Made in ASANO: Solanin, le quartier de la lumière...
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Re: Made in ASANO: Solanin, le quartier de la lumière...
chronique du champ de l'arc-en-ciel en première page.
Asano nous présente une nouvelle fois des faits divers simples comme dans le quartier de la lumière mais cette fois tout les protagoniste sont plus étroitement liés et leurs actions découlent les uns des autres comme une chute de dominos, les laissant meurtris psychologiquement.
J'ai trouvé la lecture trés ardue (bien plus que sur les autres Asano, mais j'étais prevenu) J'ai eu des doutes quand a certains signes donnés au détour d'une case et dont je ne trouve pas le développement plus tard comme l'impression que le père d'Arié b... pour sa fille avant de l'envoyer jouer dans l'un des premiers chapitres. plusieurs garçons ont dés le début des troubles émotionnels qui ne sont pas tous déchiffrables sans être psy et sans décortiquer toutes l'histoire.
Bref, mon plaisir de lecture à été un peu amoindri par la complexité de la structure narrative. Solanin reste à ce jour mon Asano favori.
Asano nous présente une nouvelle fois des faits divers simples comme dans le quartier de la lumière mais cette fois tout les protagoniste sont plus étroitement liés et leurs actions découlent les uns des autres comme une chute de dominos, les laissant meurtris psychologiquement.
J'ai trouvé la lecture trés ardue (bien plus que sur les autres Asano, mais j'étais prevenu) J'ai eu des doutes quand a certains signes donnés au détour d'une case et dont je ne trouve pas le développement plus tard comme l'impression que le père d'Arié b... pour sa fille avant de l'envoyer jouer dans l'un des premiers chapitres. plusieurs garçons ont dés le début des troubles émotionnels qui ne sont pas tous déchiffrables sans être psy et sans décortiquer toutes l'histoire.
Bref, mon plaisir de lecture à été un peu amoindri par la complexité de la structure narrative. Solanin reste à ce jour mon Asano favori.
Re: Made in ASANO: Solanin, le quartier de la lumière...
un monde formidable tome 1-2
ça fait longtemps que je voulais lire ces derniers, j'aime beaucoup les bd "tranches de vie", ce dernier ma satisfait dans ce registre.
les nouvelles sont bien menée. certaines sont excellentes! un autre atout de l'oeuvre est l'univers, tout se croisent et forme comme une famille, ça consolide le tout, c'est bien.
j'aurais juste un petit reproche vis a vis de l'ensemble des 2 tomes, l'auteur va toujours dans le même sens, a la fin de la lecture des 2 livres on tombe en dépression ..., j'aurais aimé une variance de ton comme short program d'adachi, ici on ne parle que de "raté" ou presque et c'est un peu dommage car au final on s'en lasse. même si certaines histoires se finissent sur une note positive, on peut pas dire qu'on le ressent tant cette ambiance "dépressive" est forte.
ça fait longtemps que je voulais lire ces derniers, j'aime beaucoup les bd "tranches de vie", ce dernier ma satisfait dans ce registre.
les nouvelles sont bien menée. certaines sont excellentes! un autre atout de l'oeuvre est l'univers, tout se croisent et forme comme une famille, ça consolide le tout, c'est bien.
j'aurais juste un petit reproche vis a vis de l'ensemble des 2 tomes, l'auteur va toujours dans le même sens, a la fin de la lecture des 2 livres on tombe en dépression ..., j'aurais aimé une variance de ton comme short program d'adachi, ici on ne parle que de "raté" ou presque et c'est un peu dommage car au final on s'en lasse. même si certaines histoires se finissent sur une note positive, on peut pas dire qu'on le ressent tant cette ambiance "dépressive" est forte.
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Re: Made in ASANO: Solanin, le quartier de la lumière...
j'espère que l'un ou l'autre éditeur à pour projet de plublier "l'aube avant la fin du monde".
cela fait un moment qu'on a plus de nouvelles d'Asano en français.
cela fait un moment qu'on a plus de nouvelles d'Asano en français.
Re: Made in ASANO: Solanin, le quartier de la lumière...
Plus d'un an sans message dans ce topic, et le dernier était pour réclamer le nouvel Asano qui vient de sortir ^^
La fin du monde, avant le lever du jour
Voici un retour attendu pendant longtemps, très longtemps. Mais cette fois-ci, ça y est: deux ans et demi après le Champ de l'arc-en-ciel, Inio Asano, l'un des grands espoirs de la nouvelle génération de mangaka, revient enfin en France avec La fin du monde, avant le lever du jour, nouveau recueil de nouvelles toutes plus fascinantes les unes que les autres, où l'auteur reste dans son grand amour pour la peinture de personnages perdus dans un quotidien qui les engloutit.
Au programme de cet épais ouvrage de plus de 270 pages, plus d'une dizaine de morceaux de vie, dont quatre se regroupant sur une même histoire d'environ 70 pages. Pour le reste, les longueurs varient, allant de la simple histoire d'ouverture de 4 pages en couleurs, muettes, simples extraits de vie, aux deux petites pages finales se reliant à la plus longue nouvelle du volume (une quarantaine de pages). Mais la majorité des histoires tournent autour de la vingtaine de pages.
Après les pages en couleurs, les choses sérieuses s'ouvrent sur un chapitre témoignant de la maestria et de l'inventivité narrative de l'auteur. Pendant un peu moins de trente pages, Asano enchaîne des tranches de vie de deux pages, des portraits de personnages en plein bonheur, que celui-ci soit simple ou grandiose, ou en train de vivre des instants difficiles, voire étant plongés dans le drame, ou encore vivant quelque évènement surnaturel... Des personnages tous reliés les uns aux autres par le simple fait que la première case d'un extrait de vie possède un élément faisant directement écho à la dernière case de l'extrait de vie précédent. L'effet de style est saisissant. Les personnages n'ont aucun lien entre eux, et, par ce procédé, sont pourtant subtilement tous reliés. Simplement, ils vivent tous dans le même monde, où ils sont tous susceptibles de vivre des choses heureuses ou malheureuses, des petits bonheurs ou de grands drames, des déceptions ou d'immenses joies. La vie, tout simplement.
Après cette entrée en matière conquérante, nous sommes certains qu'Asano n'a rien perdu de son talent, et il le confirmera rapidement à travers des histoires courtes mettant en avant des personnages très différents les uns des autres. Ici, un père de famille fugue car il a le sentiment que ses idéaux familiaux n'existent plus depuis la mort de sa femme et son licenciement. Là, un jeune mangaka, lors de retrouvailles avec ses anciens camarades de classe, se rappelle une promesse faite pendant l'enfance avec la fille qu'il aimait. Là-bas, une femme retrouve une lettre qu'elle s'était écrite cinq ans auparavant. Dans sa petite cahutte de la gare du centre-ville, la pétillante et souriante Eiko rêve en secret d'une tout autre vie, faite de richesse et du beau prince charmant. Et ainsi de suite.
Ces vies, Asano excelle toujours pour les représenter, quoi que l'auteur lui-même puisse en dire dans sa postface où il avoue régulièrement ne pas être satisfait de son travail. On lui concèdera alors, pour ne pas le contredire, un graphisme un peu moins régulier sur telle ou telle histoire un peu plus ancienne, ou un goût moins prononcé pour les excellents trips dans lesquels il était capable de nous emmener dans un titre comme le Quartier de la Lumière. Mais vraiment pour ne pas le contredire.
Pour le reste, on retrouve toute la force de l'auteur pour dépeindre des personnages en plein doute, devant faire face à quelque difficulté, à un passé qui ressurgit, à un présent qu'ils ne savent comment aborder, ou à un avenir qui tarde à arriver. Un aspect un peu introspectif porté par les pensées très humaines des personnages, un peu d'humour très discret au détour d'une ou deux répliques, un peu de folie avec un personnage comme Eiko, une ambiance mêlant en même temps joie, tristesse, mélancolie, pour un résultat vivant et unique. Les personnages ne sont pas fixes, se cherchent sans cesse, recherchent la moindre parcelle de bonheur, ne serait-ce qu'à travers un baiser soudain, pour tenter d'oublier qu'ils sont perdus, ou pour échapper à la réalité. Les dialogues sont très souvent justes, Asano touche toujours là où ça fait mal et, grâce à ses personnages, émeut et donne à réfléchir sur la condition humaine. Les dessins finissent de sublimer le tout: un sourire forcé par-ci , des larmes retenues qui finissent parfois par couler par-là, des regards désabusés ou pétillants, des yeux interrogateurs envers l'avenir, des mines bourrées de regrets ou en plein doute... Le tout dans des décors souvent bien ancrés dans un quotidien réel, morose, calme ou oppressant, où viennent pointer parfois les paysages de petits bonheurs simples, comme un rayon de soleil perçant les nuages au dessus d'un canal, entre les immeubles.
Asano est un magicien des émotions et des ambiances, qu'il dépeint avec un réalisme saisissant. Aucune histoire n'est toute rose ou toute noire, et si les choses sont difficiles, un espoir, quelque part, est toujours permis, comme tendrait à le montrer cette jeune fille que l'on revoit à trois reprises dans l'oeuvre, comme un fil rouge, à différents moments de sa vie d'adolescente, au début dans "Alfalfa", au milieu dans "Retour à la maison", à la fin dans "La fin du monde". Une fille perdue, qui en vient à fuguer, mais qui, au final, retrouve du goût à la vie. Par ailleurs, il est dommage que l'éditeur n'ait pas compris qu'il s'agissait à trois reprises du même personnage, puisque la demoiselle se retrouve nommée tantôt Ôzawa, tantôt Oosawa.
L'édition restera d'ailleurs le principal frein à l'achat, tant elle revêt tout de l'arnaque. 15€ pour un titre de la collection Made In, c'est monnaie courante. Mais ici, le problème est que l'habituel grand format de cette collection est troqué contre un petit format seinen. Du jamais vu. On aurait pu passer outre, si le reste de l'édition avait suivi, mais ce n'est pas le cas. Même si nous avions eu affaire à un grand format, le papier utilisé est de qualité inacceptable pour un titre de ce prix, y compris pour la dizaine de pages en couleurs, qui, de ce fait, ont un rendu imparfait. Les moirages sont bien présents, l'encre a tendance à baver... Non, vraiment, on ne comprend pas, tant le rapport qualité/prix est honteux.
La fin du monde, avant le lever du jour
Voici un retour attendu pendant longtemps, très longtemps. Mais cette fois-ci, ça y est: deux ans et demi après le Champ de l'arc-en-ciel, Inio Asano, l'un des grands espoirs de la nouvelle génération de mangaka, revient enfin en France avec La fin du monde, avant le lever du jour, nouveau recueil de nouvelles toutes plus fascinantes les unes que les autres, où l'auteur reste dans son grand amour pour la peinture de personnages perdus dans un quotidien qui les engloutit.
Au programme de cet épais ouvrage de plus de 270 pages, plus d'une dizaine de morceaux de vie, dont quatre se regroupant sur une même histoire d'environ 70 pages. Pour le reste, les longueurs varient, allant de la simple histoire d'ouverture de 4 pages en couleurs, muettes, simples extraits de vie, aux deux petites pages finales se reliant à la plus longue nouvelle du volume (une quarantaine de pages). Mais la majorité des histoires tournent autour de la vingtaine de pages.
Après les pages en couleurs, les choses sérieuses s'ouvrent sur un chapitre témoignant de la maestria et de l'inventivité narrative de l'auteur. Pendant un peu moins de trente pages, Asano enchaîne des tranches de vie de deux pages, des portraits de personnages en plein bonheur, que celui-ci soit simple ou grandiose, ou en train de vivre des instants difficiles, voire étant plongés dans le drame, ou encore vivant quelque évènement surnaturel... Des personnages tous reliés les uns aux autres par le simple fait que la première case d'un extrait de vie possède un élément faisant directement écho à la dernière case de l'extrait de vie précédent. L'effet de style est saisissant. Les personnages n'ont aucun lien entre eux, et, par ce procédé, sont pourtant subtilement tous reliés. Simplement, ils vivent tous dans le même monde, où ils sont tous susceptibles de vivre des choses heureuses ou malheureuses, des petits bonheurs ou de grands drames, des déceptions ou d'immenses joies. La vie, tout simplement.
Après cette entrée en matière conquérante, nous sommes certains qu'Asano n'a rien perdu de son talent, et il le confirmera rapidement à travers des histoires courtes mettant en avant des personnages très différents les uns des autres. Ici, un père de famille fugue car il a le sentiment que ses idéaux familiaux n'existent plus depuis la mort de sa femme et son licenciement. Là, un jeune mangaka, lors de retrouvailles avec ses anciens camarades de classe, se rappelle une promesse faite pendant l'enfance avec la fille qu'il aimait. Là-bas, une femme retrouve une lettre qu'elle s'était écrite cinq ans auparavant. Dans sa petite cahutte de la gare du centre-ville, la pétillante et souriante Eiko rêve en secret d'une tout autre vie, faite de richesse et du beau prince charmant. Et ainsi de suite.
Ces vies, Asano excelle toujours pour les représenter, quoi que l'auteur lui-même puisse en dire dans sa postface où il avoue régulièrement ne pas être satisfait de son travail. On lui concèdera alors, pour ne pas le contredire, un graphisme un peu moins régulier sur telle ou telle histoire un peu plus ancienne, ou un goût moins prononcé pour les excellents trips dans lesquels il était capable de nous emmener dans un titre comme le Quartier de la Lumière. Mais vraiment pour ne pas le contredire.
Pour le reste, on retrouve toute la force de l'auteur pour dépeindre des personnages en plein doute, devant faire face à quelque difficulté, à un passé qui ressurgit, à un présent qu'ils ne savent comment aborder, ou à un avenir qui tarde à arriver. Un aspect un peu introspectif porté par les pensées très humaines des personnages, un peu d'humour très discret au détour d'une ou deux répliques, un peu de folie avec un personnage comme Eiko, une ambiance mêlant en même temps joie, tristesse, mélancolie, pour un résultat vivant et unique. Les personnages ne sont pas fixes, se cherchent sans cesse, recherchent la moindre parcelle de bonheur, ne serait-ce qu'à travers un baiser soudain, pour tenter d'oublier qu'ils sont perdus, ou pour échapper à la réalité. Les dialogues sont très souvent justes, Asano touche toujours là où ça fait mal et, grâce à ses personnages, émeut et donne à réfléchir sur la condition humaine. Les dessins finissent de sublimer le tout: un sourire forcé par-ci , des larmes retenues qui finissent parfois par couler par-là, des regards désabusés ou pétillants, des yeux interrogateurs envers l'avenir, des mines bourrées de regrets ou en plein doute... Le tout dans des décors souvent bien ancrés dans un quotidien réel, morose, calme ou oppressant, où viennent pointer parfois les paysages de petits bonheurs simples, comme un rayon de soleil perçant les nuages au dessus d'un canal, entre les immeubles.
Asano est un magicien des émotions et des ambiances, qu'il dépeint avec un réalisme saisissant. Aucune histoire n'est toute rose ou toute noire, et si les choses sont difficiles, un espoir, quelque part, est toujours permis, comme tendrait à le montrer cette jeune fille que l'on revoit à trois reprises dans l'oeuvre, comme un fil rouge, à différents moments de sa vie d'adolescente, au début dans "Alfalfa", au milieu dans "Retour à la maison", à la fin dans "La fin du monde". Une fille perdue, qui en vient à fuguer, mais qui, au final, retrouve du goût à la vie. Par ailleurs, il est dommage que l'éditeur n'ait pas compris qu'il s'agissait à trois reprises du même personnage, puisque la demoiselle se retrouve nommée tantôt Ôzawa, tantôt Oosawa.
L'édition restera d'ailleurs le principal frein à l'achat, tant elle revêt tout de l'arnaque. 15€ pour un titre de la collection Made In, c'est monnaie courante. Mais ici, le problème est que l'habituel grand format de cette collection est troqué contre un petit format seinen. Du jamais vu. On aurait pu passer outre, si le reste de l'édition avait suivi, mais ce n'est pas le cas. Même si nous avions eu affaire à un grand format, le papier utilisé est de qualité inacceptable pour un titre de ce prix, y compris pour la dizaine de pages en couleurs, qui, de ce fait, ont un rendu imparfait. Les moirages sont bien présents, l'encre a tendance à baver... Non, vraiment, on ne comprend pas, tant le rapport qualité/prix est honteux.
Re: Made in ASANO: Solanin, le quartier de la lumière...
L'édition de Kana a l'air foireuse.. C'est vraimment dommage quand on voit ce qu'ils peuvent faire comme avec Real. Et en plus le prix est juste abusé mais bon... On a l'habitude de se faire entuber et on a pas le choix si on veut profiter de l'oeuvre, ils l'ont bien compris.
Sinon merci pour ton avis, j'en attendais pas moins pour du Asano. Je l'ai feuilleté vite fait (la qualité des pages couleurs de Kana est à gerber en passant effectivement...Mamaia...) et les dessins sont toujours aussi beau, les émotions ont l'air toujours aussi bien représentés. Bref, achat obligatoire malgrès l'édition
Sinon merci pour ton avis, j'en attendais pas moins pour du Asano. Je l'ai feuilleté vite fait (la qualité des pages couleurs de Kana est à gerber en passant effectivement...Mamaia...) et les dessins sont toujours aussi beau, les émotions ont l'air toujours aussi bien représentés. Bref, achat obligatoire malgrès l'édition
The Art Of Inio Asano
Re: Made in ASANO: Solanin, le quartier de la lumière...
La fin du monde, avant le lever du jour
recueils d'histoire de l’auteur, ce titre porte bien son nom car c'est clairement un recueil d'essai et ça va du foireux au sympa.
le tome commence sur une histoire incompréhensible, suivi par d'autres histoires tout aussi mauvaise tant sur le scénario, les perso et le narration!
il faut attendre la fin du tome pour enfin avoir quelque chose de "sympa" a partir de "un monde formidable", mais ces histoires ne sont pas assez forte pour sauver le désastre du tome.
certains apprécieront peut être, mais c'est clairement pas ce que je recherche chez cet auteur.
recueils d'histoire de l’auteur, ce titre porte bien son nom car c'est clairement un recueil d'essai et ça va du foireux au sympa.
le tome commence sur une histoire incompréhensible, suivi par d'autres histoires tout aussi mauvaise tant sur le scénario, les perso et le narration!
il faut attendre la fin du tome pour enfin avoir quelque chose de "sympa" a partir de "un monde formidable", mais ces histoires ne sont pas assez forte pour sauver le désastre du tome.
certains apprécieront peut être, mais c'est clairement pas ce que je recherche chez cet auteur.
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- jojo81
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Re: Made in ASANO: Solanin, le quartier de la lumière...
Même si j'ai l'habitude, tes avis me surprendront toujours Shun
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Re: Made in ASANO: Solanin, le quartier de la lumière...
Du foireux? Hum, je demande à voir... Inio Asano est juste un génie. Il suffit de lire Solanin, c'en est le parfait exemple.
- Raimaru
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Re: Made in ASANO: Solanin, le quartier de la lumière...
Si La fin du monde, avant le lever du jour est un désastre, je pense que je vais changer de passion