Peace Maker
Re: Peace Maker
Quand est-il sorti le tome 4 ?
-
Heiji-sama
- Messages : 98
- Enregistré le : 31 mai 2009, 03:40
Re: Peace Maker
Mercredi dernier.
Même dans les profondeurs de l'enfer
La fleur de l'amitié peut toujours s'épanouir
Laissant derrière elle, ses pétales comme souvenir
Elle se balance au gré des vagues
Puisse-t-elle un jour...s'épanouir de nouveau
La fleur de l'amitié peut toujours s'épanouir
Laissant derrière elle, ses pétales comme souvenir
Elle se balance au gré des vagues
Puisse-t-elle un jour...s'épanouir de nouveau
Re: Peace Maker
Merci.
(avec un peu de retard
)
(avec un peu de retard
)-
Wang Tianjun
- Roi céleste
- Messages : 4622
- Enregistré le : 29 janv. 2009, 17:32
- Localisation : Lyon
Re: Peace Maker
Peace Maker 5
Nos héros sont arrivés à Skytarkus, une ville-forteresse engageant des soldats volontaires pour se protéger des pressions hostiles de l'église de Kansas. C'est ici que réside Mick Rutherford, un homme connaissant les circonstances de la naissance de Nicola. Mais pour Beat, c'est également l'occasion d'aller revoir son maître Joel Barnes, menant le mouvement des volontaires. Mais les retrouvailles sont loin d'être amicales...
Avec ce cinquième volume, Ryouji Minagawa semble enfin enclin à passer aux aveux ! En ouvrant le volet des secrets de Nicola, le récit prend un peu de profondeur, et l'auteur nous fait une offre promotionnelle sur les révélations en présentant quelques bribes du passé de Hope, notamment avec la scène du meurtre de son père. Toutefois, ces nouveaux éléments n'auront rien de saisissants, offrant un peu plus de sel mais allant dans une direction somme toute convenue. De plus, ces quelques éclaircissements seront malheureusement perdus au beau milieu d'un nouveau miasme narratif assez confus...
Entre les relations faussement tendues entre Beat et son maitre, le retour d'un puissant Crimson Executer et toutes les pistes précédemment ouvertes, il y a déjà de quoi faire. Mais le récit s'embourbe en plus d'une bataille dans laquelle seront impliqués directement nos personnages. On se perd dans des intrigues assez peu alléchantes, et il sera parfois difficile de retenir l'essentiel. Fort heureusement, la fin du volume remet les choses à plat et se concentre à nouveau sur les protagonistes, pour une nouvelle rencontre au sommet...
Si ce volume se veut un peu plus rassurant quant aux ambitions de la série, Ryouji Minagawa donne une nouvelle fois l'impression d'en faire trop, et passe à côté de l'essentiel. Il en découle de nombreuses longueurs, parasitant le corps de l'intrigue, mais nous voilà au moins rassasiés sur un point. Espérons que le volume suivant atteigne enfin le coeur de cible !
Nos héros sont arrivés à Skytarkus, une ville-forteresse engageant des soldats volontaires pour se protéger des pressions hostiles de l'église de Kansas. C'est ici que réside Mick Rutherford, un homme connaissant les circonstances de la naissance de Nicola. Mais pour Beat, c'est également l'occasion d'aller revoir son maître Joel Barnes, menant le mouvement des volontaires. Mais les retrouvailles sont loin d'être amicales...
Avec ce cinquième volume, Ryouji Minagawa semble enfin enclin à passer aux aveux ! En ouvrant le volet des secrets de Nicola, le récit prend un peu de profondeur, et l'auteur nous fait une offre promotionnelle sur les révélations en présentant quelques bribes du passé de Hope, notamment avec la scène du meurtre de son père. Toutefois, ces nouveaux éléments n'auront rien de saisissants, offrant un peu plus de sel mais allant dans une direction somme toute convenue. De plus, ces quelques éclaircissements seront malheureusement perdus au beau milieu d'un nouveau miasme narratif assez confus...
Entre les relations faussement tendues entre Beat et son maitre, le retour d'un puissant Crimson Executer et toutes les pistes précédemment ouvertes, il y a déjà de quoi faire. Mais le récit s'embourbe en plus d'une bataille dans laquelle seront impliqués directement nos personnages. On se perd dans des intrigues assez peu alléchantes, et il sera parfois difficile de retenir l'essentiel. Fort heureusement, la fin du volume remet les choses à plat et se concentre à nouveau sur les protagonistes, pour une nouvelle rencontre au sommet...
Si ce volume se veut un peu plus rassurant quant aux ambitions de la série, Ryouji Minagawa donne une nouvelle fois l'impression d'en faire trop, et passe à côté de l'essentiel. Il en découle de nombreuses longueurs, parasitant le corps de l'intrigue, mais nous voilà au moins rassasiés sur un point. Espérons que le volume suivant atteigne enfin le coeur de cible !
"Ah.. je suis en train.... de tomber en morceaux..."
Re: Peace Maker
Hé bien avec le tome 7, Peace Maker est enfin parvenu à me contenter un minimum.
On assiste ici à la suite et fin du Guns of domination, avec d'abord le duel entre Beat et Tim Roy, puis l'ultime affrontement du tournoi entre *biiip* et le fameux Cole Emerson, le dieu du tir.
En soi, toute cette partie sur la fin du tournoi n'a absolument rien de surprenant, se révèle même longuette dans le focus sur certains personnages, et certains gros rebondissements qui auraient dû toucher et laisser le lecteur estomaqué ratent le coche, parce que l'auteur n'insiste que peu dessus, ou parce qu'on s'y attendait fortement, encore plus au vu de quelques petits détails visant à accentuer l'aspect dramatique de manière très facile et archi-vue. [spoiler]"oh Hope, je te fais la promesse que je vais gagner", "tiens Beat, voici un pendentif qui va te porter bonheur", "promis Mixy, après tout ça, on part en voyage ensemble"... Non mais après tout ça, comment ne pas deviner que Beat va mourir ?[/spoiler]
C'est la suite du tome, l'après-tournoi, qui m'a largement plus captivé, car tout s'y enchaîne à bon rythme (mon dieu, enfin du rythme dans Peace Maker \o/). Les rebondissements s'accélèrent, entre deux révélations de première importance sur les familles Emerson et Crimson, avant un nouveau coup de théâtre auquel je ne m'attendais pas du tout, ce coup-ci, même si au vu de la bande-annonce du tome 8, on devine que [spoiler]Hope n'est sans doute pas mort[/spoiler].
Un tome dans l'ensemble pas mal du tout, qui marque la fin de la première grande partie de la série, et qui attire l'attention sur un Cole Emerson plutôt charismatique, mine de rien.
On assiste ici à la suite et fin du Guns of domination, avec d'abord le duel entre Beat et Tim Roy, puis l'ultime affrontement du tournoi entre *biiip* et le fameux Cole Emerson, le dieu du tir.
En soi, toute cette partie sur la fin du tournoi n'a absolument rien de surprenant, se révèle même longuette dans le focus sur certains personnages, et certains gros rebondissements qui auraient dû toucher et laisser le lecteur estomaqué ratent le coche, parce que l'auteur n'insiste que peu dessus, ou parce qu'on s'y attendait fortement, encore plus au vu de quelques petits détails visant à accentuer l'aspect dramatique de manière très facile et archi-vue. [spoiler]"oh Hope, je te fais la promesse que je vais gagner", "tiens Beat, voici un pendentif qui va te porter bonheur", "promis Mixy, après tout ça, on part en voyage ensemble"... Non mais après tout ça, comment ne pas deviner que Beat va mourir ?[/spoiler]
C'est la suite du tome, l'après-tournoi, qui m'a largement plus captivé, car tout s'y enchaîne à bon rythme (mon dieu, enfin du rythme dans Peace Maker \o/). Les rebondissements s'accélèrent, entre deux révélations de première importance sur les familles Emerson et Crimson, avant un nouveau coup de théâtre auquel je ne m'attendais pas du tout, ce coup-ci, même si au vu de la bande-annonce du tome 8, on devine que [spoiler]Hope n'est sans doute pas mort[/spoiler].
Un tome dans l'ensemble pas mal du tout, qui marque la fin de la première grande partie de la série, et qui attire l'attention sur un Cole Emerson plutôt charismatique, mine de rien.
-
Wang Tianjun
- Roi céleste
- Messages : 4622
- Enregistré le : 29 janv. 2009, 17:32
- Localisation : Lyon
Re: Peace Maker
Peace Maker 6
Le Guns of Domination, tournoi tant attendu devant départager les meilleurs tireurs d'élite, ouvre enfin ses portes ! Hope et ses amis viennent assister au tournoi pour soutenir Beat, qu'ils avaient laissé quelque temps plus tôt le temps que ce dernier récupère ses derniers certificats manquants. Déjà motivé par l'enjeu du tournoi en lui-même, Beat est plus que déterminé depuis que son maître a été assassiné par le champion des lieux : l'implacable Cole Emerson, frère de Hope !
Après avoir peu à peu tissé une trame scénaristique relativement dense, la série Peace Maker arrive à son premier carrefour majeur avec l'ouverture d'un évènement dont il est question depuis ses débuts. Narrativement parlant, nous entrons donc dans une phase très typique du shonen manga, prouvant une fois encore que la série nage entre deux eaux. Cette ambigüité fera naître le malaise lorsque sonnera l'implacable loi des duels. Ainsi, les adversaires s'affronteront sans aucune pitié, chaque victoire de l'un forçant le décès de l'autre.
Dans ce contexte, il est bien difficile d'apprécier la palette des nombreux pistoleros, au charisme relatif, quant on sait que la plupart disparaîtront en un instant. Ryouji Minagawa essaie tout de même d'étoffer le caractère de certains par le biais de révélations plus ou moins bien senties, mais en vain. En revanche, l'histoire principale n'est pas oubliée, revenant avec quelques éclaircissements forts utiles, mais un peu hors de propos.
Qu'on se le dise, c'est donc un tome fort linéaire qui nous attend, qui ravira avant tout les fans d'action pure. Pour autant, les duels se veulent par définition assez courts, et jouent plus sur la tension narrative et l'évaluation des personnages. Un passage obligatoire dans la série, mais qui ne contentera pas tout le monde. Gageons que sa conclusion apporte quelque chose de bien plus relevé, ce qui semble inéluctable : après tout, il ne peut en rester qu'un !
Le Guns of Domination, tournoi tant attendu devant départager les meilleurs tireurs d'élite, ouvre enfin ses portes ! Hope et ses amis viennent assister au tournoi pour soutenir Beat, qu'ils avaient laissé quelque temps plus tôt le temps que ce dernier récupère ses derniers certificats manquants. Déjà motivé par l'enjeu du tournoi en lui-même, Beat est plus que déterminé depuis que son maître a été assassiné par le champion des lieux : l'implacable Cole Emerson, frère de Hope !
Après avoir peu à peu tissé une trame scénaristique relativement dense, la série Peace Maker arrive à son premier carrefour majeur avec l'ouverture d'un évènement dont il est question depuis ses débuts. Narrativement parlant, nous entrons donc dans une phase très typique du shonen manga, prouvant une fois encore que la série nage entre deux eaux. Cette ambigüité fera naître le malaise lorsque sonnera l'implacable loi des duels. Ainsi, les adversaires s'affronteront sans aucune pitié, chaque victoire de l'un forçant le décès de l'autre.
Dans ce contexte, il est bien difficile d'apprécier la palette des nombreux pistoleros, au charisme relatif, quant on sait que la plupart disparaîtront en un instant. Ryouji Minagawa essaie tout de même d'étoffer le caractère de certains par le biais de révélations plus ou moins bien senties, mais en vain. En revanche, l'histoire principale n'est pas oubliée, revenant avec quelques éclaircissements forts utiles, mais un peu hors de propos.
Qu'on se le dise, c'est donc un tome fort linéaire qui nous attend, qui ravira avant tout les fans d'action pure. Pour autant, les duels se veulent par définition assez courts, et jouent plus sur la tension narrative et l'évaluation des personnages. Un passage obligatoire dans la série, mais qui ne contentera pas tout le monde. Gageons que sa conclusion apporte quelque chose de bien plus relevé, ce qui semble inéluctable : après tout, il ne peut en rester qu'un !
"Ah.. je suis en train.... de tomber en morceaux..."
Re: Peace Maker
Wang Tianjun tu m'as convaincu, je vais l'acheter 
Re: Peace Maker
Mouarf, 10 mois d'attente pour un tome 10 où il ne se passe pas grand chose.
Une déferlante d'action, qui marque notamment le retour de Gordon et l'arrivée d'un nouvel ennemi très fort, qui avec ses sbires va acculer nos héros.
Je trouve le trait de Minagawa toujours aussi immersif (surtout la façon dont les personnages s'immiscent dans les décors), mais je trouve également sa mise en scène pataude sur ce coup-ci. Et ce que ce combat est linéaire ! Pas de grosses surprises, pas de gros rebondissements, un nouvel ennemi qui m'agace tant il est too much... J'attends plus de la suite. Heureusement qu'elle arrive dans 2 mois (apparemment).
Une déferlante d'action, qui marque notamment le retour de Gordon et l'arrivée d'un nouvel ennemi très fort, qui avec ses sbires va acculer nos héros.
Je trouve le trait de Minagawa toujours aussi immersif (surtout la façon dont les personnages s'immiscent dans les décors), mais je trouve également sa mise en scène pataude sur ce coup-ci. Et ce que ce combat est linéaire ! Pas de grosses surprises, pas de gros rebondissements, un nouvel ennemi qui m'agace tant il est too much... J'attends plus de la suite. Heureusement qu'elle arrive dans 2 mois (apparemment).
Re: Peace Maker
Tome 12 :
Minagawa prend bien le temps de remettre en place les choses et ses personnages avant de démarrer le Guns of Domination vers la moitié du tome.
Le 1er tour s'achève avec le volume et n'offre rien de surprenant ou de folichon, entre des duels dont on devine l'issue à l'avance et des duellistes qui, pour beaucoup, sont de bons gros clichés au point d'être parfois ridicules dans leur façon de se battre (se faire tuer par une geta ? Sérieusement ? XD)
Mais ça n'en reste pas moins immersif, grâce au trait dense de l'auteur et à une exposition suffisante des motivations et rivalités des principaux duellistes.
Mais après ce 1er tour peu surprenant qui était une étape impossible à éviter, on attend forcément un peu plus de rebondissements et d'imprévus pour la suite.
Minagawa prend bien le temps de remettre en place les choses et ses personnages avant de démarrer le Guns of Domination vers la moitié du tome.
Le 1er tour s'achève avec le volume et n'offre rien de surprenant ou de folichon, entre des duels dont on devine l'issue à l'avance et des duellistes qui, pour beaucoup, sont de bons gros clichés au point d'être parfois ridicules dans leur façon de se battre (se faire tuer par une geta ? Sérieusement ? XD)
Mais ça n'en reste pas moins immersif, grâce au trait dense de l'auteur et à une exposition suffisante des motivations et rivalités des principaux duellistes.
Mais après ce 1er tour peu surprenant qui était une étape impossible à éviter, on attend forcément un peu plus de rebondissements et d'imprévus pour la suite.
Re: Peace Maker
Tome 13 :
Hormis pour pouvoir présenter un peu plus les derniers duellistes du Guns of Domination (et certains pètent bien, faut dire), j'ai trouvé peu d'intérêt à toute la première partie du tome où l'auteur rallonge inutilement les choses et en fait trop... C'était bien sympa à lire, surtout parce que le dessin rend bien le climat de tension de cet hôtel piégé, mais ça m'a semblé assez vain.
La suite reprend le tournoi avec un duel mère/fils très bien rendu et aussi dur que touchant sans en faire trop, puis avec un nouvel affrontement bref et dense pour Hope, un nouveau coup du sort pour Nicola, et l'annonce d'un duel très prometteur pour le début du prochain tome... Affaire à suivre !
Hormis pour pouvoir présenter un peu plus les derniers duellistes du Guns of Domination (et certains pètent bien, faut dire), j'ai trouvé peu d'intérêt à toute la première partie du tome où l'auteur rallonge inutilement les choses et en fait trop... C'était bien sympa à lire, surtout parce que le dessin rend bien le climat de tension de cet hôtel piégé, mais ça m'a semblé assez vain.
La suite reprend le tournoi avec un duel mère/fils très bien rendu et aussi dur que touchant sans en faire trop, puis avec un nouvel affrontement bref et dense pour Hope, un nouveau coup du sort pour Nicola, et l'annonce d'un duel très prometteur pour le début du prochain tome... Affaire à suivre !