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Collection Eros de Soleil: oeuvres courtes

Posté : 26 nov. 2009, 00:09
par Koiwai
Collection Eros de Soleil: oeuvres courtes
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Bikini Mermaid
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La fiche sur Manga-news

En quelques one-shot, Miho Hirose est devenue une figure assez importante du catalogue de la collection Eros de Soleil, malgré des titres on ne peut plus fades. C'est avec Bikini Mermaid que l'aventure de l'auteure dans nos contrées débuta.

Ce one-shot nous propose de découvrir onze histoires courtes mettant en scène quasiment tous les plus gros clichés des fantasmes masculins. Sexe à la piscine ou au onsen, avec des race queens, une infirmière, la charmante voisine de la pension, une pâtissière, une serveuse... Quasiment toutes y passent, et de ce fait, on ne pourra pas reprocher au titre de manquer de diversité, celui-ci allant même sur quelques voies plus originales, à l'image d'une histoire mettant en scène une délicieuse (et très naïve) amatrice de sciences occultes et de spiritisme.

Malgré tout, comme les autres oeuvres de l'auteure, Bikini Mermaid montre vite ses limites, la faute à un coup de crayon beaucoup trop limité: design des personnages basique, expressivité quasiment inexistante, poitrines gonflées à l'hélium et mal dessinées, mise en scène ne dégageant aucun charme... Rien ne convainc vraiment, si bien que l'on en vient vite à oublier les quelques qualités du titre, comme cette diversité, mais aussi l'aspect amusant que peuvent avoir certaines situations.

S'il se révèle un brin meilleur que Bleu Azur grâce à ses trop rares qualités, Bikini Mermaid reste un one-shot érotique globalement raté, qui ne laissera aucun souvenir mémorable. Mieux vaut se rabattre sur d'autres séries du catalogue de l'éditeur nettement plus réussies, à l'image du récent Secret'R.


Bleu Azur:
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Déjà aperçue en France pour Bikini Mermaid, la mangaka Miho Hirose est revenue en août 2009 dans la collection Eros des éditions Soleil, avec un nouveau recueil d'histoires érotiques que l'on préfèrera oublier très vite.

Un jeune homme parti en voyage scolaire avec ses camarades de classe dont fait partie la fille dont il est amoureux, un détective enquêtant avec son assistante, un garçon persuadé d'avoir affaire à un vampire en la femme avec laquelle il commence à coucher, un autre fantasmant sur sa camarade en domestique... Autant d'histoires qui, si elles montrent à première vue un contenu varié, se résument finalement très vite à la même chose: des scènes de sexe répétitives, sans imagination, et bâclées aussi bien en terme de pages, la plupart étant expéditives, qu'en terme de dessins, puisque rien, dans le coup de crayon de l'auteure, ne sera susceptible de séduire le lecteur: design des personnages banal, basique, inexpressif et fade, femmes manquant totalement de charme, mise en scène ratée... Et si les amateurs de gros seins auraient pu au moins se contenter des poitrines proéminentes de ces demoiselles, il n'en est finalement rien tant celles-ci sont mal dessinées ressemblant plus à des ballons de baudruche qu'à autre chose.
De plus, la narration ne rattrape rien, bien au contraire, puisque les passages érotiques sont on ne peut plus mal amenés, apparaissent un peu comme un cheveu sur la soupe sans faire monter la tension préalablement, et on reste plus circonspect qu'autre chose face à des femmes qui réagissent de manière invraisemblable (ce qui est souvent le cas dans les titres érotiques, mais là, c'est trop) et se font parfois quasiment violer sans avoir de véritable réaction.

Côté édition, ce n'est pas la joie non plus. Traduction poussive n'évitant pas les clichés, qualité d'impression mauvaise... Il n'y a tout simplement rien à sauver dans ce one-shot érotique insipide, qui vient se classer au panthéon des plus mauvais titres de la collection Eros.


Bon appétit Sakura
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Chronique de Shinob:

Bon appétit Sakura marque le lancement du nouveau label de l'éditeur Soleil: Eros. Sans cesse repoussé depuis des mois pour d'obscures raisons, ce titre est désormais disponible sous nos latitudes, pour le plus grand plaisir des (a)mateurs du genre...
Le récit nous fait découvrir la petite vie d'une sympathique famille nippone. Le patriarche est un boulanger et est entouré de trois somptueuses filles. L'aînée et héroïne de l'histoire se prénomme Sakura. Liée par une promesse faite à sa mère aujourd'hui décédée, notre working girl fait tout son possible pour se trouver un fiancé qui prendra la succession de la boulangerie. Mais trouvera-t-elle chaussure à son pied?
Malgré un pitch sympathique, il faut prendre Bon appétit Sakura pour ce qu'il est, à savoir un récit hentaï clairement destiné à la gent masculine. De nombreuses scènes érotiques se succèdent, comme le suggère le logo "Pour public averti". Le titre n'est donc pas à mettre entre toutes les mains...

Les personnages se voient dotés d'une personnalité plus développée que la moyenne pour ce genre de récit. La quête de notre héroïne se révèle louable et elle en serait presque attachante... J'ai bien écrit "presque", car lors des scènes de sexe, les propos que tient Sakura ne collent tellement pas à son caractère qu'il est difficile de la trouver charmante... Et oui, il ne faut pas oublier que nous avons affaire avant toute chose à une histoire de fesses... Il ne faut pas trop en demander! On notera néanmoins une certaine évolution des protagonistes tout au long du one shot. Lors du dernier chapitre et après une ellipse narrative, nous les découvrirons quelques années plus tard pour savoir ce qui leur est arrivé.

Le style graphique de Pon Takahanada est plutôt agréable. Notre auteur a du talent pour croquer ses plantureuses héroïnes, qu'il dote toujours de courbes avantageuses... Les scènes érotiques sont dépeintes de manière crédibles et restent relativement soft: des icônes masquent les parties intimes, et les ébats amoureux demeurent dans le "politiquement correct".
Le travail de Soleil se révèle correct concernant l'impression et la qualité du papier, mais l'ouvrage souffre de nombreuses coquilles: erreurs orthographiques, dialogues téléphonés, mélange des termes (par exemple au lieu d'avoir le mot "étonnée", nous lisons le terme "étonnante")... C'est quand même fort pour ce genre de titre!


Chantage à la fac
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Tome 1:

Marika est assistante à la fac et, tout en préparant un article, donne donc quelques cours aux étudiants. Mais un jour l'un de ses étudiants la surprend dans une position compromettante et se met à la faire chanter. Petit à petit, Mariko devient le jouet du jeune homme et sombre de plus en plus dans le vice.

Avec Chantage à la fac, l'auteur Uzuki Nakamura aborde l'un des grands fantasmes de nos sociétés: le sexe à l'université. Et dans ce premier volume, c'est une jeune enseignante qui se retrouve dans toutes les situations imaginables, pour le plus grand bonheur du lecteur avide de lectures perverses. Du plus simple coït à la relation flirtant avec le sado-masochisme, tout y passe, et le tout baigne constamment dans une ambiance un brin malsaine dans laquelle on sent bien l'impuissance de Mariko face au chantage de son étudiant, mais également le plaisir de plus en plus grand qu'elle prend dans cette relation.
Au coeur de tout ceci, on peut tout de même distinguer la bribe d'un scénario pas bien folichon mais suffisant pour un titre du genre, puisqu'il semblerait que Mariko se réfugie peu à peu dans cette situation perverse pour oublier sa relation arrangée avec un de ses collègues qui a tendance à la délaisser. Ajoutons à cela une jeune étudiante amoureuse du maître-chanteur qui va elle-même se retrouver dans quelques situations propices au vice, ainsi que le responsable de l'article de Mariko, un vieil enseignant tout aussi pervers que les autres protagonistes, et l'on obtient une histoire qui ne vole pas bien haut, où les relations s'entrecroisent, mais on n'en demande pas plus à un titre de ce genre. Enfin, on notera la petite révélation finale, qui, si elle a du mal à coïncider avec tout ce qui s'est passé avant, se révèle plaisante et amusante puisque celui qui pensait duper les autres s'avère être, au final, celui qui est dupé.

Du côté des dessins, ne vous attendez pas à des prouesses. L'ensemble reste assez basique et comporte de nombreuses grosses erreurs de proportions, comme beaucoup des titres du genre parus en France. Toutefois, l'auteur parvient à instaurer une certaine ambiance, l'ensemble dégage un certain charme malsain et s'avère agréable malgré une censure qui pourra en irriter plus d'un.

Au final, ce premier volume de Chantage à la fac se situe dans la moyenne haute du genre parmi ce que l'on a pu voir sortir dans nos contrées. Ce premier tome se suffisant à lui-même, on est curieux de voir ce que l'auteur nous réserve pour le second et dernier opus.


Tome 2:

Après une jeune professeur dans le premier volume, ce sont quatre étudiantes qui sont à l'affiche de ce deuxième et dernier tome de Chantage à la fac. Quatre jeunes filles représentant chacune un stéréotype, entre Asami, la sportive au look de garçon manqué qui rêve de connaître enfin sa première fois, Nanami, la lolita de service adepte de la sodomie, Yuzu, la brune à lunettes (ressemblant comme deux gouttes d'eau à la Mariko du tome 1) au look de tête de classe, et Himeno, la beauté fatale dont est amoureux notre héros, Nakazato.
Bien entendu, tout ce petit monde sera, pendant plus de 200 pages, au coeur de toutes sortes de passages érotiques. Et à ce sujet, le titre commence fort et de manière originale, puisque pour une fois, ce n'est pas l'une des demoiselles qui est violée, mais le héros ! En effet, Nakazato se retrouve pris à parti dans une chambre d'hôtel par les quatre demoiselles qui ont décidé d'organiser la fameuse première fois d'Asami.
Cet évènement sera donc le point de départ de tout, et tour à tour, les quatre étudiantes vont régulièrement se retrouver, parfois à plusieurs, à faire l'amour avec Nakazato, et tout en dévoilant leur anatomie au jeune homme, vont également dévoiler certains de leurs tourments. Si l'on connaît déjà celui d'Asami qui souhaitait juste vivre sa première fois, les préoccupations des trois autres demoiselles s'avère un peu plus consistant. Ainsi, tandis que Nanami laisse parler son amour pour Asami, on découvre en Yuzu, en plus de son corps, une facette dramatique de son passé, qui semble avoir un lien avec Himeno, dont elle cherche apparemment à se venger. Et quoi de mieux, pour se venger, que de l'offrir sur un plateau en guise de cadeau à Nakazato, prête à être déballée ?
On ne cachera pas que tout ceci reste survolé, mais on n'en demande pas plus pour un titre de ce genre, et cela suffit d'ailleurs amplement à offrir plus de consistance et d'intérêt aux protagonistes que dans pas mal d'autres manga érotiques.
Tout en conservant un peu de l'ambiance malsaine du volume 1 par moments, l'ensemble s'enchaîne bien et est agréable à suivre, et ce jusqu'à une conclusion ouverte assez amusante.
Visuellement, le titre conserve les qualités et défauts du premier opus. Et bien évidemment, la censure est toujours là.


Ma Tutrice
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A l'origine, Ma Tutrice est une série érotique de 6 chapitres sortis en tant que dôjinshi par les éditions Saigado entre 2000 et 2003, avant que le tout ne sorte en volume relié en étant agrémenté de deux chapitres supplémentaires.

Kôichi Gendai est l'héritier d'une grande famille. Etant le type même du fils à papa, il voit sa vie basculer lorsque ses parents disparaissent, en lui laissant une dette d'un milliard de yen. Etant à présent obligé de vivre pauvrement, harcelé par ses créanciers, dont le redoutable Gôichirô Udagawa, il entame toutefois une relation avec Mutsuki Sakura, une jeune fille qui était autrefois sa cadette, qu'il retrouve par hasard dans le même travail que lui dans un fast food, et qui a toujours été amoureuse de lui, tandis qu'une jeune femme du nom de Mirai Hoshino débarque chez lui et devient sa tutrice, comme le stipule le testament laissé par son père.

La base de tout manga érotique est évidemment le sexe, et dans Ma Tutrice, il faut avouer qu'il est bien représenté, Kôichi étant partagé entre une petite amie folle de lui et très entreprenante, et une tutrice sur laquelle il passe son temps à fantasmer. L'ensemble est dessiné de main de maître par le groupe Saigado. Malgré une censure bien présente sur les parties intimes, le trait est précis et expressif, les physiques féminins dotés de belles formes sans être exagérés, et la mise en scène assez convaincante, choses finalement assez rares dans les titres érotiques auxquels nous avons habituellement droit en France. Malgré tout, il n'est pas rare de tomber sur quelques problèmes de proportion.

Ma Tutrice se montre donc convaincant sur le plan érotique, mais ne néglige pas pour autant son histoire. En effet, nous avons droit ici à un scénario qui, s'il reste assez basique, a le mérite d'exister. L'ensemble reste cohérent, les rebondissements sont de la partie, et les mystères sont là, notamment en ce qui concerne le véritable objectif de Hoshino, tout comme l'humour, présent par bribes avec les réactions parfois amusantes des protagonistes, notamment de Udagawa, très insistant pour récupérer son argent auprès du pauvre Kôichi.

Au final, l'ensemble prend plutôt bien, et Ma Tutrice, sans faire dans l'excellence, se pose comme l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur récit érotique court de la collection Eros de Soleil.

D'ailleurs, l'éditeur semble l'avoir compris en nous proposant une édition de bonne facture pour un titre de ce genre, si l'on excepte toutefois un lettrage pas toujours au point.

Mille et une façons de vivre avec elle
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Tome 1:

Aroge est un étudiant un peu (beaucoup) obsédé sur les bords, qui passe son temps à faire aller son imagination sur des sujets sexuels et rêve d'avoir une belle domestique. Ca tombe bien, puisqu'un beau jour, il voit débarquer dans sa vie une nouvelle gouvernante sexy à souhait, et qui a tendance à avoir de fougueuses envies de sexe quand elle boit de l'alcool... Une relation charnelle s'installe entre les deux individus, mais petit à petit, Aroge semble réellement tomber amoureux de sa gouvernante.

Couverture aguicheuse et histoire qui semble tenir à peu près la route pour un hentai... Et pourtant, Mille et une façons de vivre avec elle peine finalement à convaincre. La faute à quoi ?
D'une part, à une histoire sous-exploitée qui vire rapidement dans le plus grand classicisme du hentai: ça boit, ça couche, ça boit, ça couche, et ainsi de suite. Ajoutons à cela le classique deuxième personnage féminin, ici la voisine et amie d'enfance de Aroge, qui se découvre petit à petit des désirs en observant les ébats de notre héros avec sa gouvernante. On a certes affaire à un hentai, donc la plupart du temps, on n'en demande pas beaucoup à l'histoire. Mais on ne peut s'empêcher d'être ici un peu déçu, car finalement, rien ne parvient à démarquer ce titre des autres oeuvres du genre.
D'autre part, les dessins de Pon Takahanada, qui parvenaient à être plutôt agréables sur son précédent titre Bon appétit Sakura, sont ici un peu plus creux et figés. Les héroïnes ont des corps de rêve, mais le trait est assez inégal, les visages sont fades et le découpage peine régulièrement à rendre l'ensemble crédible.

Au final, ce premier volume de Mille et une façons de vivre avec elle n'est pas désagréable à lire, mais ne se démarque en rien et peine à nous dépeindre quelques chose de réellement savoureux.

L'édition de Soleil est dans la moyenne de ce que nous propose habituellement l'éditeur pour les titres de sa collection Eros.


Tome 2:

A force d'observer les ébats de Yuri et Tsuguru, Sae n'en peut plus et demande à son ami d'enfance de lui faire l'amour. Mais malgré l'accord des deux demoiselles pour cette relation à trois, Tsuguru n'arrive pas à passer à l'acte, et finalement, cette relation annoncée à la fin du premier tome disparaît aussi vite qu'elle est apparue.
Si l'on excepte le bref et bien évidemment coquin retour d'une ancienne petite amie de notre héros, ce deuxième et dernier volume s'axe surtout sur la relation entre notre héros et Yuri. C'est à présent une certitude: les deux jeunes gens s'aiment, et Pon Takahanada n'est plus obligé de prendre pour seul prétexte l'alcool pour offrir à ses lecteurs des scènes de sexe entre nos deux héros. Ainsi, au fil des pages, les situations coquines s'enchaînent, jusqu'à ce que l'auteur se décide à apporter une conclusion, plutôt originale pour un titre érotique, au jeune couple.

On appréciera donc la volonté qu'a l'auteur d'esquisser vaguement une histoire potable et plus centrée sur la romance que dans d'autres oeuvres de la même catégorie... Mais malheureusement, le tout ne convainc guère, la faute à une narration peu subtile (n'en demandons pas trop à un titre érotique) et à des dialogues tout sauf fins et mal agencés venant réduire à néant la moindre tentative d'instauration de passages plus touchants.

Au final, ce qui s'annonçait comme une série dotée d'un scénario un peu plus consistant que les autres titres du genre peine à convaincre. Quant aux scènes de sexe, principal intérêt d'un titre érotique, elles manquent cruellement d'intensité et de chaleur, la faute à un coup de crayon qui reste trop inégal, creux et froid, et à une mise en scène et un découpage d'une grande platitude.

Re: Mille et une façons de vivre avec elle

Posté : 26 nov. 2009, 09:59
par shinob
Tu as osé! :mrgreen:

Re: Mille et une façons de vivre avec elle

Posté : 26 nov. 2009, 18:20
par Koiwai
Héhé :mrgreen:

Re: Mille et une façons de vivre avec elle

Posté : 26 nov. 2009, 19:20
par samizo kouhei
*FAP FAP FAP* ... ou pas ! :mrgreen:

Re: Collection Eros de Soleil: oeuvres courtes

Posté : 31 janv. 2010, 16:48
par Koiwai
Topic à présent dédié aux oeuvres courtes de la collection Eros de Soleil.

N'ayez pas honte, venez participer :mrgreen: :arrow:

Re: Collection Eros de Soleil: oeuvres courtes

Posté : 31 mai 2010, 21:38
par Koiwai
Chronique du tome 2 de 1001 façons de vivre avec elle ajoutée :arrow:

Re: Collection Eros de Soleil: oeuvres courtes

Posté : 31 mai 2010, 22:15
par feryoni
comment ai-je pu passer à côté de ce topique :twisted:

Re: Collection Eros de Soleil: oeuvres courtes

Posté : 23 févr. 2011, 18:11
par Koiwai
Chronique de Bleu Azur ajoutée. A mon avis, c'est à ce jour le plus mauvais titre de la collection Eros... mais j'ai encore Bikini Mermaid sous le coude :twisted:

Re: Collection Eros de Soleil: oeuvres courtes

Posté : 24 févr. 2011, 14:00
par hdix
OUUh merci pour ces magnifiques chronique Koiwai.
j'avais jamais vu le topic avant.
Je ne suis pas spécialement attiré par les histoires érotiques courtes, mais pourquoi pas, en tout cas "ma tutrice" semble sortir du lot pour toi.

Re: Collection Eros de Soleil: oeuvres courtes

Posté : 24 févr. 2011, 16:01
par Koiwai
hdix a écrit :OUUh merci pour ces magnifiques chronique Koiwai.
Pas de quoi :mrgreen:

Yep, Ma tutrice était vraiment pas mal, au moins graphiquement, et je garde aussi un bon souvenir de Chantage à la fac :) Mais depuis, Secret'R est passé par là :oops: