Ubel Blatt
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jojo81
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Re: Ubel Blatt
Pas pour maintenant.
L'auteur est pas mal occupé par ses séries actuelles. Rien qu'au mois de juillet, il elle signé la couverture du Shonen Sirius #08, du Nemesis #01 et du tome 4 de Change H (Green) qui regroupe plusieurs auteur pour faire des histoires courtes basées sur l'érotisme et la comédie. Change H met en scène des personnages transsexuels.
Plus d'info sur le site dedié à Übel Blatt: http://www.ubelblatt.fr/accueil.php
(C'est pas interdit un peu de pub nom ? ....)
L'auteur est pas mal occupé par ses séries actuelles. Rien qu'au mois de juillet, il elle signé la couverture du Shonen Sirius #08, du Nemesis #01 et du tome 4 de Change H (Green) qui regroupe plusieurs auteur pour faire des histoires courtes basées sur l'érotisme et la comédie. Change H met en scène des personnages transsexuels.
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Erkael
- Entité Démoniaque
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Re: Ubel Blatt
Vol 11: Pas moins de 26 mois séparent la sortie du tome 10 et celle de ce onzième tome…c’est bien simple on pensait réellement que Ubel Blatt resterai à jamais une série dont on ne verrait pas la fin, on n’y croyait plus…et soudain nous l’avons enfin entre nos mains, presque le saint Graal, un objet inaccessible qui devient enfin tangible, l’impensable devient concret !
Une fois passé ce choc, on commence à le lire et on s’attarde enfin sur son contenu. En toute objectivité, si la série était de qualité, et particulièrement stimulante, le tome précédent s’était montré un peu en dessous du reste, du coup on était sur une phase décevante.
La première épreuve à la lecture est de se remémorer les évènements et le contexte de l’histoire, car à défaut d’avoir relu la série récemment, après autant de temps, inutile de dire qu’on a dormi entre la lecture du tome 10 et celle du 11…du coup c’est bien loin tout ça ; et en toute franchise cela ne joue pas en faveur de la série.
Après une piqûre de rappel, on se remet vite dans le bain, on resitue les personnages et on reprend l’aventure plus motivé que jamais !
On retrouve donc Koinzell à la suite de son affrontement avec Ikfes, honteusement attaqué par le fourbe Lebellond. Et c’est justement autour de ce dernier que va tourner ce tome. A défaut d’accomplir sa vengeance, Koinzell est laissé pour mort et le traître va s’approcher des plus hautes marches du pouvoir.
Pour ce qui est de la surprise, on ne peut que féliciter l’auteur à ce niveau qui nous prend à contre pied et nous propose de suivre un coup d’état au lieu de la vengeance tant attendue.
Tout le monde s’agite en vain pour tenter de stopper Lebellond que rien ne semble arrêter dans sa quête de pouvoir.
L’auteur nous réservant même une ultime surprise dans les derniers chapitres du tome, une surprise de taille qui va tout chambouler dans l’univers de la série…comme une plongée dans le passé.
On prend donc énormément de plaisir à lire ce tome que l’on possède enfin, d’autant plus que l’auteur semble avoir travaillé sa narration par rapport à ce dont il nous avait habitué. Tout en fournissant de nombreux éléments, cela reste fluide, des ellipses placées intelligemment viennent alléger le tout…bref que du bon !
Le dessin est toujours aussi beau et l’éditeur nous propose toujours un travail de la meilleure des qualités.
On retrouve bien entendu en fin de tome quelques pages bonus qui nous apportent des éléments sur l’univers du titre…que du bonheur !
On l’aura attendu mais cela en valait la peine. Il ne reste plus qu’à espérer que l’attente pour le douzième tome, qui annonce plus d’action que dans celui ci, soit moins longue !
Une fois passé ce choc, on commence à le lire et on s’attarde enfin sur son contenu. En toute objectivité, si la série était de qualité, et particulièrement stimulante, le tome précédent s’était montré un peu en dessous du reste, du coup on était sur une phase décevante.
La première épreuve à la lecture est de se remémorer les évènements et le contexte de l’histoire, car à défaut d’avoir relu la série récemment, après autant de temps, inutile de dire qu’on a dormi entre la lecture du tome 10 et celle du 11…du coup c’est bien loin tout ça ; et en toute franchise cela ne joue pas en faveur de la série.
Après une piqûre de rappel, on se remet vite dans le bain, on resitue les personnages et on reprend l’aventure plus motivé que jamais !
On retrouve donc Koinzell à la suite de son affrontement avec Ikfes, honteusement attaqué par le fourbe Lebellond. Et c’est justement autour de ce dernier que va tourner ce tome. A défaut d’accomplir sa vengeance, Koinzell est laissé pour mort et le traître va s’approcher des plus hautes marches du pouvoir.
Pour ce qui est de la surprise, on ne peut que féliciter l’auteur à ce niveau qui nous prend à contre pied et nous propose de suivre un coup d’état au lieu de la vengeance tant attendue.
Tout le monde s’agite en vain pour tenter de stopper Lebellond que rien ne semble arrêter dans sa quête de pouvoir.
L’auteur nous réservant même une ultime surprise dans les derniers chapitres du tome, une surprise de taille qui va tout chambouler dans l’univers de la série…comme une plongée dans le passé.
On prend donc énormément de plaisir à lire ce tome que l’on possède enfin, d’autant plus que l’auteur semble avoir travaillé sa narration par rapport à ce dont il nous avait habitué. Tout en fournissant de nombreux éléments, cela reste fluide, des ellipses placées intelligemment viennent alléger le tout…bref que du bon !
Le dessin est toujours aussi beau et l’éditeur nous propose toujours un travail de la meilleure des qualités.
On retrouve bien entendu en fin de tome quelques pages bonus qui nous apportent des éléments sur l’univers du titre…que du bonheur !
On l’aura attendu mais cela en valait la peine. Il ne reste plus qu’à espérer que l’attente pour le douzième tome, qui annonce plus d’action que dans celui ci, soit moins longue !
On ne peut pas gagner à tous les coups mais on ne peut pas perdre à chaque fois non plus!
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Wang Tianjun
- Roi céleste
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Re: Ubel Blatt
Très heureux de retrouver enfin l'univers d'Ubel Blatt qui, malgré la très longue attente, n'avait pas été altéré dans mon esprit ! Ce qui est amusant, c'est que Etorouji Shiono fait vivre à ses personnages quelque chose d'assez similaire à ce qu'ont pu endurer les lecteurs : leur grand héros est absent, mais la vie continue, en espérant le jour où le blatt meister fasse son grand retour !
En outre, ce volume m'a séduit car il prend justement de poser à plat les différentes intrigues après les derniers rebondissement. Un tome de transition, diront certains, mais qui offre à la mythologie de la saga une véritable crédibilité.
J'ai été particulièrement marqué par :
[spoiler]- la fin très brutale de la rebellion grondant à Jebr, où les différentes figures rencontrées dans les tomes précédents sont éliminées d'un revers de main. Cela offre vraiment un caractère implacable, presque tragique, à la série, tout en renforçant l'idée de puissance de l'armée impériale
- la montée en puissance de Lebellond, qui sait profiter de la providence qui s'offre à lui, entre la disparition de Glenn qui lui faisait de l'ombre, l'élimination du rebelle montant son crédit et la faiblesse de l'empereur disposé à lui céder les pleins pouvoirs. Son ambition démesurée transparait alors avec son discours devant l'armée, véritable démonstration de propagande !
- l'évolution de nombreux personnages prompts à rejoindre une certaine rebellion (Rosen, Elsaria), et l'arrivée de nouvelles têtes intéressantes (Eghim)[/spoiler]
Bref, ce tome permet d'offrir un nouveau souffle à la série en remettant ses pions en place, et en prouvant qu'Ubel Blatt est loin d'être uniquement de la dark fantasy bourrinne. Maintenant, le plus dur sera d'attendre le tome 12... Mais avec ce qu'on a subi pour avoir celui-là, cela devrait nous paraitre relativement court ! ^^"
En outre, ce volume m'a séduit car il prend justement de poser à plat les différentes intrigues après les derniers rebondissement. Un tome de transition, diront certains, mais qui offre à la mythologie de la saga une véritable crédibilité.
J'ai été particulièrement marqué par :
[spoiler]- la fin très brutale de la rebellion grondant à Jebr, où les différentes figures rencontrées dans les tomes précédents sont éliminées d'un revers de main. Cela offre vraiment un caractère implacable, presque tragique, à la série, tout en renforçant l'idée de puissance de l'armée impériale
- la montée en puissance de Lebellond, qui sait profiter de la providence qui s'offre à lui, entre la disparition de Glenn qui lui faisait de l'ombre, l'élimination du rebelle montant son crédit et la faiblesse de l'empereur disposé à lui céder les pleins pouvoirs. Son ambition démesurée transparait alors avec son discours devant l'armée, véritable démonstration de propagande !
- l'évolution de nombreux personnages prompts à rejoindre une certaine rebellion (Rosen, Elsaria), et l'arrivée de nouvelles têtes intéressantes (Eghim)[/spoiler]
Bref, ce tome permet d'offrir un nouveau souffle à la série en remettant ses pions en place, et en prouvant qu'Ubel Blatt est loin d'être uniquement de la dark fantasy bourrinne. Maintenant, le plus dur sera d'attendre le tome 12... Mais avec ce qu'on a subi pour avoir celui-là, cela devrait nous paraitre relativement court ! ^^"
"Ah.. je suis en train.... de tomber en morceaux..."
Re: Ubel Blatt
Un tome 12 qui se résumerait presque à ses deux dernières pages.
Déçu par un tome 11 poussif dans la remise en place du contexte, le tome 12 ne m'a pas plus convaincu, cachant sa mollesse narrative derrière de l'action pas spécialement bien rendue (l'auteur met des traits et de la fumée partout, et basta) et portée par des rebondissements dont on se demande un peu parfois d'où ils viennent. Sans compter des évolutions graphiques un peu bizarres, genre Ato qui a de plus en plus un physique de loli. On apprend bien quelques petits trucs, il y a des idées, autour de Lebellond notamment, mais je trouve le tout trop dilué. Reste cette dernière double-page, étonnante, imprévisible et bourrée de promesses. Seulement, je préfère ne pas m'en réjouir pour l'instant, parce que l'auteur a intérêt à amener dès le prochain tome une solide argumentation quant au pourquoi du comment de ce rebondissement final, s'il veut que son manga continue de tenir la route. On verra bien. En attendant, c'est encore un tome en demi-teinte pour moi.
Déçu par un tome 11 poussif dans la remise en place du contexte, le tome 12 ne m'a pas plus convaincu, cachant sa mollesse narrative derrière de l'action pas spécialement bien rendue (l'auteur met des traits et de la fumée partout, et basta) et portée par des rebondissements dont on se demande un peu parfois d'où ils viennent. Sans compter des évolutions graphiques un peu bizarres, genre Ato qui a de plus en plus un physique de loli. On apprend bien quelques petits trucs, il y a des idées, autour de Lebellond notamment, mais je trouve le tout trop dilué. Reste cette dernière double-page, étonnante, imprévisible et bourrée de promesses. Seulement, je préfère ne pas m'en réjouir pour l'instant, parce que l'auteur a intérêt à amener dès le prochain tome une solide argumentation quant au pourquoi du comment de ce rebondissement final, s'il veut que son manga continue de tenir la route. On verra bien. En attendant, c'est encore un tome en demi-teinte pour moi.
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Erkael
- Entité Démoniaque
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Re: Ubel Blatt
Vol 14: Il aura fallu attendre moins longtemps que pour le précédent pour voir sortir ce quatorzième tome de Ubel Blatt, série qui a désormais presque autant de détracteurs que de fans. Par conséquent, les évènements du dit tome précédent sont encore relativement frais ce qui facilite la lecture du présent tome.
La guerre des héros fait rage et semble arriver à son terme ! Lebellond, acculé, fait appel à d’anciens camarades qui ne sont autres que deux autres des sept héros, vils personnages contre lesquelles est dirigé la vengeance de Koinzell (d’ailleurs on le voit tellement peu depuis un moment qu’outre le fait d’oublier qu’il est le véritable héros du titre, qu’on en viendrait presque à oublier jusqu’à son nom).
Les tirs des vaisseaux s’abattent sur la forteresse de Lebellond qui perd peu à peu pied, pensant trois de ses enfants morts, il « engrosse » des « femelles » pour donner naissance à de futurs héritiers… Clairement des scènes gratuites qui n’apportent rien au titre. L’auteur n’arrive décidément pas à se débarrasser de ce genre de scènes qu’il semble affectionner, alors qu’elles viennent juste polluer le titre !
Tout le tome ou presque tourne autour de Lebellond et de sa folie de plus en plus présente. Mais enfin le titre avance, on pourrait même dire qu’il fait un sacré bond ! Alors qu’on pensait que l’auteur avait commencé à se perdre en cours de route et qu’on voyait que la trame principale semblait geler, cette guerre des héros est le moyen pour Koinzell de refaire le point sur les compteurs et de passer à la vitesse supérieur ! En treize tomes seuls deux de ses cibles ont subis son courroux (et qui plus est assez rapidement), mais on assistait à un statu-quo…et bien cela va grandement évoluer dans ce tome ! Trois de plus ! Cela va tellement vite qu’on ne peut s’empêcher de penser que tout cela est bâclé, ce qui est d’autant plus paradoxale qu’on se plaignait que cela n’avance pas assez vite…l’auteur ne fait donc pas dans la demi mesure…soit il stagne soit il va trop vite, et dans un cas comme dans l’autre cela laisse un goût amer !
Au vu des évènements, il apparaît clair que la vengeance de Koinzell n’est plus l’intérêt principal de la série, l’auteur ayant changé son fusil d’épaule en cours de route, en termine vite avec cette trame pour partir sur celle qu’il développe depuis quelques tomes. Certes cela rompt toute linéarité, mais cela paraît assez abrupte tout de même.
Graphiquement c’est toujours aussi beau, mais malheureusement toujours aussi fouillis dans les scènes d’actions très peu claires.
Ce qui laisse également un arrière goût à l’issue de ce tome c’est la vitesse à laquelle on le lit…des mois d’attentes, une certaine somme dépensée pour que se soit plié en quinze minutes (en prenant son temps)…un peu frustrant !
La série a toujours des qualités, elle demeure intéressante mais elle a bel et bien perdue sa magie et tous les espoirs qu’on pouvait avoir pour elle dans les premiers tomes se sont depuis longtemps dissipés. Une série sympa, à défaut du titre culte qu’on pensait suivre !
La guerre des héros fait rage et semble arriver à son terme ! Lebellond, acculé, fait appel à d’anciens camarades qui ne sont autres que deux autres des sept héros, vils personnages contre lesquelles est dirigé la vengeance de Koinzell (d’ailleurs on le voit tellement peu depuis un moment qu’outre le fait d’oublier qu’il est le véritable héros du titre, qu’on en viendrait presque à oublier jusqu’à son nom).
Les tirs des vaisseaux s’abattent sur la forteresse de Lebellond qui perd peu à peu pied, pensant trois de ses enfants morts, il « engrosse » des « femelles » pour donner naissance à de futurs héritiers… Clairement des scènes gratuites qui n’apportent rien au titre. L’auteur n’arrive décidément pas à se débarrasser de ce genre de scènes qu’il semble affectionner, alors qu’elles viennent juste polluer le titre !
Tout le tome ou presque tourne autour de Lebellond et de sa folie de plus en plus présente. Mais enfin le titre avance, on pourrait même dire qu’il fait un sacré bond ! Alors qu’on pensait que l’auteur avait commencé à se perdre en cours de route et qu’on voyait que la trame principale semblait geler, cette guerre des héros est le moyen pour Koinzell de refaire le point sur les compteurs et de passer à la vitesse supérieur ! En treize tomes seuls deux de ses cibles ont subis son courroux (et qui plus est assez rapidement), mais on assistait à un statu-quo…et bien cela va grandement évoluer dans ce tome ! Trois de plus ! Cela va tellement vite qu’on ne peut s’empêcher de penser que tout cela est bâclé, ce qui est d’autant plus paradoxale qu’on se plaignait que cela n’avance pas assez vite…l’auteur ne fait donc pas dans la demi mesure…soit il stagne soit il va trop vite, et dans un cas comme dans l’autre cela laisse un goût amer !
Au vu des évènements, il apparaît clair que la vengeance de Koinzell n’est plus l’intérêt principal de la série, l’auteur ayant changé son fusil d’épaule en cours de route, en termine vite avec cette trame pour partir sur celle qu’il développe depuis quelques tomes. Certes cela rompt toute linéarité, mais cela paraît assez abrupte tout de même.
Graphiquement c’est toujours aussi beau, mais malheureusement toujours aussi fouillis dans les scènes d’actions très peu claires.
Ce qui laisse également un arrière goût à l’issue de ce tome c’est la vitesse à laquelle on le lit…des mois d’attentes, une certaine somme dépensée pour que se soit plié en quinze minutes (en prenant son temps)…un peu frustrant !
La série a toujours des qualités, elle demeure intéressante mais elle a bel et bien perdue sa magie et tous les espoirs qu’on pouvait avoir pour elle dans les premiers tomes se sont depuis longtemps dissipés. Une série sympa, à défaut du titre culte qu’on pensait suivre !
On ne peut pas gagner à tous les coups mais on ne peut pas perdre à chaque fois non plus!
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Erkael
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Re: Ubel Blatt
Vol 15: Encore un tome de Ubel Blatt qui se sera fait attendre, et ce pendant plusieurs mois, mais cette fois, la sortie de ce volume coïncide avec celle du premier tome de Zelphy, autre série de l'auteur Shiono Etorouji, mais chez un autre éditeur.
Avec un rythme de parution aussi lent on peut légitimement se demander pourquoi se disperser de la sorte, bien qu'on ne puisse pas reprocher à l'auteur de vouloir explorer d'autres univers.
Lebellond est mort, tombé sous les coups de Koinzell, il ne reste désormais plus que deux cibles à abattre mais les choses s'annoncent plus compliquées, d'autant plus que Glenn a rassemblé de puissants guerriers autour de lui...des guerriers mais également des monstres ! Pour l'heure Koinzell fait face à la fille de Lebellond qui a vendu son âme au diable et possède maintenant une puissance incroyable.
Aprés cet épisode Koinzell disparais une nouvelle fois, mais maintenant cela ne choque plus, et l'auteur nous projette dans une autre contrée avec d'autres personnages. Alors ici il ne s'agit pas d'un changement radical puisqu'on se retrouve directement après les événements de la guerre des héros dans un petit village attaqué par un dragon. Ainsi on apprend que Glenn étend son pouvoir, sa domination et son influence en accroissant le nombre de guerriers possédant des pouvoirs démoniaques.
Le temps de quelques chapitres nous retrouvons Elsaria et sa troupe pour un épisode bien glauque et malsain où ces derniers se retrouvent prisonniers d'un château dans lequel ils étaient invités, face à un roi fou et à sa progéniture contre nature.
Bien qu'on se demande quel est le but de cet épisode, il reste particulièrement attractif et séduisant réussissant à nous plonger dans un univers malsain comme on en fait peu, rappelant les premiers tomes de la série.
On revient ensuite sur la guerre avec l'opposition d'anciens alliés de Glenn à ses nouveaux subordonnés, possédant désormais également des pouvoirs démoniaques. C'est l'occasion de faire ré-intervenir des personnages qu'on avait presque oublié, et contre toute attente, on assiste déjà au retour de notre héros qui n'était pas parti bien loin, heureusement.
Un tome sympathique mais la magie du début s'est clairement estompée, cela traîne en longueur empruntant des directions qu'on ne comprend pas toujours, avec des personnages qui disparaissent trop longtemps pour qu'on ne perde pas le fil, et au risque d'enfoncer le clou, le rythme de parution n'arrange rien.
On continue de lire la série mais la passion n'y est plus.
Avec un rythme de parution aussi lent on peut légitimement se demander pourquoi se disperser de la sorte, bien qu'on ne puisse pas reprocher à l'auteur de vouloir explorer d'autres univers.
Lebellond est mort, tombé sous les coups de Koinzell, il ne reste désormais plus que deux cibles à abattre mais les choses s'annoncent plus compliquées, d'autant plus que Glenn a rassemblé de puissants guerriers autour de lui...des guerriers mais également des monstres ! Pour l'heure Koinzell fait face à la fille de Lebellond qui a vendu son âme au diable et possède maintenant une puissance incroyable.
Aprés cet épisode Koinzell disparais une nouvelle fois, mais maintenant cela ne choque plus, et l'auteur nous projette dans une autre contrée avec d'autres personnages. Alors ici il ne s'agit pas d'un changement radical puisqu'on se retrouve directement après les événements de la guerre des héros dans un petit village attaqué par un dragon. Ainsi on apprend que Glenn étend son pouvoir, sa domination et son influence en accroissant le nombre de guerriers possédant des pouvoirs démoniaques.
Le temps de quelques chapitres nous retrouvons Elsaria et sa troupe pour un épisode bien glauque et malsain où ces derniers se retrouvent prisonniers d'un château dans lequel ils étaient invités, face à un roi fou et à sa progéniture contre nature.
Bien qu'on se demande quel est le but de cet épisode, il reste particulièrement attractif et séduisant réussissant à nous plonger dans un univers malsain comme on en fait peu, rappelant les premiers tomes de la série.
On revient ensuite sur la guerre avec l'opposition d'anciens alliés de Glenn à ses nouveaux subordonnés, possédant désormais également des pouvoirs démoniaques. C'est l'occasion de faire ré-intervenir des personnages qu'on avait presque oublié, et contre toute attente, on assiste déjà au retour de notre héros qui n'était pas parti bien loin, heureusement.
Un tome sympathique mais la magie du début s'est clairement estompée, cela traîne en longueur empruntant des directions qu'on ne comprend pas toujours, avec des personnages qui disparaissent trop longtemps pour qu'on ne perde pas le fil, et au risque d'enfoncer le clou, le rythme de parution n'arrange rien.
On continue de lire la série mais la passion n'y est plus.
On ne peut pas gagner à tous les coups mais on ne peut pas perdre à chaque fois non plus!
Re: Ubel Blatt
Tome 15 :
Il est toujours frustrant de se retrouver avec un tome qui se lit si vite après tant d'attente... Encore plus quand le tome en question s'égare dans des à-côté qui ramollissent à nouveau une intrigue qui recommençait à peine à timidement décoller.
Il y a pourtant quelques éléments intéressants, et quelques planches qui en jettent plutôt pas mal niveau décors, mais Etorouji Shiono se perd beaucoup trop, ne sait pas exploiter correctement la plupart de ses personnages secondaires, offre des scènes d'action pataudes, et a tendance à se planter de plus en plus dans le design de ses personnages (entre une Spaz au physique improbable, des gus inexpressifs, et quelques designs qui font tache dans le monde sombre d'Ubel Blatt tant ils ont l'air choupi).
C'est pas déplaisant à parcourir, mais bon dieu, l'auteur a vraiment toutes les peines du monde à faire redécoller sa série, encore et toujours.
Il est toujours frustrant de se retrouver avec un tome qui se lit si vite après tant d'attente... Encore plus quand le tome en question s'égare dans des à-côté qui ramollissent à nouveau une intrigue qui recommençait à peine à timidement décoller.
Il y a pourtant quelques éléments intéressants, et quelques planches qui en jettent plutôt pas mal niveau décors, mais Etorouji Shiono se perd beaucoup trop, ne sait pas exploiter correctement la plupart de ses personnages secondaires, offre des scènes d'action pataudes, et a tendance à se planter de plus en plus dans le design de ses personnages (entre une Spaz au physique improbable, des gus inexpressifs, et quelques designs qui font tache dans le monde sombre d'Ubel Blatt tant ils ont l'air choupi).
C'est pas déplaisant à parcourir, mais bon dieu, l'auteur a vraiment toutes les peines du monde à faire redécoller sa série, encore et toujours.