Si on parlait ciné?

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Glass Heart
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Re: Si on parlait ciné?

Message non lu par Glass Heart » 05 nov. 2013, 16:30

Nouvelle bande-annonce du deuxième film du Hobbit.

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D'ailleurs, je n'ai jamais vraiment demandé: est-ce qu'il y a d'autres personnes ici qui ont vu le premier film ? Et si oui, qu'en aviez-vous pensé ?

Il y a eu beaucoup de déçus, mais pour ma part j'avais vraiment bien aimé, même si ça n'était pas à la hauteur du Seigneur des Anneaux.

Glass Heart
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Re: Si on parlait ciné?

Message non lu par Glass Heart » 06 nov. 2013, 18:43

Les Aventuriers de l'Arche Perdue (Raiders of the Lost Ark)

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Studio: Lucasfilm.
Réalisateur: Steven Spielberg.
Année: 1981.
Durée: 1h55.


Casting: Harrison Ford (Henry "Indiana" Jones), Karen Allen (Marion Ravenwood), Paul Freeman (René Belloq), Ronald Lacey (Major Arnold Toht),
John Rhys-Davies (Sallah), Denholm Elliott (Marcus Brody), Wolf Kahler (Colonel Dietrich), Alfred Molina (Satipo) et Vic Tablian (Barranca et l'homme au singe).


L'Histoire

Henry Jones, surnommé "Indiana", est un archéologue qui parcoure le monde en quête des trésors perdus de l'Histoire. Professeur en archéologie, il consacre son temps libre à enseigner à l'université auprès de jeunes étudiantes tombant rapidement sous son charme.

1936. Le monde est sur le point de basculer dans une nouvelle guerre. Adolf Hitler étant passionné par l'occulte, les nazis mènent une expédition en Egypte à la recherche de l'Arche d'Alliance, trésor inestimable qui renfermerait les commandements de Moïse. Les services secrets américains contactent le professeur Jones au sujet de son ancien mentor, le professeur Abner Ravenwood, le spécialiste au sujet de tout ce qui attrait à l'Arche d'Alliance, contacté par Hitler pour mener les recherches en Egypte. Apprenant que les nazis sont sur le point de la trouver, Indiana s'envole pour le Népal où il retrouve Marion, la fille d'Abner, son ancien amour. Apprenant la mort d'Abner, il se rend au Caire avec Marion pour tenter de trouver l'Arche avant les nazis. Il découvre alors que ses ennemis ont finalement fait appel à l'archéologue français René Belloq, son rival professionnel peu scrupuleux, pour mener les excavations sur place...


Commentaires

Grand classique du cinéma d'aventures, Les Aventuriers de l'Arche Perdue est issu de la collaboration entre George Lucas, créateur de la franchise Star Wars, et Steven Spielberg, le nouveau réalisation phare d'Hollywood de l'époque après les succès impressionnants de films tels que Les Dents de la Mer (premier grand blockbuster de l'Histoire) ou Rencontre du Troisième Type. Le film se veut un hommage aux films d'aventures et aux serials d'antan et il introduit le personnage d'Indiana Jones, incarné par Harrison Ford. Le succès fulgurant des Aventuriers allait lancer une série de films centrée autour de son personnage.

Indiana Jones est un archéologue baroudeur qui parcourt le monde à la recherche d'antiquités. Toutefois, les trésors qu'il pourchasse sont souvent d'une importance relativement modeste, sans grandes ambitions historiques. Tout change quand il part en quête de l'Arche d'Alliance, trésor d'entre tous les trésors aux yeux des archéologues. Indiana ne se rend toutefois pas compte de cette différence, voyant l'Arche comme un trésor comme tant d'autres, ne prêtant aucune attention aux mythes l'entourant car ne s'intéressant qu'à sa valeur historique et culturelle, malgré les nombreux avertissements de ses confrères qui respectent et craignent son pouvoir. Cette quête de l'Arche va devenir le film conducteur de nombreuses péripéties qui va l'amener à renouer avec une de ses relations passées et à affronter les nazis. A mesure du temps, il réalise le véritable pouvoir de l'Arche et ce qu'il risque de perdre en poursuivant cette quête. Mais si Indiana Jones a appris à changer ses vues au sujet de l'Arche, ce ne sera pas le cas de tout le monde, beaucoup n'y voyant qu'un artefact d'une valeur historique et culturelle et une possible arme en vue de la guerre qui approche.

Je commencerais en reconnaissant une chose: le scénario n'est pas le point fort du film, la quête de l'Arche d'Alliance ne servant généralement que de fil conducteur à de multiples péripéties. Mais le véritable intérêt des Aventuriers de l'Arche Perdue se situe ailleurs. C'est avant tout un film de genre, une déclaration d'amour aux films d'aventures d'antan, et l'histoire, si elle n'est pas particulièrement développée, sert avant tout à introduire une foule de scènes d'actions en tout genre. La recette miracle, c'est la réalisation magistrale de Steven Spielberg qui, dynamique et inventive à souhait, multiplie les trouvailles visuelles et sonores et les raccords de tous les types possibles et imaginables. Ce film est une véritable leçon de cinéma à lui tout seul, et ce qui est génial c'est qu'on n'est pas du tout dans un simple exercice de style mais que cela sert pleinement l'histoire. Spielberg montre là un talent incroyable et signe un film époustouflant, notamment dans ces scènes d'action qui demeurent pour la plupart des monuments du genre, jamais égalées (même les films suivants ne parviendront pas à se rapprocher d'une telle réussite).

On retrouve aussi dans le film un côté très Tintin, avec ces aventures qui mènent nos héros aux quatre coins du globe, vivant de multiples péripéties avec un ton assez naïf et très touchant mais surtout avec beaucoup d'humour. Les gags pleuvent de tous les côtés, que ce soit dans les répliques, dans les situations loufoques, dans les trouvailles visuelles, ou encore dans les jeux d'acteurs (les improvisations d'Harrison Ford ou de Ronald Lacey). On retrouve aussi nombre de stéréotypes et de codes des films d'aventures, comme des personnages assez stéréotypés (la femme à caractère qui tombe amoureuse du héros et qui tient tête courageusement à l'ennemi, le nazi inquisiteur tout habillé de noir pour montrer que c'est un gros sadique qui adore torturer les gens) ou une vision de certains pays qui reflète bien l'esprit colonial de l'époque (la supériorité de l'homme blanc sur les populations locales, avec les gens qui préfèrent finalement les "gentils américains" aux "méchants nazis" qui les oppressent, ou les habitants des forêts tropicales qui vivent les fesses à l'air et qui se laissent abuser par un européen tenant une idole). C'est pas Tintin au Congo, mais on est quand même assez proche de l'esprit des albums d'Hergé sur ce point là, reflétant la mentalité coloniale de l'époque et les stéréotypes dont les populations étaient abreuvées.

A la musique, on retrouve le compositeur John Williams, compositeur attitré des films de Steven Spielberg et récemment auréolé du succès des musiques des deux premiers Star Wars. Ces thèmes sont tous aujourd'hui inscrit dans l'inconscient collectif, même si la plupart ne reviendront pas dans les films suivants. Le thème principal, quant à lui, deviendra emblématique de la série, probablement l'une des musiques les plus connues de l'histoire du cinéma.

Le casting, quant à lui, est impeccable. Dans le rôle principal, Harrison Ford impressionne. Il devient avec ce film l'héritier d'une tradition des héros de films tels que Errol Flynn, Douglas Fairbanks ou Tyrone Power que le cinéma américain n'avait plus connu depuis longtemps. Le personnage d'Indiana Jones devient la nouvelle icône emblématique du cinéma d'aventures pour toute une génération de jeunes cinéphiles et installe définitivement la carrière d'Harrison Ford, le démarquant ainsi de ses anciens partenaires de Star Wars qui ne feront finalement pas carrière au cinéma (Mark Hamill s'est reconverti dans le doublage et Carrie Fisher est devenue scénariste). Le reste du casting se révèle tout aussi convaincant, parfaitement à l'aise dans leurs rôles, que ce soit la très attachante Karren Allen que l'inquiétant Ronald Lacey ou la perversion du personnage de Paul Freeman.

Et il y a un autre personnage que l'on aurait tendance à oublier alors qu'il est peut-être le plus présent du film: l'Arche d'Alliance. Loin d'être un simple MacGuffin comme les artefacts des prochains films, l'Arche d'Alliance est un personnage à part entière du film. Son histoire est racontée via des légendes par différents personnages, sa nature divine est développée tout le long du film ainsi que les ambitions de ceux qui la traquent, et on découvre progressivement son pouvoir et la terreur qu'elle peut réellement inspirer. L'Arche d'Alliance a sa volonté propre, elle peut tuer, et les personnages du film ne se rendent pas forcément compte des réelles implications d'une quête sacrée qu'ils n'auraient peut-être jamais dû entreprendre, certaines choses devant demeurer de l'ordre de l'inviolable.

Au final, Les Aventuriers de l'Arche Perdue est un très grand film de genre et l'un des films les plus aboutis de Steven Spielberg (alors même qu'il n'avait pas de réelles prétentions artistiques à la base, entrant davantage dans le domaine du cinéma de divertissement). Pensé comme un hommage au genre pour finalement devenir la nouvelle référence en la matière, le film se révèle un exploit à tous les niveaux et marque un véritable renouveau du film d'aventures qui se poursuivra dans les films suivants et dans les nombreux ersatz qu'ils auront inspiré. Souvent copié, jamais égalé, Les Aventuriers de l'Arche Perdue porte en lui une magie qui marque les plus grands films de l'Histoire du cinéma, ceux qui font date et qui marquent l'inconscient populaire. Un monument du genre pour tous les passionnés de ces aventuriers qui partent en quête de cités perdues et autres trésors oubliés !

Verdict: Excellent (20/20).

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Koiwai
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Re: Si on parlait ciné?

Message non lu par Koiwai » 06 nov. 2013, 21:10

Pour répondre à la question de Glass sur le Hobbit, personnellement je n'ai pas vu le film, il ne m'intéresse pas du tout. Je n'ai jamais réussi à aller au bout du bouquin tout comme je n'ai jamais pu dépasser quelques dizaines de pages dans le Seigneur des Anneaux, et les films du SdA m'ont aussi plutôt emmerdé. Bref, je crois qu'on peut dire que je n'aime pas du tout Tolkien (et les livres de fantasy en général, de toute manière) ^^"





Pour revenir sur Snowpiercer, je l'ai vu dimanche et je dois dire que mon avis est proche de celui de Rogue : c'est bon, mais j'en attendais plus. En quelques films, Bong Joon Ho est devenu l'un de mes réalisateurs préférés, et il me l'a encore confirmé dans la réalisation de Snowpiercer, qui est techniquement et ambiancement (comment ça, ce mot n'existe pas ?) proche de la perfection. L'immersion est totale, j'aime toujours autant l'alternance d'ambiances dont est capable ce réalisateur. Ces notes d'humour bien noir ou cynique, déjà largement vues dans The Host ou Memories of Murder, c'est un peu devenu sa marque de fabrique, mais pas autant que ce don pour offrir des ambiances ultra tendues à n'importe quel moment, avec de gros focus au ralenti. "comme suspendus dans le temps" comme le dit Rogue, qui a visiblement été très marqué par le même passage que moi (sans en dire trop, le face à face avec les hommes armés de haches, c'est juste ce que j'ai vu de plus intense au cinéma cette année, un petit coup de génie de mise en scène).
Les jeux d'ombres sont nombreux et maîtrisés, l'ambiance sonore immersive et renforcée par les bruitages récurrents du train, c'est ultra-violent sans tomber dans le gore exagéré, le design des différents wagons est effectivement à couper le souffle, et les vues sur les extérieurs enneigés sont magnifiques.

Le casting est lui aussi globalement très bon. J'avais des appréhensions pour Chris Evans, un acteur que je n'aime pas beaucoup, mais il incarne honnêtement le héros, son jeu un peu monolithique collant bien. Ed Harris fait plaisir. Song Kang-Ho est parfait, comme toujours, confirme qu'il peut jouer des rôles assez différents et confirme qu'il est parmi mes acteurs préférés. Je suis tombé amoureux de Ko Asung (déjà aperçue dans The Host et Une vie toute neuve) qui campe une Yona exquise. Mais ma mention spéciale ira pour la toujours aussi excellente Tilda Swinton, qui campe parfaitement une Mason aussi amusante et dégueu que pitoyable et détestable.

Mais après, côté scénario, c'est effectivement un peu faible, à la limite nanardesque par moments, bourré de petites incohérences énervantes (par exemple, bah oui, tirons donc dans les vitres du train, alors que celui-ci va à toute vitesse et qu'il pèle de froid dehors, ça ne pose pas de problème... On ne se demandera pas comment ils remplaceront les vitres plus tard à grande vitesse, ou même pourquoi c'est du simple vitrage ^^""), plombé par des idées mal exploitées (les petits papiers...) et taillant à la truelle la psychologie de son héros (il y avait moyen d'en faire un bon anti-héros, plus faible qu'il n'y paraît et propulsé un peu malgré lui dans un rôle de leader/sauveur qu'il n'arrive pas totalement à assumer, mais cet aspect est franchement mal fichu). Et tout le final est too much.

Bref, scénaristiquement pas terrible, mais une grosse claque niveau réalisation, ambiance et esthétique.
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Glass Heart
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Re: Si on parlait ciné?

Message non lu par Glass Heart » 07 nov. 2013, 01:06

On a plus d'informations sur deux des rôles principaux de la nouvelle trilogie Star Wars (sauf que les noms sont certainement faux) suite aux annonces de castings en Grande-Bretagne.

Rachel: Elle a perdu ses parents très jeune. Sans autre famille, elle a dû se débrouiller dans une ville très dangereuse et très difficile. Âgée de 17 ans, c'est une fille de la rue, très forte. Elle est capable de se débrouiller seule avec l'humour et le panache nécessaires.

Thomas: Il a grandi sans repère paternel. Par conséquent, il n'a pas une haute estime de lui. Malgré cela, il est intelligent, débrouillard et il peut se montrer courageux dans les moments de nécessité. Il a une approche plutôt cynique de la vie.

http://www.comicbookmovie.com/fansites/ ... s/?a=89596


C'est assez... convenu, je trouve. Les descriptions du gars et de la famille ressemblent assez aux caractérisations de Luke Skywalker et de Han Solo.

"Thomas, je suis ton père !" :mrgreen:

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Luciole21
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Re: Si on parlait ciné?

Message non lu par Luciole21 » 19 nov. 2013, 18:13

Transperceneige vu, et lu au préalable.
Mon avis sur le film est le même que celui de Rogue (sauf que j'ai jamais joué à Bioshock).
En fait, je voulais surtout dire que si vous décidez d'acheter la BD parce que vous avez vu et aimé le film, vous vous aventurez en terrain inconnu, puisque la BD à autant de points commun avec le film qu'un bouquin sur la lutte des classes (c'est à dire un peu, mais pas des masses).
Le synopsis de départ est le même : Dans le futur, l'utilisation de l'arme météorologique oblige les derniers êtres humains à se réfugier dans le Transperceneige (« C'est Le Transperceneige aux mille et un wagons. C'est le dernier bastion d'la civilisation »). Plus on est à l'arrière du train, plus on est défavorisé, et inversement. À partir de là, plus grand chose à voir, la bande-dessinée ne présente pas d’insurrection, et le tout reste beaucoup moins accessible. Les dessins sont particuliers, le ton n'est pas le même, l'ambiance non plus (la différence entre les wagons est beaucoup moins marquée, noir et blanc oblige), le déroulement de l'histoire non plus même si ça se recoupe vaguement par moments.
Après c'est pas inintéressant pour autant, c'est un classique franchement bien foutu, même si personnellement je n'ai pas aimé, j'ai trouvé ça chiant, et j'ai beaucoup de mal avec la narration.
Voili voulou.

D'ailleurs Rai, la trilogie Nikopol m'a gonflé aussi, navré (même si c'est super beau ^^).
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Re: Si on parlait ciné?

Message non lu par Raimaru » 19 nov. 2013, 20:05

D'ailleurs Rai, la trilogie Nikopol m'a gonflé aussi, navré (même si c'est super beau ^^).
T'as pas à être désolé, c'était juste un conseil :)

(J'espère juste que tu l'as pas acheté et que tu l'as lu dans le cadre de ton travail, parce que les Casterman, ça coûte une blinde. Alors si c'est pour être déçu...)

(En ce moment, niveau BD, je suis à fond dans les Manu Larcenet, un génie ce mec !)
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Re: Si on parlait ciné?

Message non lu par Luciole21 » 19 nov. 2013, 20:21

Le meilleurs de Larcenet, c'est Blast !!! (et non, j'ai pas payé Nikopol ^^)
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Re: Si on parlait ciné?

Message non lu par Raimaru » 19 nov. 2013, 23:28

Blast, ça a été une claque oui. Mais je lui préfère le Combat Ordinaire, qui est vraiment d'une finesse incroyable, j'étais sur le cul au moment de la lecture. Après, c'est une question de sensibilité.

Sinon, pour en revenir au sujet, j'ai vu Gravity il y a quelques semaines, et ça a tenu toutes ses promesses. En deux mots, j'en attendais beaucoup, et j'ai pas été déçu : c'est un film qui tient debout de bout en bout, et avec autant d'ambition, c'est assez fort. Je ne me souviens pas d'ailleurs qu'un autre film avec autant d'effets spéciaux atteigne ce résultat. D'habitude, ça fait un peu cache-misère, mais là, c'est vraiment au service du film. Sans problème, Alfonso Cuaron a laissé une empreinte dans le cinéma grâce à cette expérience sensorielle.

(Et dire qu'il a essayé d'avoir plusieurs actrices avant Sandra Bullock, dont Natalie Portman :( )
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Re: Si on parlait ciné?

Message non lu par Luciole21 » 20 nov. 2013, 10:54

Ah oui tiens, j'ai vu Gravity aussi, sauf que de mon côté, je n'ai pas aimé le film (si, j'aime des films des fois).
La réalisation est impeccable, visuellement parlant, et pour une fois, j'ai aimé l'interprétation de Clowney. Et ce sera à peu près tout pour les points positifs puisque qu'à côté de ça :
-Je peux toujours pas encadrer Sandra Bullock.
-Il ne se passe rien, c'est linéaire et répétitif au possible (et la beauté de l'image ne suffit pas à compenser)
-Ce type de putain de bande son de merde sous forme de note qui s'amplifie à mort m'horripile au plus au point.

Sinon j'ai enfin vu La ligne verte hier soir, il est parfait :)
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Re: Si on parlait ciné?

Message non lu par Glass Heart » 22 nov. 2013, 18:51

Normalement, c'est demain soir sur France 4 qu'est diffusé le film anniversaire Doctor Who: Le Jour du Docteur (diffusion simultanée à la télé et au cinéma au Royaume-Uni). Je ne connais pas encore vraiment la série mais, ayant l'intention de m'y lancer prochainement vu tout le bien que j'en ai entendu, je regarderais probablement ce film comme premier contact avec cet univers (ils diffusent aussi pas mal d'épisodes durant la nuit après).

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