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Série en 15 tomes ordinaires ou 10 tomes version deluxe (vo)
Série en 10 tomes deluxe (vf) publiée par tonkam en format 15 X 21 (première édition de 1/2001 à 1/2003) et actuellement rééditée dans un format plus reduit.

D'abord, une presentation des personnages s'impose:
Rumiko Takahashi a beaucoup joué sur les noms de ses personnage pour definir leur caractère (et leur position dans la pension). Je presente ici chaque personnage de la serie avec son nom original (prenom puis nom) et sa traduction puis son nom dans la serie TV (qui vous est plus familière en général).

(mezon) ikkoku
(pension de famille/ d'un instant)
la pension des mimosas
C'est le lieu principal de l'action est un vieux batiment avec 7 chambres sans salles de bains (mais, malgré tout, source de promiscuité pour les differents protagonistes) et, au grenier, d'une horloge a carillon hors d'usage.


Yûsaku Godai
(5ème génération/ production abondante)
Hugo Dufour
Etudiant sans université, Godai passe ses journées a reviser continuellement harcelé par ses voisins, il est sur le point de quitter la pension quand il rencontre et tombe amoureux de Kyoko, la nouvelle resonsable, mais trop timide, il ne peux lui exprimer ses sentiments (ou alors ivre-mort en les hurlant a tout le voisinage). Il est faible et facilement manipulable (trop bonne poire, dirais-je). il va lutter durant toute la serie pour terminer ses études et trouver une bonne situation professionnelle et affirmer ses sentiments à Kyoko


Kyoko Otonashi (nom de jeune fille: Chikusa)
(Son ou echo/ sans bruit/ miriade de varièté de fleurs)
Juliette Rosier
Jeune veuve d'un professeur, nouvelle responsable de la pension, elle est accompagnée d'un gros chien (Soichiro/ Maxime), qui porte le même nom que son defunt mari et reste son seul souvenir de lui.
Douce et aimable, mais en proie a des colères noires et des crises de jalousies. Elle est toujours amoureuse de feu son mari dont elle ne veux pas trahir la memoire en sortant avec un autre homme.


Hanae Ichinose
(golfe de fleur?/ 1 certain torrent?)
Pauline
Petite bonne femme replette et mère au foyer (elle a un fils: Kentaro/ Léo). Elle est a la fois trés psychologue, indiscrete et toujours prete a jouer ou se biturer (au grand dam de son fils embarassé).


Kikusendai Yotsuya
(chrysantheme de mille ans/ 4 vallées )
Stephane
Il est mystèrieux. on ne sait rien de ses moyens de subsistance ou de son eventuel metier. il est le principal persecuteur de Godai (lui "empruntant des conserves ou percant des trous dans leur mur commun pour s'inviter ou simplement empecher Godai de reviser.


Akemi Roppongi
(rouge beauté/ 6 arbres)
Charlotte
Elle est rousse, hotesse de bar et sa tenue dans la pension est un vaporeux deshabillé qui ne cache pas grand chose
Elle compete avec Ichinose et Yotsuya le trio fetard et perturbateur de la vie de Godai.


Shun Mitaka
(clin d'oeil/ 3 faucon)
François
Professeur de tennis et play-boy qui va s'employer a compliquer le chemin de Godai vers le coeur de Kyoko mais qui part avec un gros handicap: sa peur panique des chiens (même les pluspetits )

D'autres personnages mettrons des embuches dans cette histoire,

de gauche a droite:
Kujô Asuna (Hortense): Jeune fille brillante, passionnée par les chiens et, evidemment amoureuse de Mitaka.
Yagami Ibuki (Clementine Bourdain): Jeune lyceenne amoureuse obstinée de Godai qui la repoiusse ouvertement.
et Nanao Kozue (7 pentes/ montagne) (Suzanne): Jolie jeune fille timide, un peu reveuse et petite amie de Godai (dont elle est amoureuse et qui pense que c'est reciproque, ce dont Godai ne la dissuade pas, dans son infinie lacheté).


Les personnages hebergés, l'histoire campée, il ne reste plus qu'a échauffer les passions amoureuses:
Maison ikkoku est une histoire complete avec un début, une évolution (des sentiments) et une fin La progression se faisant par des chapitres courts et quasi indépendants.
Avant tout une histoire d'amour sans mièvrerie, c'est aussi une grande comedie comme sait bien les faire Rumiko Takahashi. Rumiko apporte beaucoup d'attention a ses personnages tous trés typés et trés bien developpés.
Ce qui en fait une trés agreable lecture pour de jeunes adultes des 2 sexes.



Kyoko, on t'aime en manga et en dessin animé
La serie a bien sur connu un enorme succes chez nous, avant tout par le biais de la serie animée diffusée dés 1988. Elle est constituée de 96 episodes. Je vous incite a jeter un oeil sur cette page qui détaille les équipes qui ont contribuée a son succés. >>>

un article super pour une série qui l'est également...

mention spéciale à Tonkam qui réédite la série alors certes dans une édition moins sympa que la 1ère mais au moins tout le monde peut découvrir l'oeuvre qui a permis à Love Hina d'exister ( et oui c'est un véritable plagiat pour ceux qui l'ont lu au bout d'à peine un volume ca devient choquant ... )

sinon pour la série, je pense qu'au niveau psychologique c'est l'une des oeuvres les plus fraiches à lire et les plus abouties...le style Takahashi en fait...

à posséder et à lire de toute urgence

Nice la chronique Néun je n'aurais point fait mieux ^^

Comme l'a dit Daigoro juste au dessus je remercie déja Tonkam pour la réedition car sans cela je n'aurais pas eu la chance de découvrir ce magnifique manga...

Ensuite concernant le manga en lui mm j'adore je pense que c'est le manga le + travailler de Takahashi car tout les ingrédients sont parfaitement bien mélanger et la sauce prends super bien...

Les dessins bon c'est du Takahashi c'est pas du grand art mais elle ce rattrape largement sur le scénario et la narration de l'histoire...

L'histoire d'amour encore Yusaku & Kyoko est passionnante a suivre (mm si défois manga oblige ya quelques situations plutot improbable) et surtout tellement vrai par moment (3/4 du temps).

Vraiment un manga que je conseil a tous c'est vraiment un classique je pense,avec humour,amour,tristesse et avec une narration magnifique...

Voila pour mon avis...

Vol.3 : Encore un tome magnifique avec un Yusaku plus amoureux que jamais qui prend "rapidement la mouche" et décide carrément de partir de la pension suite à un pti bug dans la circulations de rumeur lol......sinon l'auteur nous donne un pti chapitre de fan service en fin de tome lol content de voir que c'était déja d'actualité à l'époque mais surtout ont voit aussi que Yusaku est toujours + perdu entre sa "petite amie" et Kyoko......

Vol.4 & 5 : Vraiment un des meilleur seinen que je lis, vraiment rien à faire j'adore ce manga. Les personnages sont super, les dessins c'est du Takahashi donc toujours bon et voila l'ambiance les "aventures" et surtout l'histoire d'amour vraiment très travaillée. Les chapitres qui ce passe à l'hôpital je les ai trouvé géniaux tout simplement.

content que la reedition se déroule bien.

Ce serait dommage de passer a coté d'une des meilleurs séries de Rumiko. (avec le matos que j'ai sur elle, je devrait même envisager de faire un dossier )

Un classique que je découvre avec grand plaisir après avoir connu "Juliette je t'aime" (et zut, voilà que j'ai l'horripilant générique en tête ) !

Les événements semblent enfin se précipiter un peu à 3 volumes de la fin (ouf) et les personnages commencent un peu à s'émanciper du carcan qui régissait leurs réactions jusqu'à présent.
De manière générale, chacun des protagonistes du triangle amoureux gagne en profondeur et ce changement bienvenu agit comme une bouffée d'air frais qui relance l'intérêt pour la série qui menaçait de tourner en rond.

Même si globalement la qualité est excellente, certains chapitres par trop invraisemblables (je pense notamment à celui où Shun somme Kyôko de lui faire part de sa décision) gâchent un peu l'ensemble.

Vol.6 :Un première partie de tome avec Nikaido, qui tente de "survivre" dans la pension. D'ailleurs j'ai remarqué qu'après même si il est toujours présent a la pension, il l'est nettement moins à "l'image" on le voit rapidement en fin de tome. Et ensuite on enchaine pour revenir vers Godai, qui cherche du travail, et qui ce retrouve prof le temps d'un stage (qui dure quand même pas mal de chapitres), permet à l'auteur d'introduire un nouveau personnage ainsi que son lot de situations étranges. Bref encore un bon tome de cette excellente série.

Vol 7.

Un pas en avant, un pas en arrière. Voila ce que pourrait être le motto de la pension Ikkoku. En ce qui concerne Yusaku en tout cas. La "tempête Yagami" n'a en effet pas eu l'effet escompté, et Yusaku se retrouve sans emploi après la fin de ses études. Epouser Kyoko n'est donc pas pour tout de suite. Mais la perte de cet emploi pourrait être sa chance de se diriger dans une autre voie, tout aussi honorable. A force d'être obnubilé par l'attrait d'un travail en entreprise, il s'est coupé lui-même des possibilités de carrière qui lui conviendrait mieux.
Mais problème, Mitaka décide d'accélérer le mouvement et de faire pression sur Kyoko. Compréhensible quand on sait que cela fait quand même 5 ans qu'il attend. Erreur fatale cependant, car il se retrouve avec un fameux, bien que très mignon, boulet au pied, et qui de plus nourrit une véritable passion pour son pire cauchemar . Et qui lui semble très attaché de surcroît. Gageons qu'il aura du mal à s'en défaire.
De toute façon, le coeur de la belle veuve penche tout de même plus du côté de Yusaku. Mais comme d'habitude, un malentendu, un problème de communication, une peur d'aborder le sujet en profondeur, résulte en une dispute assez grave entre Kyoko et Yusaku. Décidément, il ne s'en sortiront jamais. Alors que tout serait plus facilement résolu si ils étaient honnêtes envers eux-même et entre eux. Et la fin du tome montre une conclusion qui résultera probablement de nouveau en un statut quo dans leur rapport. Il faudrait de nouveau un petit retour d'Ibuki ou autre pour relancer le tout dans le prochain volume.

Au final, Maison Ikkoku est toujours aussi plaisant. On rit toujours des déboires du pauvre Godaï, et on lui souhaite d'arriver à quelque chose. Les choses commencent enfin à bouger un peu dans cette relation triangulaire complexe et à se diriger vers une conclusion. Et puis bon, Rumiko raconte toujours aussi bien cette histoire.

Une bonne série et qui ne présage que du bon, il me reste encore 4/5 tomes à lire et je pense que je ne serai pas déçu.

Par contre, je voudrai revenir sur le dessin. Je le trouve beau, très beau...d'une simplicité et à la fois maitrisé. On ne le dirait pas mais ce dessin à dû demandé beaucoup de travail, de recherche...Une apparente naiveté, mais un trait tout de même grave. Ce style si particulier permet de concilier à la fois légèreté et gravité...et s'adapte parfaitement au scénario, ce qui une qualité.

Très très bon vol.08 on sent la fin de l'histoire arriver kyoko semble avoir fait son choix étrange mais a peur de le dévoilé (Elle est lâche comme Godai en passant ^^) avant qu'un certain Ronin ne trouve un vrai travail. Dans ce volume on voit que Mitaka se défait de sa phobie pour l'animal canin et il pense a tord que le seul obstacle entre lui et Kyoko est derrière lui.

Bref je suis très content de cette réédition n'ayant pas pu mettre la main sur la première édition c'est vrai que j'étais déçu que la réédition soit en bunko mais c'est déjà bien de la part de Tonkam de réédité un vieux manga des années 80.