C'est déjà un peu le cas pour Kekkaishi, ainsi que pour Zatch Bell... Mais, le cas est différent, Pika chamboule tout en plein milieu de la série, quand j'aurais bien trop de mal à décrocher. Maintenant, tout ce que je peux faire, c'est faire part de mon mécontentement et espérer une amélioration. En relativisant tout de même, sachant que le résultat n'est pas si catastrophique dans le fond. Et pour Zatch Bell, grandement prendre ma patience à deux mains, et avoir (peut-être) la fin de la série pour fin de l'année prochaine... En priant pour que Kana n'interrompe pas la série, évidemment.Erkael a écrit :Si demain Pika fournit du boulot lamentable sur Kekkaishi et Kana fait de même sur Zatchbell, tu vas arrêter purement et simplement ces séries?
Et il y a une différence entre le fait de fournir un travail déplorable en cours de parution et dès la parution. En début de parution, même si c'était un titre qui avait de fortes chances de me plaire, je ne l'aurais très probablement pas commencé. Kekkaishi aurait été chez Panini, je ne m'y serais sans doute même pas intéressé.
En plein milieu de la série, ben c'est trop tard, j'ai accroché, j'ai beaucoup investi dans la série (plus de vingt tomes), il m'est quasiment impossible de l'arrêter. Heureusement, ce genre de cas reste relativement rare.
La série serait mal éditée dès le début, je suis certain que je ne la commencerai pas, pour ne pas encourager ce genre de pratique de nivellement par le bas qui se vend quand même.
J'ai peut-être aussi la chance de ne pas être un vrai "fan", dans le sens où je ne ressens pas le besoin d'acheter toutes les oeuvres d'un auteur que j'aimerais bien. Je fais vraiment au cas par cas, chaque oeuvre indépendamment. J'ai beau adorer R. Takahashi, il y a peu de chances que je reprenne Inu Yasha (traduction vraiment bancale et série répétitive et longue), alors que j'ai tous ses autres titres parus dans nos contrées (même Mermaid forest, qui n'est plus édité).
Mais je n'aime pas l'idée qu'on nous propose parfois une édition pourrie, et que parce qu'on pense ne pas pouvoir faire autrement, on râle et on passe tout de même à la caisse. Surtout que comme je l'ai dit, il y largement le choix sur le côté. Ainsi que la possibilité d'acheter à l'étranger, ou simplement, le choix de ne rien acheter.