Les Gouttes de dieu

[histoirede]

Perso j'ai aussi adoré le premier tome (mais comme c'est ma fiancée qui l'a acheté, je ne savais pas qu'il était particulièrement cher). C'est malheureux, mais de nombreux manga sont à ce prix déjà, et les Gouttes de Dieu est vraiment de très bonne facture (et je ne me vois pas le lire en japonais, donc je suis bien contente de la VF !). J'espère que le prix descendra, mais il faut savoir qu'au Japon aussi, les seinen sont plus chers que les shônen "de base"... à public différent, prix différent.

[Erkael]

J'ai du mal avec vos revendications sur le prix. Ok glénat nous a habitué à moins cher parce qu'il a une force de vente plus importante. Mais au final je vous rappelle qu'un gantz, vagabond, 20th century boys, shigurui, sidooh... c'est aussi 9euros. Et là on a une qualité bien supérieure à du panini, et un temps de lecture beaucoup plus long qu'un gantz. Je sais que nous sommes nombreux à avoir déjà pas mal de série en cours, mais l'essayer c'est l'adopter (et j'y suis allé sur la pointe des pieds). Attendez les occaz

Le fait de payer déjà d'autres titres trop cher n'est pas une raison de cautionner un prix comme celui là... on a jamais dit que 9 euros de Gantz pour 20 minutes de lecture c'était pas trop cher...

[né un11septembre]

le manga cher? pas cher?
aux vues du travail d'adaptation accompli, du cout de la licence, ...
c'est un débat que je propose d'ouvrir ailleurs comme ici: viewtopic.php?f=15&t=3626

[Blacksheep]

Les Gouttes de Dieu 2

Après un excellent premier tome, retrouverons-nous le même enthousiasme avec ce second volume?
Eh bien...OUI!

On s'extasiera une nouvelle fois sur le bouquet et la robe que nous offre la main d'Okimoto. Pas de perte de vitesse du côté du dessin, le trait est sûr, toujours élégant.
Et le scénario est toujours aussi étonnement intéressant. Tadashi Agi ne joue pas la facilité. Après avoir laissé Shizuku dans l'embarras au tome précédent, l'auteur sort son personnage de ce mauvais pas en nous montrant que le vin est aussi un moyen de transmettre une émotion. Émotions qui seront au rendez-vous de la toute première véritable confrontation de Shizuku avec Issei Tomine. Ces deux dégustateurs de génie nous font découvrir de nombreuses images derrière le goût du breuvage, et, il faut l'admettre, nous donnent envie d'y goûter. Mais comme cet alcool qui recèle milles saveurs, l'histoire d'Agi s'en va ensuite vers un horizon plus propre à l'humour.
Le message d'Agi est là : réapprendre à profiter des choses simples de la vie et de ses plaisirs, comme un simple verre de vin. Un seul, pour vraiment y puiser toute l'émotion qu'il peut provoquer.

L'édition de Glénat est encore une fois impeccable. Seules deux erreurs de police de caractère sont à signaler en début de tome. Le texte est léger et permet une lecture fluide, les notes explicatives et le lexique sont toujours là en fin de volume, toujours aussi clairs. On regrettera pourtant de ne pouvoir apprécier les sans doute sublimes pages couleurs.
Qu'à cela ne tienne, « les Gouttes » confirme ici leur potentiel de série culte!

[shinob]

Les Gouttes de Dieu 2

Après un excellent premier tome, retrouverons-nous le même enthousiasme avec ce second volume?
Eh bien...OUI!

On s'extasiera une nouvelle fois sur le bouquet et la robe que nous offre la main d'Okimoto. Pas de perte de vitesse du côté du dessin, le trait est sûr, toujours élégant.
Et le scénario est toujours aussi étonnement intéressant. Tadashi Agi ne joue pas la facilité. Après avoir laissé Shizuku dans l'embarras au tome précédent, l'auteur sort son personnage de ce mauvais pas en nous montrant que le vin est aussi un moyen de transmettre une émotion. Émotions qui seront au rendez-vous de la toute première véritable confrontation de Shizuku avec Issei Tomine. Ces deux dégustateurs de génie nous font découvrir de nombreuses images derrière le goût du breuvage, et, il faut l'admettre, nous donnent envie d'y goûter. Mais comme cet alcool qui recèle milles saveurs, l'histoire d'Agi s'en va ensuite vers un horizon plus propre à l'humour.
Le message d'Agi est là : réapprendre à profiter des choses simples de la vie et de ses plaisirs, comme un simple verre de vin. Un seul, pour vraiment y puiser toute l'émotion qu'il peut provoquer.

L'édition de Glénat est encore une fois impeccable. Seules deux erreurs de police de caractère sont à signaler en début de tome. Le texte est léger et permet une lecture fluide, les notes explicatives et le lexique sont toujours là en fin de volume, toujours aussi clairs. On regrettera pourtant de ne pouvoir apprécier les sans doute sublimes pages couleurs.
Qu'à cela ne tienne, « les Gouttes » confirme ici leur potentiel de série culte!

T'as tout lu? T'es pas mort? T'as réussi à enchaîner avec le death note juste apès? T'es pas remort?

[Blacksheep]

J'ai tout lu jusqu'au bout!! Non DN c'est pour plus tard je suis faible j'ai besoin de dormir. Mais bon là je suis sur le dernier Survivant

[histoirede]

Moi j'ai trouvé le tome 2 beaucoup plus mou que le tome 1 avec des histoires annexes qu'on tâchait de faire rentrer dans la continuité de la trame principale...
M'enfin, c'est quand même très très bien ^o^

[Crack]

Les Gouttes de Dieu 1 : Waouh. Je n'y connais rien en vin, mais je m'y connais assez en manga pour pouvoir dire qu'on a là un très grand cru.
Comme me l'avait dit mon libraire y a pas longtemps pour essayer de me décrire l'impression que ça lui a faite, ça m'a vraiment fait penser à Hikaru no Go : un thème pas banal, dans lequel le lecteur (en tout cas moi) est totalement novice, et pourtant on ressort complètement charmé de la lecture, en ayant vraiment envie de s'intéresser plus au thème dont il est question.
Le graphisme est également superbe. Les personnages sont dessiné avec réalisme tout en gardant un aspect très "manga" (c'est clair ou pas ?), et le travail des assistants sur les décors et sur les trames est parfait.
Scénaristiquement parlant, ben c'est du tout bon pour l'instant. Ce tome remplit parfaitement sa fonction introductrice. Et en plus de ça, l'humour répond également à l'appel !
Le seul petit bémol : les réactions des personnages après avoir bu une gorgée sont parfois un peu trop démesurées (genre ils se retrouvent au milieu d'un champs de fleur ou dans un tableau de Millet) ... On se croirait presque dans Yakitate!!Ja-pan

Note : 18,5/20

[Koiwai]

Tome 2:

J'ai trouvé ce deuxième volume légèrement moins prenant, la faute à quelques baisses de rythme... ce qui ne l'empêche pas d'être tout bonnement excellent. L'histoire suit son cours, et l'apparition d'un nouveau personnage offre quelques notes d'humour à la deuxième moitié du tome, et permet d'aborder les vins italiens. Le récit est très bien mené, on ne s'ennuie jamais, et les dessins mettent parfaitement en valeur le précieux nectar. Beau, passionnant et instructif, que demander de plus Et Miyabi, ce qu'elle est chou
L'édition de Glénat est toujours aussi impeccable. Traduction et impression parfaites, dossier en fin de tome très intéressant. Du tout bon

16/20

[Rogue Aerith]

Les auteurs n'en sont pas à leur coup d'essai. Sous le pseudonyme de Tadashi Agi se cachent en effet Yuko et Shin Kibayashi, frère et soeur à la ville, qui ont déjà signé quelques séries fantastico-policières à succès, comme Get backers et Psychometrer Eiji. Un tandem de jeunes quinquas, très « bohèmes chics » nippons, initiés dès l'enfance à la gastronomie française par leur grand-père. Des « mordus » qui ont fait de nombreux voyages consacrés à la dégustation, notamment en Bourgogne.

Rapprochement avec les informations suivantes : http://en.wikipedia.org/wiki/Tadashi_Agi

Tadashi Agi est apparemment Yuma Ando (scénariste de Psychometrer Eiji) et Yuya Aoki (scénariste de Get Backers) ... Qui l'eût-cru étant donné la médiocrité du scénario de Get Backers et l'aspect très commun de celui d'Eiji...
Avec la critique dithyrambique de Télérama et vos très bons commentaires, et en tant que jeune Girondin averti (et donc plus exigeant), il va bien falloir que je me penche sur ces Gouttes... même si a priori, quelques éléments de vos commentaires me font un peu peur.

Pour ceux qui veulent lire l'article de Télérama, c'est par ici: http://www.telerama.fr/livre/un-manga-d ... ,30503.php