Posté : 15 oct. 2007, 19:15
Samedi soir, je me suis donc déplacé pour la première fois au tout jeune Festival du Poulpaphone pour voir un groupe que j'avais hâte de voir en live, Sleepytime Gorilla Museum.
Arrivé une heure avant leur passage, j'ai "subi" le free jazz assez inaudible d'un groupe dunkerquois. Déjà, quelques membres du groupe se mêlent aux spectateurs. 21h15, fini de rire, le groupe installe ses nombreux instruments customisés. 21h30, le concert commence par des chuchotements de plus en plus puissants, avant une première déflagration sonore. Par la suite, le groupe enchaîne les morceaux durant 1h20 trop courte, faisant la part belle au dernier album en date (du "tube" Helpless Corpse Enactment au faussement tranquille Formicary). Le groupe finit finalement sur Sleep is Wrong, ou après un court "sommeil", le groupe achève à la limite de la rupture sonore. Le groupe est très charismatique, mais facétieux. Mention spéciale au guitariste-chanteur et au percussionniste qui passe la moitié du concert les yeux bandés. Le groupe a reçu une ovation méritée, en dépit du court temps alloué et des limites techniques (relativement peu d'instruments utilisés).
Mais le meilleur est à venir, puisque la charmante Carla Kihlstedt, violoniste / chanteuse du groupe, est présente sur le stand de merchandising, bien plus calme que sur scène, se fendant de quelques mots de français, et m'a dédicacé mon album ! Superbe soirée !
Arrivé une heure avant leur passage, j'ai "subi" le free jazz assez inaudible d'un groupe dunkerquois. Déjà, quelques membres du groupe se mêlent aux spectateurs. 21h15, fini de rire, le groupe installe ses nombreux instruments customisés. 21h30, le concert commence par des chuchotements de plus en plus puissants, avant une première déflagration sonore. Par la suite, le groupe enchaîne les morceaux durant 1h20 trop courte, faisant la part belle au dernier album en date (du "tube" Helpless Corpse Enactment au faussement tranquille Formicary). Le groupe finit finalement sur Sleep is Wrong, ou après un court "sommeil", le groupe achève à la limite de la rupture sonore. Le groupe est très charismatique, mais facétieux. Mention spéciale au guitariste-chanteur et au percussionniste qui passe la moitié du concert les yeux bandés. Le groupe a reçu une ovation méritée, en dépit du court temps alloué et des limites techniques (relativement peu d'instruments utilisés).
Mais le meilleur est à venir, puisque la charmante Carla Kihlstedt, violoniste / chanteuse du groupe, est présente sur le stand de merchandising, bien plus calme que sur scène, se fendant de quelques mots de français, et m'a dédicacé mon album ! Superbe soirée !