hilarantes vu le contexte, et le passage érotique vient compléter naturellement l’histoire d’un garçon très émotif sans en avoir l’air. Une lecture qu’on appréciera de suivre, à coup sûr ! Même si cela ressemble pour l’instant à un chapitre indépendant … On se demande ce que la mangaka va bien pouvoir inventer par la suite.

Yebisu Celebrities présente l’intérêt non négligeable de situer son histoire en dehors du cadre scolaire ou adolescent. Même si le personnage principal n’est pas vraiment vieux, il évolue dans le monde du travail et des responsabilités. Sa place semble toutefois motivée par une raison plutôt étrange, et le tout n’est pas très sérieux : on se doute bien que le cadre n’est là que pour poser les bases de l’intrigue amoureuse. Pourtant, la fin de ce premier extrait bluffe le lecteur, et on sent que l’histoire a besoin d’être suivie, notamment grâce à l’absence de clarté dans les relations entre les Yebilities. Entouré d’un harem de beaux jeunes gens, le héros aux grands yeux n’échappe pas au trait fin de la mangaka, dont les dessins se concentrent sur les protagonistes. Les visages sont fins, et on différencie bien des caractères types, associés à des apparences classiques (la grande brute sensible et le petit naïf). Le tout reste agréable, sans plus, et seule la fin pleine de suspense rehausse la lecture pour marquer les esprits.

Hey, sensei !
Une relation d’élève à professeur, la différence d’âge, l’élève un peu trop entreprenant et provocateur … Ce début d’histoire, réalisé par l’auteur de Tu es à croquer, récemment sorti dans la collection BL d’Asuka, ne soulève pas les foules. Les personnalités n’ont rien de transcendant, l’histoire d’amour est tout sauf prenante, la relation en elle-même est caricaturale … Pourtant, on s’attarde un moment sur le cadrage et la manière de tenir la narration, en dépit de certains défauts graphiques (mains trop grandes, corps trop longs, cou un peu large …), et la touche d’humour finale a le mérite de nous marquer, largement plus que les sentiments, que l’on connaît déjà. Si Sakuragi continue à nous régaler de quelques touches hilarantes, tout en approfondissant les faiblesses de chaque protagoniste, la lecture n’en serait que plus agréable …

Viewfinder :
Titre largement connu et apprécié des fans du genre, Viewfinder raconte l’histoire d’un photographe qui se lance dans une investigation dangereuse, ce que sa cible ne tarde pas à lui faire comprendre de manière … Originale. Dynamique, proposant un graphisme fin mais pas trop stéréotypé, et surtout des arrières plans présents, le tout début de la narration commence bien. On sent poindre les affrontements, les conflits entre les différents clans / protagonistes. Pourtant, l’intérêt que l’on porte à ce début de chapitre ne dure pas. Sans doute le plus explicite et le plus choquant extrait du magazine, ce début de Viewfinder se plonge pendant plusieurs pages sur certaines pratiques sadomasochistes. Takaba est exploré sous toutes les coutures, et même les habituées pourront être dérangées à la vue de certaines pages. Heureusement, seul ce premier chapitre fait l’objet de telles expériences, puisque le sadisme froid du yakuza se calmera par la suite. La fin, quant à elle, laisse perplexe. Asami a l’air bien parti pour occuper une place de choix dans la vie du jeune photographe, et on ne peut que s’interroger sur la réaction du héros face à la violence qu’Asami lui a infligé. Seul le trait fin, presque sans erreurs, de la mangaka, et la promesse d’une intrigue poussée nous rassure … un peu.

Welcome to the chemistry lab !
Une deuxième histoire entre professeur et élève se profile ici, jusque dans le titre. Les personnalités des protagonistes sont toutefois bien différentes de « hey, sensei ! » puisque cette fois ci, le lycéen est naïf et mignon, tandis que son professeur s’amuse de lui et de sa candeur. « M’sieur Shiba » est d’ailleurs des plus intéressant, lorsque sa personnalité change du tout au tout, sans prévenir. Ici aussi, on sent que la suite n’est pas indispensable, que l’on va juste suivre une évolution dans cette relation taboue, secrète et donc fascinante. Les dessins sont globalement agréables, même si l’on regrette une trop grande application accordée aux protagonistes, et un oubli fondamental : ce qui différencie toutes ces représentations de gravures de modes longilignes, c’est principalement l’environnement dans lequel les jeunes hommes évoluent.

My demon and me :
Pour illustrer objectivement les différentes facettes du yaoi, il fallait intégrer une histoire mêlant amour homosexuel et fantastique. Souvent étranges, celle-ci n’échappe pas à la règle. Maudit et atteint d’une grave maladie qui le ronge peu à peu, Aki fait appel à un démon loup, en désespoir de cause. Celui-ci semble prêt à l’aider, mais pas sans compensation. C’est alors que le jeune homme se rend compte que le démon est plus intéressé par son corps que par ce qu’il peut avoir à dire, et le tribut de sa guérison passera par des épreuves disons … physiques. Le cadrage est maîtrisé mais les dessins, un peu simples, nous laisse un goût d’inachevé. Et au final, ce qui ressort de cette nouvelle c’est … pas grand-chose. On se demande si tout ceci n’est pas uniquement un prétexte pour mettre en scène un démon et un humain batifolant joyeusement … A confirmer, mais ce premier chapitre est original sans que cela apporte quoi que ce soit au lecteur, ce qui est dommage mais fréquent dans ce genre de fresques fantastiques …

Whispers :
La dernière histoire du magazine est une surprise. Tout commence sur un drame, les dessins sont étranges, déstabilisants de réalisme et de détails maîtrisés, ne cherchant pas uniquement l’esthétisme. La nouvelle, entre surnaturel et rêve, n’est pas véritablement en mesure d’être définie, puisque le personnage principal hésite entre hallucination et réalité impossible. Sa douleur, ses sentiments, sont tout ce qu’il y a de plus intéressants à suivre, et le tout est une excellente finalité pour la lecture du magazine. Les proportions des corps sont tout à fait respectées, les ombrages sont une réussite et la narration balance artistiquement entre dynamisme et sérénité.

Au niveau de l’édition, on peut regretter certaines ombres parfois trop pixellisées, ce qui casse l’expressivité des visages, mais c’est le seul reproche que l’on peut véritablement émettre. La couverture est très agréable au toucher, le format parfaitement adapté à la lecture, le tout n’étant pas trop fragile. Si le papier n’est pas tout à fait immaculé, il n’est pourtant pas assez fin pour que l’on ait la désagréable surprise d’une transparence entre les pages. La traduction est de qualité, et la plus belle surprise réside dans les pages de pubs, intelligentes. Régulièrement, des pages présentant un résumé et une brève analyse des titres de la collection Boy’s Love d’Asuka sont présentes, souvent en relation avec l’histoire voisine (Silver diamond en face de My demon and me, ou encore Tu es à croquer en parallèle de Hey, sensei !). Très bonne initiative, bien plus qu’un catalogue de pages de pubs finalisant le titre. De plus, ces pages présentent aussi, au verso, le mangaka auteur de l’histoire qui suit ainsi que le résumé de celle-ci. Enfin, les posters et les premières pages couleurs attirent l’œil sur un rendu de qualité, très agréable à lire et à découvrir, et on ne peut qu’avancer l’argument du prix de lancement, plus que tentant, même si l’on se demande à combien il faudra acheter la suite de ce magazine, qui démarre plutôt bien auprès des lecteurs (lectrices ?). La forme parvient à convaincre, tandis que le fond est plutôt mitigé selon les histoires, qui naviguent entre réussites et déceptions.
[Définir, c'est limiter.]
[Le critique est celui qui peut transposer d'une autre manière ou traduire en éléments nouveaux, son impression de la beauté.]

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halianna
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Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par halianna » 21 juil. 2009, 08:07

j'ai adoré ce magazine et j'atten la suite des histoires dans le prochain surtout Viewfinder bienque la première scène lemon est dur a supporter.
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Oscar François
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Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par Oscar François » 22 juil. 2009, 15:38

Je l'ai acheté, non mais ho ! 8)

Très bonne présentation, NiDNiM :D !!!
Pour ce qui est des histoires, ma préférée reste la première, incontestablement ! Le dessin est joli, l'histoire, sympathique, et le scénar, assez drôle et actuel ! Un très bon début !

Pour la deuxième, et les autres histoires genre "détectives, mafieux etc", c'est un peu plus bof; mais c'est très subjectif : les yaoi sur fond de guerre des gangs, je les trouve toujours un peu :| voilà quoi ! ce n'est pas très crédible, et parfois, les enquêtes sont vraiment téléphonées !
Dans Kizuna par exemple, je ne commence qu'à apprécier que quand on arrête de nous torturer avec les yak ! Mais bon, attendons de voir^^

Silent Love est, effectivement, très classique, mais j'ai bien aimé^^ le trait est sympa, le couple aussi... Reste à savoir comment ça évoluera !

Yebisu Celebrities : ouai, je pense comme toi ! idée sympa, mais voilà quoi. Et puis le chara design est vraiment :|

Les autres histoires à l'école (celle avec le chimiste et celle avec l'étudiant provocateur) : bah, j'attends de voir quoi ! Ils sont vraiment trop "rentre dedans" lol ;en même temps, c'est un des travers, et une des raisons du succès du yaoi, au choix !

Quant aux histoires "surnaturelles" :
- la première, je n'ai pas adhéré au chara design, mais alors vraiment pas :| et l'histoire, enfin, le début... Oui euh, le problème c'est qu'on ne sait pas trop s'il faut rire ou pleurer !
- la dernière histoire, aussi fantastique, passe mieux, bizarrement : question de goût peut être. Le chara design est plus "propre" (je ne trouve pas d'autre mot, désolée) et, malgré la malediction, on sent bien que se sera l'humour qui dominera... Du moins, c'est ce que je pense^^


*** Bilan ?
Hum... Au niveau de la forme : mise en page, sommaire, présentation des titres etc. Bon point ! :mrgreen: il manquait peut-être un petit édito plus fourni, une présentation de la team, bref, un côté un peu plus funky, mais bon, ça reste super sympa, les couleurs sont jolies, la cover aussi !
Quant aux yaoi présentés : je préfère le premier, c'est incontestable ! D'autres se démarquent aussi... Je veux croire en cette énième tentative de prépublication (tous magasines confondus !)

J'essaierai de faire un commentaire un peu plus fourni^^' (peut-être en m'arrêtant sur une histoire en particulier, enfin on verra !)
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shun
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Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par shun » 03 août 2009, 21:53

ça y'est je l'ai enfin lu ! mon libraire ne l'ayant pas commander car c'était un magazine, j'ai du lui en parler pour qu'il en prenne ^^ étonnant car il vend beaucoup de yaoi ( +- 10 ex de chaque titres ).

j'espère que ce n'est pas le cas partout :/

pour le mag j'en suis en tout cas très satisfait, bon prix, bonne édition, grand nombre de pages, rien a redire là dessus. c'est vrai qu'un petit article serait sympa.

mais les mini bio de chaque auteurs sont les bienvenues en tout cas.

concernant les titres, y'en a aucun que j'ai détesté, c'est déjà ça !!! j'ai même été surpris d'aimer viewfinder malgré son côté hard!

lovely teacher :

clairement le meilleur titre du magazine, en plus des qualités ordinaires ce titre pose directement des question sur le rapprochement hâtif et éronné entre l'homo et le pédophile.

detective :

j'en attendais beaucoup du faites que c'est un homme qui dessine cette série, mais malheureusement l'auteur n'arrive pas a donner sa touche personnel ( masculine ), c'est fade et le grand blond est a frappé.
c'est l'histoire la moins bonne pour l'instant.

silent love :

original, y'a pas a dire, malheureusement cette in-expressivité m'énerve ^^

yebisu :

hum difficile de juger sur ce premier chap car on peut même pas dire que l'intro soit déjà posée complètement.

sensei :

classic dans son genre, pas mauvais, ni excellent, bonne petite lecture.

viewfinder

on peut dire que ce titre ma surpris !!! alors que certaines scène sont plutôt hard, je dois dire que l'auteur s'en sort bien car rien n'est déroutant.
de plus l'arrière plan ( l'histoire avec le flic etc ) est pas mal du tout pour un premier chap, y'aurait'il un vrai scénario O_o

chemistry lab

intéressant, surtout que pour une fois, le prof y va franco, c'est plutôt rare, faut voir ce qu'il en est du côté du prof, car les réponses sont par là.

my demon and me

bof, je dois dire que je n'accroche pas au synopsis, ni au dessins, ça sent vraiment le scénario pour du cul :/ wait and see

Whispers

excellent début que cette histoire, la mise en scène était pas mal du tout et l'histoire très belle. par contre j'ai été choqué par la fin et j'ai vraiment peur d'en lire la suite maintenant ...
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NiDNiM
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Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par NiDNiM » 04 août 2009, 17:15

Oscar François a écrit :Très bonne présentation, NiDNiM :D !!!
Non non, je ne réponds pas uniquement pour dire merci, mais il le fallait bien, hein. Avec un peu de retard, d'ailleurs.
Oscar François a écrit :J'essaierai de faire un commentaire un peu plus fourni^^' (peut-être en m'arrêtant sur une histoire en particulier, enfin on verra !)
Ce serait avec plaisir, tiens. Je me lancerai bien dans une discussion sur certains titres. Malheureusement, peut être faudra t'il attendre le tome 2 avant de parler vraiment des titres que l'on ne connait que peu (ou alors on se fait un débat Viewfinder mais je vous préviens, je vais le descendre XD). Ce serait intéressant qu'on essaye de développer un peu plus les histoires : j'ai pas vraiment pu m'étendre dessus, mais j'apprécierai :)
shun a écrit :Whispers :
Par contre j'ai été choqué par la fin et j'ai vraiment peur d'en lire la suite maintenant ...
C'est justement ça qui fait l'intérêt de ce début de titre : il dérange autant qu'il surprend et fascine. Les graphismes sont là pour raviver l'aspect réaliste et authentique, mais l'histoire se suffirait à elle seule, pour l'instant. J'ai vraiment beaucoup aimé la narration, et l'incompréhension, l'incertitude qui demeure à la lecture. Et la fin est tellement étonnante, qu'on se souvient de Whispers comme du titre qui a remué quelque chose sans que l'on ait véritablement compris. Au final, on n'a pas suivi grand chose, et c'est le seul extrait qui peut se vanter d'être un peu mystérieux sans verser dans le ridicule.
[Définir, c'est limiter.]
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Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par shun » 04 août 2009, 17:25

Je dis pas le contraire pour whisper, j'ai juste peur qu'il évolue dans un shota a cause du gamin de 10 ans, c'est tout ! car c'est certainement l'un des meilleurs chap du mag.
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Natth
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Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par Natth » 05 août 2009, 11:00

shun a écrit :Je dis pas le contraire pour whisper, j'ai juste peur qu'il évolue dans un shota a cause du gamin de 10 ans, c'est tout ! car c'est certainement l'un des meilleurs chap du mag.
Naono Boura est une des rares auteurs de BL dont les héros vont jusqu'à la quarantaine. De même, on voit régulièrement une grande différence d'âge entre ses personnages. Mais je ne l'ai encore jamais vu faire de shôta.
[spoiler]Et ce ne sera pas le cas pour la suite de Whispers, puisque Kazuki a 16 ans dans le chapitre suivant, avec exactement la même tête que dans la première partie :roll:. Vu que Renji en a 32, on arrive effectivement à une différence d'âge importante, mais j'ai déjà vu plus chez cette auteur.[/spoiler]
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Oscar François
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Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par Oscar François » 11 août 2009, 15:32

Coucou !!
Enfin euh... me revoici quoi :| (c'est nul, comme entrée !)

Voilà ci-dessous mon avis un peu plus clair sur chacun des titres proposé :

*LOVELY TEACHERS.
C'est mon histoire préférée ! Les dessins sont très beaux; il y a des background (chose difficile à trouver dans certains shôjo et de yaoi^^').L'histoire est sympa et drôle. J'aime déjà Tadamichi et Kyô ! J'ai hâte qu'ils passent aux choses sérieuses ! (n'ayons pas peur des mots !). Les scènes émoustillantes rares mais gageons que la suite sera un peu plus funky ! C'est le top du top oscardien !

*DO YOU KNOW MY DETECTIVE.
Un yaoi fait par un homme ? C'est assez pour me pousser à lire ! C'est vrai que d'habitude, le genre est plutôt envahi par la gent féminine : c'est sympa de trouver quelques spécimens masculins !
Malheureusement, j'ai trouvé le démarrage un peu mou... Il faut dire que j'ai un peu de mal avec tous ces yaoi sur fond de guerre des gangs, de guns, et de trafics de drogues ou de chats. Souvent, ils sont à peine crédibles : enquêtes simplistes, sinon bâclées... tout est fait pour faire fricotter Jean Valjean et Javert (oui c'est improbable, lol !).
Ici, l'auteur se rattrape avec ses dessins, très dynamiquse - son découpage intense : la scène de poursuite est bien faite.
Mais je pense que ce titre peut réserver des surprises ; il est très agréable à lire, l'humour n'est pas lourd. J'attends la suite, histoire de voir si les enquêtes se révèleront plus prenantes^^


*SILENT LOVE.

2e coup de coeur ! Pourtant, l'histoire est convenue : un uke et un seme typique. Dans un lycée. Pas de quoi fouetter un chat. Et pourtant ! Satoru est si mignon >< même s'il n'exprime rien, lol ! Et Keigo est très protecteur et attachant. C'est un yaoi tout doux, tout mignon, je trouve. OK, à la fin, Keigo se lâche et va vite en besogne : il a faim, le pauvre, lol !
Côté dessin, c'est aussi ce même sentiment de douceur qui se dégage, avec les traits fins des personnages, l'air amorphe de Satoru, qui ne fait qu'accentuer son côté sensible et fragile. La suiiiiiiite !!!

*YEBISU CELEBRITIES.
Hélas, le titre aurait pu convaincre - les premiers pas d'un jeune bleu dans le monde impitoyable de l'entreprise capitaliste, mais... la mangaka rate son cap ! Du moins, je trouve^^' : les dessins sont très moyens, et je me demande bien quelle est donc cette manie de certaines mangaka de dessiner des hommes avec des torses plus larges que le plus terrible des rugbymen... On sent vite que le cadre de la Team Rocket version Femina (le mag, lol) n'est là que pour asseoir les plus inavoués penchants du big boss. Espérons que la suite apporte des lendemains meilleurs !

*HEY SENSEI !
Je trouve le jeune lycéen bien entreprenant ! Le cadre (le lycée) d'action est typique de nombre de yaoi, et autres doujin. Même s'il faut s'interroger sur l'âge du jeunot (n'est-il pas mineur ?), j'avoue m'être laissée séduire par l'histoire. Oui, oui...!

*VIEWFINDER.
Encore une histoire de guns et de sang ! C'est mauvais, pour Oscar ! Un peu comme "Do you know..." , cette histoire m'a laissée, au début, un peu perplexe. Je me disais : heureusement que les dessins sont beaux ! J'ai de la peine pour ce pauvre photographe... surtout devant la fameuse scène ! Vous voyez tous de quoi je veux parler, n'est-ce pas !? ça m'a scié, lol ! Le pire étant peut-être que j'aimerais bien lire la suite... (ô, bas instincts de la yaoieuse...) ... confessions d'Oscar : j'ai quand même relu cette fameuse scène 2 fois, ahem =_= :|

*WELCOME TO THE CHEMISTRY LAB !
Ah, le lycée, l'école, la chimie, toussa toussa... moi perso, il ne s'est jamais rien passé avec mes profs de science, hommes ou femmes. Mais dans le yaoi, le lycée et la chimie font bon ménage, on dirait !
Pour l'ambiance, je dirai que cette histoire se classe dans la catégorie d'un doujin sans trop de prétentions : on sait bien comment ça se finira, on veut juste voir le "comment". Et puis le coup du prof et de son élève, encore une fois, ce n'est pas très réglo ! Côté dessin, rien de bien affriolant non plus^^'

*MY DEMON AND ME.
J'ai cru être en face un drame : ce n'est plus la poisse qu'il a, Aki ! C'est carrément la malédiction du siècle ! Heureusement qu'il y a Setsu : son arrivée amène du rire; le titre s'avère très sympa, au final. Quand le yaoi rime avec effets spéciaux n_n ... ! On ne se prend pas la tête : on voit bien qu'on est pas là pour ça. Et même si - comme dans nombre de yaoi - tout est fait pour qu'Aki et Setsu passent sous la table, la scène est assez sympa pour me faire apprécier la suite !

*WHISPERS.
On termine ce joyeux numéro par un titre qui m'aura laissée comme ça : O_O.
Je sais pas, j'ai eu beaucoup de mal là ! J'accroche pas du tout aux dessins, et l'histoire... euh, voilà quoi. Autant dans The demon and me, on comprend tout de suite que ce n'est pas une histoire triste (du moins, au début), autant dans cette histoire, on veut nous faire pleurer dans les chaumières, mais en mettant quelques SD ça et là ! Je sais pas du tout. Mais je veux quand même voir la suite !

***voilà ! Mais comme tu dis Nidnim, c'est trop dur de se faire un avis, juste avec un premier chapitre ! n_n Viteuh, le number 2 !!!
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minerve
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Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par minerve » 16 août 2009, 15:18

Je connais le yaoi depuis tres recament et j'ai bien aimée se magazine sauf les deux dernieres histoire my demon and me et whispers y a truc qui me gene dans ces deux histoires.
Je pense que ce magazine est une très bonne idée car il permet de découvrir plusieurs genres de yaoi .
Par contre les histoires entre un professeur et un éleve me gene ( hey sensei) meme si je ne déteste pas l'histoire.
viewfinder et do you know my détective sont plutot pas mal et assez dynamique.
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NiDNiM
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Re: Magazine Be x Boy

Message non lu par NiDNiM » 11 oct. 2009, 16:34

Magazine Be x Boy 2 :

Et voilà enfin le deuxième volume du magazine de prépublication de Boy’s Love. On reprend tout, on présente tous les deuxièmes chapitres et en changeant l’ordre, on garde le même esprit. Très attendu de la part des lecteurs, le magazine attire toujours le regard par ses couleurs chaudes, moins criardes que le rose. On a, en plus, le plaisir de retrouver Tamiya et Tôno en couverture, les héros de la série Silent love. Bon, mais qu’en est il des suites de ces titres si inégaux, à la fois réussis et parfois peu prometteurs ?

My demon and me :
Dans cette suite de My demon and me, on retrouve ce qui nous avait chagriné au départ : le prétexte de la malédiction juste pour induire une histoire d’érotisme. Cependant, l’auteur avance doucement et élargit le champ de vision de son titre en plaçant Aki dans un quotidien habituel et plus léger, ce qui nous permet dans le même temps de faire la découverte de nouveaux personnages. Seulement, le mal qui le rattrape et sa jalousie envers Setsu ne sont, ici encore, que des éléments sans fondement d’un récit qui, loin de se prendre au sérieux, ne transcende absolument pas. Une suite dont on n’attendait pas grand-chose, et qui ne nous surprend pas le moins du monde.

Whispers :
Cette histoire là, par contre, avait su nous séduire par son graphisme élégant et la dureté du thème abordé. Cependant, la mangaka tourne cette histoire au comique ou bien à l’érotique, sans s’attarder plus avant sur le sérieux du premier chapitre. Renji a une personnalité vue et revue, un tempérament très passif et à la limite du pleurnichard bref, inutile. Dommage, le début de la lecture annonçait beaucoup de promesses, mais cette suite se borne à mettre en scène les ébats des deux héros sans s’appesantir sur leurs ressentis suite à cette tragédie, et ce coup du sort qui les as réunis quelques années plus tard. Les dessins sont, eux, toujours aussi réussis, mais l’histoire a perdu son charme de la première fois.

Lovely Teachers :
Une suite que l’on attendait avec impatience tant les réactions des professeurs étaient justifiées et réalistes ! Ici, Komori et Takigawa partent en pique nique avec leurs élèves, mais la préparation d’une telle excursion ne se fait pas sans que Komori se prenne la tête sur les intentions de Takigawa. Ses préjugés ressortent malgré sa volonté de ne pas le juger, et les pensées des deux protagonistes sont, encore une fois, très authentiques. La peur, mais en même temps le désir, la curiosité et la honte sont tout juste assez sous entendus, simplement mis en page et vraiment savoureux. Seul reproche : ces questions ne durent pas assez longtemps. Même si on se doute qu’une seule étape a été franchie et qu’il en reste bien d’autre. Vivement la suite de cette évolution entre deux professeurs aux élèves si adorables et attachants ! Des personnalités caractérielles, des profils bien mis en scène et un trait élégant, voilà un deuxième chapitre qui ne déçoit nullement vis-à-vis du premier !

Do you know my detective ?
Au lieu de nous parachuter, comme dans le premier tome, dans l’histoire des deux détectives, l’auteur prend cette fois ci le temps de se pencher sur le passé des deux jeunes hommes, notamment sur leur rencontre, puis leur vie à deux. On découvrira avec plaisir les tourments de Shigure, un peu simplistes et prévisibles mais rafraichissants. En parallèle, on ne voit ici aucune enquête vraiment sérieuse, aucun élément de l’histoire n’est réellement marquant, mais le tout est peut être plus sincère que le premier chapitre. Le contraste est par contre assez violent : on ne s’attendait pas à un tel revirement ! Toujours est-il que les graphismes deviennent élégants dans un univers plus doux, un contexte de confidences et d’émotions. Le mangaka (oui oui, LE) nous montre que lui aussi est capable de verser dans le sentimentalisme et d’oublier un peu l’action, qui lasse très rapidement.

Silent Love :
Après un premier chapitre adorable on en retrouve avec plaisir un deuxième qui l’est tout autant. Les réactions de Tôno sont hilarantes, surtout grâces aux annotations de l’auteur qui clarifie les sentiments intérieurs de son personnage central. Il est tellement agréable de ne pas voir le visage du « uke » déformé par la tristesse, l’angoisse, bref un faciès déformé par une exagération considérable de certaines émotions. Ce chapitre traite de la jalousie, et bien évidemment encore une fois du quiproquo. Le scénario est simple, les deux amoureux ne parviennent pas à communiquer et chacun d’eux pense que l’autre est attiré par cette fille, nouvelle dans l’établissement. Finalement, tout est bien qui finit bien et là encore, le récit pourrait s’arrêter à n’importe quel moment tant il y a peu de suivi, et tant la narration est légère. A la fois anodine et captivante, celle-ci met en avant des personnalités que l’on avait pas l’habitude de voir, et souligne l’importance de la communication dans une relation. Le tout est desservi par un style graphique toujours aussi doux et parfaitement adapté aux caractères des protagonistes. Encore une fois, très certainement le meilleur moment de la lecture de ce magazine !

Yebisu Celebrities :
Un second chapitre en tout point ressemblant au premier : inintéressant. Le scénario est là pour décorer, le harem de beaux gosses est un tantinet trop évident, et surtout la relation entre le patron et Haruka arrive bien trop rapidement. Après quelques cases de réflexion de la part du jeune homme, celui-ci décide que finalement ça lui plait bien … Euh, c’est moi où son coming out vient d’être salement expédié ? Bref, le lecteur regarde tout ça d’un œil plus que blasé. Mais le pire est à venir lors du premier rapport sexuel entre les deux héros (ben voyons, si rapidement !) : Haruka passe son temps à pleurnicher, on ne comprend pas trop pourquoi. Défiant tous les stéréotypes du uke, le jeune employé se ridiculise aux yeux des lecteurs, qui en viennent à souhaiter que ce titre ne dure pas trop longtemps. Ou alors à espérer un miracle pour redresser la narration si peu crédible, dénué du moindre intérêt.

Hey Sensei !
Ce titre continue lui aussi sur sa lancée : simple, agréable à la lecture sans être révolutionnaire, il nous présente la suite des amours d’un élève et de son professeur si timide. L’incompréhension qui règne entre eux et le décalage entre leurs décisions sont amusants, tout comme les non dits et les scènes de tendresse, pas encore très développées. Cependant, l’humour est totalement mis à part dans ce deuxième chapitre, qu’on aurait voulu plus léger de la part de la mangaka. L’auteur de « Tu es à croquer » s’est en effet imposée comme une spécialiste de l’humour facile, de la légèreté et de la dérision. Ici, tout semble trop sérieux malgré la rigidité d’un scénario, qui doit déjà encaisser son manque d’originalité.

Viewfinder :
On en vient enfin à la suite des aventures de Takaba dans son contexte plus ou moins mafieux, plus ou moins dangereux. Le titre, tant apprécié des fans, n’est pour l’instant qu’une banale histoire de fesses. En effet, si le premier chapitre pouvait se révéler un peu cru pour certains lecteurs, que dire du deuxième dans lequel notre héros se fait violer sauvagement pas moins de deux fois en quelques pages ! Avec toujours ce même air de rébellion dans les yeux, cette même sauvagerie et ce même désir d’échapper à ses poursuivants, bref une attitude qui se clone d'une fois sur l'autre. Une question s’impose alors : mais qu’est ce qu’il attend pour fuir très loin au lieu de se replonger volontairement à la suite d’Asami et de ses douteuses combines ? A croire que Takaba aime ça ! On ne comprend donc pas trop là où l’auteur veut en venir avec tant de sexe sans fondement. A part le dessin, esthétique, rien ne ressort de cette lecture. Absolument rien. En effet, Takaba participe à une soirée et récupère des documents qu’il n’aurait pas du toucher. Enlevé par la mafia chinoise, battu puis violé, pour être enfin sauvé par Asami, Takaba est sauf ! Heureusement qu’Asami était là … D’ailleurs, il faut croire que ça ne le dérange pas que ce soit disant « connard » veuille le nettoyer après le passage de son rival. Takaba, ou comment faire figure de nouvelle poupée gonflable gesticulante et excitante pour les chefs des mafias du coin. N’importe quoi … Il faudrait d’ailleurs que quelqu’un explique aux violeurs que les réactions normales du corps ne signifient pas que les « sujets » aiment ça. Il faut différencier le corps et l’esprit. Cependant, cela semble être trop dur à intégrer pour Ayano Yamane …

Welcome to the chemistry lab !
On finit ce deuxième exemplaire du magazine par une histoire qui passe assez inaperçue, s’il n’y avait pas Shiba, et son caractère à la fois curieux et prometteur. Que nous réserve donc ce sourire, si différent ce celui qu’il adresse à Kôsuke, cet air vicieux et manipulateur qu’il affiche à présent ? Quel est cet amour qui finalement ne ressemble en rien à l’idée que l’on s’en fait ? En parallèle, les naïves interrogations d’un adolescent en quête de réponses sont divertissantes, mais sans plus. Kôsuke se demande en effet ce qu’il en est de sa relation avec son professeur, de ce qu’ils font ensemble … Bref, une narration assez classique de ce côté-là. Il ne reste que l’espoir de voir Shiba nous surprendre et nous plaire. Parce que pour l’instant rien ne tient en haleine dans cet épisode, assez plat même si finement relevé par certains personnages secondaires.

En plus des explications fournies sur les séries, et la pub habituelle (qui n’est pas réservée au catalogue Asuka mais à l’ensemble des sorties de BL), on découvre certaines nouveautés intéressantes dans le format du magazine. Ses jeux, tests, courrier des lecteurs, articles et même horoscope donnent vie au recueil de chapitres. Apportant un dynamisme et une fraîcheur intéressants pour un prix plus que correct, on apprécie de plus en plus le concept du magazine, même si le choix des titres n’est pas toujours judicieux, bien qu’il permette de se faire une idée assez large du marché du BL, dans sa globalité (en enlevant les perles du genre). Une bonne lecture, largement rentabilisée et surtout très agréable ! Il suffit de savoir sauter d’un chapitre à l’autre et de patienter jusqu’au prochain numéro.




>> Oui j'adooooooore Viewfinder XD Et encore, j'ai été gentille. J'attends juste la suite pour pouvoir me lâcher de plus en plus :mrgreen:
*dit celle qui ne va pas se faire des amis avec ça ...*
[Définir, c'est limiter.]
[Le critique est celui qui peut transposer d'une autre manière ou traduire en éléments nouveaux, son impression de la beauté.]

Oscar Wilde, Le portrait de Dorian Gray

Mon trésor
MON coup de cœur, MA pub.

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