Sprite

[shun]

tome 3 :

je ne sais toujours pas quoi penser de la série, après un premier bon tome, la série stagne et peu de chose sont dites, je reste curieux de voir ou tout ça va mener.

[hdix]

Je viens de lire les 3 premiers tomes,

et sincèrement j'ai beaucoup aimé.
Un premier tome qui met bien dans l'ambiance.
des graphismes très agréables.
une narration claire, on comprend ce que l'on lit, c'est pas nian nian, c'est pas poussif.

ensuite 2 tomes moins chargés en évènements, mais tout aussi intéressant dans le développement des personnages.

non vraiment j'ai été tenu en halène sur les 3 tomes, et j'en ressort avec l'envie de lire la suite avec une pointe d'impatience, ce qui est très bon signe.

donc bonne découverte pour moi.
j’espère que la suite restera sur cette lignée et ne s'embourbera pas.

[Koiwai]

Tome 4:

Hé bien, après avoir vu mon intérêt pour la série descendre en flèche, ce quatrième tome a ravivé vaguement mon plaisir de lecture, alors que ce volume est pourtant le moins riche au niveau de l'histoire.

En dehors de la possibilité qu'a Sû de communiquer avec son ami de 2008 via son téléphone, il n'y a pas grand chose à retenir, la possible trahison des autres espèces de vieux-gosses
-dont-j'ai-oublié-les-noms-tant-ils-sont-mal-mis-en-avant étant mise en retrait avec l'arrivée de grosse bêbêtes que nos héros vont défoncer pendant le tiers du tome. Mais au moins, il y a du rythme, Ishikawa montrant qu'il est capable d'offrir quelque chose d'assez intense : ici, j'ai trouvé son trait froid assez suffocant et adapté à la situation, ce qui compense l'aspect assez confus de son découpage dès que les choses s'accélèrent.
Restent malheureusement des réactions parfois peu crédibles et sorties de nulle part chez les personnages (il nous fait quoi, le yak', là ?), le manque de charisme et d'intérêt de quasiment tous les protagonistes (seul le yak' s'en sort assez bien, et Sû aussi), des passages de pur WTF (l'un des deux gros jumeaux qui lâche une caisse comme ça, sans raison... c'est une tentative d'humour ? Un moyen facile et de mauvais goût de montrer que les deux gus sont dégueu ? Dans tous les cas c'est une scène sacrément pathétique... Et quid de la crédibilité de la scène où une grenade explose devant le yak', mais lui n'a rien du tout ?).

Bref, j'ai pris un peu plus de plaisir à la lecture de ce tome, mais je ne suis toujours pas convaincu, la faute à un nombre trop important d'éléments venant gâcher une partie l'ensemble.

A part ça, on sent quand même parfois qu'Ishikawa a été l'assistant d'Urasawa : c'est fou ce que le yak' peut ressembler à Otcho de 20th CB à certains moments.

[shun]

tome 3 :

je ne sais toujours pas quoi penser de la série, après un premier bon tome, la série stagne et peu de chose sont dites, je reste curieux de voir ou tout ça va mener.

le 4 èm tome m'es complètement passer a côté et j'arrête les frais là.

[jojo81]

A part ça, on sent quand même parfois qu'Ishikawa a été l'assistant d'Urasawa : c'est fou ce que le yak' peut ressembler à Otcho de 20th CB à certains moments.

Si t'enlèves le charisme d'Otcho, c'est le même

Tome 4:

Un nouveau tsunami d'eau noire se déverse sur nos héros. Pas le temps de réfléchir, ils courent vite se mettre à l’abri au sommet de l'immeuble qu'ils ont aménagé sous peine de se faire aspirer par le temps et de se retrouver momifiés. C'est une fois sauve, que Su se rend compte qu'elle a reçu sur son téléphone portable des mails de Tetsu, son ami d'enfance resté dans le présent. Ainsi, la jeune fille prend conscience qu'elle s'est réellement retrouvée en 2008 l'espace d'un instant. Ce passage est aussi l'occasion de découvrir Tetsu. Un jeune homme refusant de sortir de sa chambre sous peine d'être pris de crises de panique. Le charisme qui entourait Tetsu s'envole malheureusement en même que le mystère qui planait autour de lui. Yugo Ishikawa lui donne un caractère typé de japonais reclus, un peu comme on a pu le voir avec l'oncle de Su. Outre cela, Tetsu a beaucoup de considération pour Su, qu'il aperçoit comme un ange. Du coup, il essaiera de surmonter ses peurs pour tenter de la trouver.

Mais pas le temps de souffler et de réfléchir posément pour Su et ses amis. En effet, ce quatrième volume de Sprite est sous le signe de l'action. Les habitants du futur se sont décidés à ne plus faire confiance aux voyageurs du temps et à les exterminer, rien que ça. Il ne faut pas trop chercher de raison à cela, on peut y voir la volonté de l'auteur de rajouter quelques scènes d'action et un peu de piquant à son récit. A ce stade de l'histoire, mieux vaut ne plus trop réfléchir et accepter les choses comme elles viennent pour mieux apprécier le récit. Bien heureusement pour les héros, l'attaque des habitants du futur ne se passe pas vraiment comme ils l'avaient espéré. Et pour cause, les légions (espèce d'insectes monstrueux) se mêlent à la partie. Du coup, entre les enfants à tête de vieux et les insectes géants, on a un peu l'impression d'assister à la rencontre d'Akira avec Starship Troopers.

L'auteur continue à faire des références à la culture populaire japonaise. Ainsi, une fois n'est pas coutume, il met en avant Kappa no Kaikata, son œuvre emblématique. Il le fait à travers le téléphone portable de Tetsu. Il place aussi une référence au manga Cat's Eye de Tsukasa Hojo et à des groupes de musique pop des années 70. Ce tome étant marqué par le côté action, les références sont en plus petit nombre qu'à l’accoutumée.

En définitive, on assiste à un tome pauvre en révélations mais qui compense par de nombreuses séquences d'action. Ce quatrième volet de Sprite est très plaisant à lire, mais il n'est pas sans défaut. Entre les faux sacrifices tellement nombreux qu'on n'y croit pas une seconde et l'humour qui tombe souvent à plat, on a bien du mal à se prendre dans le récit. Heureusement que la narration est dynamique. On en attend plus pour la suite.

[Luciole21]

Tome 4 :
Un volume 4 décevant à mes yeux. Au début du volume on a un passage relativement intéressant mais encore trop peu compréhensible pour être agréable à lire puis pendant quasiment tout le reste on a le schéma suivant : Ils se font attaquer par un truc (eau noire, insectes géants), y'en a un qui fait genre "je vais me sacrifier", les autres le sauve et il recommence...4 fois. Vraiment l'auteur nous fait 4 fois le même coup du sacrifice foireux et à la longue ça devient lourd. Ça s'améliore avec la fin mais j’attends beaucoup plus de la suite.

[Luciole21]

Sprite 06 :


O_O

Ce smiley résume ce que devient la série à lui tout seul. Je ne comprend plus rien, elle ne présente plus aucun intérêt, ce n'est plus qu'un foutoir innommable et incohérent.
Rien d'autre à dire, j'espère vraiment un redressement de la série, mais j'y crois de moins en moins.

[Hitsuji]

C'est à ce point ? Bigre, entre ça et le com' de titali sur le site, j'hésite carrément à me prendre la suite...

[Wang Tianjun]

Personnellement c'est le contraire : j'ai lu ce tome 6 à reculons car je n'avais strictement rien compris aux deux précédents (et je m'étais endormi dessus tellement la lecture était fatiguante).

Mais j'ai trouvé ce tome 6 très compréhensible, voire trop : pour une fois, on arrive à prédire un peu les choses, mais tout est tellement tiré en longueur que ça met trois plombes à arriver (du moins, jusqu'à la fin du volume). Trop de développement inutiles sur des personnages secondaires.

J'hésite aussi à l'arrêter quand même

[Koiwai]

J'ai acheté le tome, je l'ai rangé car n'avais aucune envie de connaître la suite ^^" je l'ai ressorti il y a 3-4 jours, j'en ai lu la moitié, je me suis fait chier, je l'ai re-rangé, je l'ai ressorti le lendemain en me disant "allez, un effort", je l'ai fini, je me suis toujours fait chier.

Concrètement il est effectivement plus compréhensible, mais ça reste soporifique au possible, l'auteur étirant les choses à tel point qu'il ne se passe finalement rien de marquant, et offrant à ses personnages des évolutions banales et chiantes à en crever (les deux jumeaux, pfiouuuu...).

Après six tomes, je n'ai toujours pas trouvé le moindre intérêt à cette série. Je la continue un peu par dépit, parce que le rythme de parution japonais est quasiment rattrapé.