Ma femme est une etudiante
Re: Ma femme est une etudiante
Tome 7 :
Toru a embrassé Asami, et Kyosuke l'a appris. Tandis que notre héroïne s'en veut de s'être laissée faire, son mari, de son côté, sombre et quitte la maison pour la soirée. Ivre, il est recueilli par Mlle Iwasaki, qui est bien décidée à le consoler à sa manière...
Plus rien ne semble aller au sein de notre couple depuis le baiser de Toru, et tout a vite fait de partir en vrille rapidement, tellement rapidement et de façon cliché que ça ne convainc pas totalement, mais soit : l'essentiel réside dans la fracture qui s'opère entre nos deux tourtereaux, car tandis qu'Asami se morfond, Mlle Iwasaki profite d'un Kyôsuke ivre pour enfin se le mettre dans la poche. Tout ceci n'annonce rien de bon pour Kyôsuke et Asami, d'autant qu'Iwasaki et Toru persévèrent dans leurs efforts pour séduire l'être aimé... même si le mot persévérer est un peu fort en ce qui concerne Kyosuke, qui même sobre se laisse désormais faire... Bref, au fil de nombreux rebondissements basiques et peu crédibles tant ils sont mal amenés, on se retrouve avec un certain climax... et puis plus rien. Hop, Hiyoko Kobayashi choisit finalement de conclure la petite tromperie de Kyosuke avec Iwasaki de manière complètement banale, en ne faisant rien ressortir de spécial, si ce n'est la mièvrerie d'une Asami décidément trop gentille.
Après ce pétard mouillé, la suite du tome revient à des recettes habituelles qui tendent à lasser : le couple qui se consolide à nouveau, bien décidé à ne plus se laisser aller face aux tentations, mais qui se retrouve encore et toujours dans des situations ubuesques censées pimenter le tout, comme ici un voyage à la mer qui commence d'une manière assez tirée par les cheveux. Reste Mariko, nouveau personnage gravitant autour de Toru et qui pourrait apporter un peu piquant, si tant est qu'elle soit exploitée par la suite.
En somme, entre une banalité totale et des rebondissements qui auraient pu apporter quelque chose s'ils ne finissaient pas en pétards mouillés, Ma femme est une étudiante reste sur ses acquis. A savoir pas grand chose, si ce n'est un trait toujours agréable.
Toru a embrassé Asami, et Kyosuke l'a appris. Tandis que notre héroïne s'en veut de s'être laissée faire, son mari, de son côté, sombre et quitte la maison pour la soirée. Ivre, il est recueilli par Mlle Iwasaki, qui est bien décidée à le consoler à sa manière...
Plus rien ne semble aller au sein de notre couple depuis le baiser de Toru, et tout a vite fait de partir en vrille rapidement, tellement rapidement et de façon cliché que ça ne convainc pas totalement, mais soit : l'essentiel réside dans la fracture qui s'opère entre nos deux tourtereaux, car tandis qu'Asami se morfond, Mlle Iwasaki profite d'un Kyôsuke ivre pour enfin se le mettre dans la poche. Tout ceci n'annonce rien de bon pour Kyôsuke et Asami, d'autant qu'Iwasaki et Toru persévèrent dans leurs efforts pour séduire l'être aimé... même si le mot persévérer est un peu fort en ce qui concerne Kyosuke, qui même sobre se laisse désormais faire... Bref, au fil de nombreux rebondissements basiques et peu crédibles tant ils sont mal amenés, on se retrouve avec un certain climax... et puis plus rien. Hop, Hiyoko Kobayashi choisit finalement de conclure la petite tromperie de Kyosuke avec Iwasaki de manière complètement banale, en ne faisant rien ressortir de spécial, si ce n'est la mièvrerie d'une Asami décidément trop gentille.
Après ce pétard mouillé, la suite du tome revient à des recettes habituelles qui tendent à lasser : le couple qui se consolide à nouveau, bien décidé à ne plus se laisser aller face aux tentations, mais qui se retrouve encore et toujours dans des situations ubuesques censées pimenter le tout, comme ici un voyage à la mer qui commence d'une manière assez tirée par les cheveux. Reste Mariko, nouveau personnage gravitant autour de Toru et qui pourrait apporter un peu piquant, si tant est qu'elle soit exploitée par la suite.
En somme, entre une banalité totale et des rebondissements qui auraient pu apporter quelque chose s'ils ne finissaient pas en pétards mouillés, Ma femme est une étudiante reste sur ses acquis. A savoir pas grand chose, si ce n'est un trait toujours agréable.
Re: Ma femme est une etudiante
Tome 8 :
Sous la houlette de Kyosuke, les membres du club de cinéma partent en voyage dans une station thermale, en pleine campagne, sans savoir au départ qu'ils ont été suivis par Mariko, la petite soeur de Toru, qui continue de coller ce dernier bien malgré lui. Pourtant, Toru, de son côté, continue ses avances auprès d'Asami... jusqu'au moment où il la surprend avec Kyosuke. Découvrant alors le secret de celle qu'il aime, Toru doit se remettre en question, tandis que Mariko est toujours à ses côtés...
Continuant dans toutes les facilités possibles et imaginables pour apporter le quota d'érotisme à sa série, Hiyoko Kobayashi amène cette fois-ci ses héros dans une station thermale, un lieu de voyage tout à fait logique pour un club de cinéma...
C'est donc l'occasion d'avoir le quota de fan-service, avec tous les clichés qu'implique une station thermale, le tout ponctué de quelques notes d'humour répétitives car toujours basées sur la crétinerie d'Erozaki et ses rixes avec Kasumi.
On serait presque gavé, si la mangaka ne choisissait pas ce passage pour enfin décanter la situation autour de Toru et Mariko, dont nous découvrons les réels sentiments à partir du moment où le jeune garçon découvre le secret d'Asami. Il se passe enfin une vraie avancée dans Ma femme est une étudiante, mais dommage qu'elle soit développée de façon si basique, l'auteure allant à l'essentiel en ne faisant pas ressortir grand chose, si ce ne sont quelques vaines tentatives d'émotion autour de Toru et d'une Mariko dont la cruche-attitude n'a rien à envier à celle d'Asami.
Voici donc l'arc de Toru enfin bouclé, de façon somme toute très convenue et pas très passionnante, mais au moins, ça avance un peu. Quant à la fin du volume, elle entame rapidement une nouvelle partie, avec l'arrivée d'un nouveau dans le club de cinéma, nouveau venu qui entraîne des rebondissements proprement ridicules, tout juste prétextes à du fan-service bas de gamme très mal amené, entre une Asami qui reste désespérément cruche à force de poser lascivement avec naïveté, et un casting d'une stupidité crasse, qui est toutefois l'occasion de voir cette chère Kasumi comme on ne l'avait encore jamais vue.
Au final, Ma femme est une étudiante, tout juste sauvé par ses dessins, reste d'une grande médiocrité, entre une fin d'arc convenue et une nouvelle partie qui débute de façon ridicule. Attendons néanmoins de voir ce que va donner la suite, car ça pourrait être enfin l'occasion de mettre en avant de façon plus convenable Kasumi.
Sous la houlette de Kyosuke, les membres du club de cinéma partent en voyage dans une station thermale, en pleine campagne, sans savoir au départ qu'ils ont été suivis par Mariko, la petite soeur de Toru, qui continue de coller ce dernier bien malgré lui. Pourtant, Toru, de son côté, continue ses avances auprès d'Asami... jusqu'au moment où il la surprend avec Kyosuke. Découvrant alors le secret de celle qu'il aime, Toru doit se remettre en question, tandis que Mariko est toujours à ses côtés...
Continuant dans toutes les facilités possibles et imaginables pour apporter le quota d'érotisme à sa série, Hiyoko Kobayashi amène cette fois-ci ses héros dans une station thermale, un lieu de voyage tout à fait logique pour un club de cinéma...
C'est donc l'occasion d'avoir le quota de fan-service, avec tous les clichés qu'implique une station thermale, le tout ponctué de quelques notes d'humour répétitives car toujours basées sur la crétinerie d'Erozaki et ses rixes avec Kasumi.
On serait presque gavé, si la mangaka ne choisissait pas ce passage pour enfin décanter la situation autour de Toru et Mariko, dont nous découvrons les réels sentiments à partir du moment où le jeune garçon découvre le secret d'Asami. Il se passe enfin une vraie avancée dans Ma femme est une étudiante, mais dommage qu'elle soit développée de façon si basique, l'auteure allant à l'essentiel en ne faisant pas ressortir grand chose, si ce ne sont quelques vaines tentatives d'émotion autour de Toru et d'une Mariko dont la cruche-attitude n'a rien à envier à celle d'Asami.
Voici donc l'arc de Toru enfin bouclé, de façon somme toute très convenue et pas très passionnante, mais au moins, ça avance un peu. Quant à la fin du volume, elle entame rapidement une nouvelle partie, avec l'arrivée d'un nouveau dans le club de cinéma, nouveau venu qui entraîne des rebondissements proprement ridicules, tout juste prétextes à du fan-service bas de gamme très mal amené, entre une Asami qui reste désespérément cruche à force de poser lascivement avec naïveté, et un casting d'une stupidité crasse, qui est toutefois l'occasion de voir cette chère Kasumi comme on ne l'avait encore jamais vue.
Au final, Ma femme est une étudiante, tout juste sauvé par ses dessins, reste d'une grande médiocrité, entre une fin d'arc convenue et une nouvelle partie qui débute de façon ridicule. Attendons néanmoins de voir ce que va donner la suite, car ça pourrait être enfin l'occasion de mettre en avant de façon plus convenable Kasumi.
Re: Ma femme est une etudiante
parce que je pense pas etre chaud pour 13 tomes 3 4 a la limite....mais pas 13..
"Do you know those times when you've been put through so much pain you couldn't bear it?
Well, that's reality for you."
I have been a FunForFreedom survivor since 7/2/12!Buy D3 Gold
Buy Runescape Gold Buy RS Gold Supporting Leon X Zara! <3
I have a blog!
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Re: Ma femme est une etudiante
Tome 9 :
Suite au départ de Toru, le club de cinéma a besoin de nouvelles recrues, et Keitaro, un nouveau venu, organise alors un concours visant à élire la fille la plus sexy du club. Sur cette base complètement débile, Hiyoko Kobayashi offre du fan service basique, qui est toutefois l'occasion de voir cette chère Kasumi comme on ne l'avait jamais vue, bien loin de l'image de binoclarde qu'elle renvoie habituellement. On se dit alors que ça va enfin être l'occasion de mettre en avant la meilleure amie d'Asami, mais finalement tout tourne au pétard mouillé, tout juste bon à présenter de manière très facile nos héroïnes dans des position des tenues un brin scabreuses.
Ce petit arc du concours se termine donc rapidement, sans faire ressortir grand chose, si ce n'est le sex-appeal insoupçonné de Kasumi, qu'Erozaki tente difficilement de nier dans la suite du tome, tandis que s'entame une nouvelle partie avec l'arrivée d'un nouveau personnage : Aya Sakuragi, une camarade de classe d'Asami qui sympathise avec elle. Expérimentée dans le domaine du sexe et fortement attirée par les hommes mûrs qui lui renvoient l'image d'un père aimant qu'elle n'a pas vu depuis des années, la jeune fille finit par jeter son dévolu sur... tadam, Kyosuke...
On ne le cachera pas, les rebondissements autour d'Aya tombent dans la stupidité dès que celle-ci décide de s'attaquer à Kyosuke. C'est facile, la mangaka n'en fait pas grand chose puisque le délire d'Aya sur Kyosuke s'achève vite après quelques passages prétextes à du fan-service basique, et on se contente alors de suivre ce nouveau personnage, complètement irritant dans ces facilités qu'elle amène et dans son caractère de pupute (elle se prétend amie d'Asami, mais essaie de lui piquer son mec), mais en me^me temps un brin intéressant dans le father-complex qu'elle semble avoir. Il faudra alors dépasser quelques sous-entendus incestueux bizarres pur ensuite tomber sur un final vaguement poignant, dès lors d'Aya retrouve enfin son père, pour une rencontre père/fille que le demoiselle n'imaginait pas ainsi, et qui a le mérite de sortir très légèrement la série de sa guimauve ambiante.
Hormis ce final assez prévisible mais sortant un tant soit peu de la routine de la série, ce neuvième tome reste dans cette habituelle médiocrité ambiante. Tout est bateau, mal amené, seul le trait de l'auteure sauve vaguement les meubles, mais même lui tend à lasser. Il faut aussi dire que la traduction reste asse désespérante, entre de nombreuses tournure poussives et des petits incohérences (un coup on nous dit qu'Asami est à la fac, un coup la miss se retrouve en première).
Suite au départ de Toru, le club de cinéma a besoin de nouvelles recrues, et Keitaro, un nouveau venu, organise alors un concours visant à élire la fille la plus sexy du club. Sur cette base complètement débile, Hiyoko Kobayashi offre du fan service basique, qui est toutefois l'occasion de voir cette chère Kasumi comme on ne l'avait jamais vue, bien loin de l'image de binoclarde qu'elle renvoie habituellement. On se dit alors que ça va enfin être l'occasion de mettre en avant la meilleure amie d'Asami, mais finalement tout tourne au pétard mouillé, tout juste bon à présenter de manière très facile nos héroïnes dans des position des tenues un brin scabreuses.
Ce petit arc du concours se termine donc rapidement, sans faire ressortir grand chose, si ce n'est le sex-appeal insoupçonné de Kasumi, qu'Erozaki tente difficilement de nier dans la suite du tome, tandis que s'entame une nouvelle partie avec l'arrivée d'un nouveau personnage : Aya Sakuragi, une camarade de classe d'Asami qui sympathise avec elle. Expérimentée dans le domaine du sexe et fortement attirée par les hommes mûrs qui lui renvoient l'image d'un père aimant qu'elle n'a pas vu depuis des années, la jeune fille finit par jeter son dévolu sur... tadam, Kyosuke...
On ne le cachera pas, les rebondissements autour d'Aya tombent dans la stupidité dès que celle-ci décide de s'attaquer à Kyosuke. C'est facile, la mangaka n'en fait pas grand chose puisque le délire d'Aya sur Kyosuke s'achève vite après quelques passages prétextes à du fan-service basique, et on se contente alors de suivre ce nouveau personnage, complètement irritant dans ces facilités qu'elle amène et dans son caractère de pupute (elle se prétend amie d'Asami, mais essaie de lui piquer son mec), mais en me^me temps un brin intéressant dans le father-complex qu'elle semble avoir. Il faudra alors dépasser quelques sous-entendus incestueux bizarres pur ensuite tomber sur un final vaguement poignant, dès lors d'Aya retrouve enfin son père, pour une rencontre père/fille que le demoiselle n'imaginait pas ainsi, et qui a le mérite de sortir très légèrement la série de sa guimauve ambiante.
Hormis ce final assez prévisible mais sortant un tant soit peu de la routine de la série, ce neuvième tome reste dans cette habituelle médiocrité ambiante. Tout est bateau, mal amené, seul le trait de l'auteure sauve vaguement les meubles, mais même lui tend à lasser. Il faut aussi dire que la traduction reste asse désespérante, entre de nombreuses tournure poussives et des petits incohérences (un coup on nous dit qu'Asami est à la fac, un coup la miss se retrouve en première).
Re: Ma femme est une etudiante
Tome 10 :
Suite à quelques conversations avec Sakura et Aya qui se sont toutes deux trouvée un nouveau copain et passent leur temps à évoquer le plaisir qu'elles passent avec eux, Asami en arrive à s'interroger sur cette notion de plaisir. En prend-elle réellement avec Kyosuke pendant l'acte ? Si non, comment faire pour changer la donne ?
C'est sur cette simple question formidablement idiote que notre héroïne en arrive à avoir des réactions débiles, justement propres à anéantir le plaisir du couple. Asami se frustre, Kyosuke est contraint de faire ceinture, et le jeune homme, ivre après une soirée avec Sonoda, en arrive à se rendre dans un soap land...
S'en suivent des rebondissements proprement insipides, comme souvent dans la série, et ne menant nulle part : tandis qu'Asami continue de s'interroger et trouve des conseils banals auprès de Sakura et Aya, voila qu'Iwaskai tente de semer le trouble en lui montrant une photo qu'elle a pu prendre quand Kyosuke sortait du soap land. Gros hasards, clichés, pour un final sans intérêt, qui, une nouvelle fois, résout les choses très vite sans rien changer à la donne.
A force d'enchaîner faux rebondissements et gros clichés, la série devient de plus en plus lourdingue, tout simplement, et la suite du tome ne change rien à cela, puisque Hiyoko Kobayashi s'y contente de faire revenir à la charge la belle Iwasaki, toujours bien décidée à se faire Kyosuke, et à à percer le secret du jeune homme et d'Asami. Pour cela, la jeune femme organise pour un film de son frangin une visite de la maison de notre couple, et il leur faut alors cacher toute preuve qu'ils vivent ensemble ! En résultent quelques situations délicates portée par le chat Noisette et le sale gosse Sasuke, situations un peu amusantes au départ même si à nouveaux très clichés, et qui ne durent finalement que très peu.
Avec une fin de tome qui revient sur les sentiments niés d'Erozaki et Kasumi, on peut se dire qu'on aura peut-être un onzième tome un peu plus intéressant, mais en attendant on se retrouve avec un énième volume fait de vide, tout juste sauvé par quelques gags qui font vaguement mouche et par le trait de l'auteure.
Suite à quelques conversations avec Sakura et Aya qui se sont toutes deux trouvée un nouveau copain et passent leur temps à évoquer le plaisir qu'elles passent avec eux, Asami en arrive à s'interroger sur cette notion de plaisir. En prend-elle réellement avec Kyosuke pendant l'acte ? Si non, comment faire pour changer la donne ?
C'est sur cette simple question formidablement idiote que notre héroïne en arrive à avoir des réactions débiles, justement propres à anéantir le plaisir du couple. Asami se frustre, Kyosuke est contraint de faire ceinture, et le jeune homme, ivre après une soirée avec Sonoda, en arrive à se rendre dans un soap land...
S'en suivent des rebondissements proprement insipides, comme souvent dans la série, et ne menant nulle part : tandis qu'Asami continue de s'interroger et trouve des conseils banals auprès de Sakura et Aya, voila qu'Iwaskai tente de semer le trouble en lui montrant une photo qu'elle a pu prendre quand Kyosuke sortait du soap land. Gros hasards, clichés, pour un final sans intérêt, qui, une nouvelle fois, résout les choses très vite sans rien changer à la donne.
A force d'enchaîner faux rebondissements et gros clichés, la série devient de plus en plus lourdingue, tout simplement, et la suite du tome ne change rien à cela, puisque Hiyoko Kobayashi s'y contente de faire revenir à la charge la belle Iwasaki, toujours bien décidée à se faire Kyosuke, et à à percer le secret du jeune homme et d'Asami. Pour cela, la jeune femme organise pour un film de son frangin une visite de la maison de notre couple, et il leur faut alors cacher toute preuve qu'ils vivent ensemble ! En résultent quelques situations délicates portée par le chat Noisette et le sale gosse Sasuke, situations un peu amusantes au départ même si à nouveaux très clichés, et qui ne durent finalement que très peu.
Avec une fin de tome qui revient sur les sentiments niés d'Erozaki et Kasumi, on peut se dire qu'on aura peut-être un onzième tome un peu plus intéressant, mais en attendant on se retrouve avec un énième volume fait de vide, tout juste sauvé par quelques gags qui font vaguement mouche et par le trait de l'auteure.
Re: Ma femme est une etudiante
Tome 11 :
La fin du tome 10 laissait supposer un focus sur les sentiments de Kasumi et Erozaki, et pour une fois Hiyoko Kobayashi tient ses promesses puisqu'on aura effectivement droit à ça. Les deux principaux concernés, passant leur temps à se chamailler, étant les seuls à ne pas se rendre compter des sentiments qu'ils ressentent l'un pour l'autre, il leur faudra bien un petit coup de pouce... Voici un focus un peu rapide, qui qui n'aboutit sur rien de concret, mais qui décante réellement la situation.
Quant à la suite du tome, elle voit se refermer sur Asami et Kyosuke le piège diabolique de Mlle Iwasaki, toujours prête à tout pour mettre notre benêt de prof dans son lit, y compris à faire chanter Asami d'odieuse manière... Il faut un certain temps pour voir les choses réellement bouger de ce côté-là, la mangaka rallongeant inutilement la chose. Jusqu'à l'arrivée d'une évolution concrète, qui sur le coup fait peur tant on y voit à nouveau toute la bêtise d'Asami (car, c'est bien connu, pour sauver un couple, rien de mieux que de se barrer sans rien dire). Heureusement que Sakura, peut-être le seul personnage de la série qui a parfois de sursauts d'intelligence, est là pour veiller...
Qu'on se le dise, il y a donc dans ce tome des évolutions, mot que l'on avait presque oublié dans cette série. On sent que la fin approche et que c'est pour ça que ça commence à bouger, et voir des évolutions fait donc plaisir, même si ces fameuses évolutions mettent toujours plus en avant la stupidité crasse des personnages, entre un Kyosuke un peu à la masse, une Asami toujours aussi débile, et une Iwasaki horripilante et presque insupportable aussi bien dans ses méthodes pour mettre la main sur Kyosuke que dans le côté fille facile nauséabond qui se dégage d'une scène de viol tout juste déguisée ("A quoi bon te dire non ? Tu le feras quand même de toute façon"...). Une scène qui suffit à plomber un tome qui redressait un tout petit peu la barre.
La fin du tome 10 laissait supposer un focus sur les sentiments de Kasumi et Erozaki, et pour une fois Hiyoko Kobayashi tient ses promesses puisqu'on aura effectivement droit à ça. Les deux principaux concernés, passant leur temps à se chamailler, étant les seuls à ne pas se rendre compter des sentiments qu'ils ressentent l'un pour l'autre, il leur faudra bien un petit coup de pouce... Voici un focus un peu rapide, qui qui n'aboutit sur rien de concret, mais qui décante réellement la situation.
Quant à la suite du tome, elle voit se refermer sur Asami et Kyosuke le piège diabolique de Mlle Iwasaki, toujours prête à tout pour mettre notre benêt de prof dans son lit, y compris à faire chanter Asami d'odieuse manière... Il faut un certain temps pour voir les choses réellement bouger de ce côté-là, la mangaka rallongeant inutilement la chose. Jusqu'à l'arrivée d'une évolution concrète, qui sur le coup fait peur tant on y voit à nouveau toute la bêtise d'Asami (car, c'est bien connu, pour sauver un couple, rien de mieux que de se barrer sans rien dire). Heureusement que Sakura, peut-être le seul personnage de la série qui a parfois de sursauts d'intelligence, est là pour veiller...
Qu'on se le dise, il y a donc dans ce tome des évolutions, mot que l'on avait presque oublié dans cette série. On sent que la fin approche et que c'est pour ça que ça commence à bouger, et voir des évolutions fait donc plaisir, même si ces fameuses évolutions mettent toujours plus en avant la stupidité crasse des personnages, entre un Kyosuke un peu à la masse, une Asami toujours aussi débile, et une Iwasaki horripilante et presque insupportable aussi bien dans ses méthodes pour mettre la main sur Kyosuke que dans le côté fille facile nauséabond qui se dégage d'une scène de viol tout juste déguisée ("A quoi bon te dire non ? Tu le feras quand même de toute façon"...). Une scène qui suffit à plomber un tome qui redressait un tout petit peu la barre.
Re: Ma femme est une etudiante
Tome 12 : *vomit*
Coincée par Mlle Iwasaki qui a découvert son secret grâce à un trou de culotte (hum), Asami, le temps de finir ses études, a décidé de quitter la maison de Kyosuke pour protéger son couple. En n'expliquant rien à Kyosuke sans qu'on sache vraiment pourquoi, les deux mariés s'enfonçant donc dans une situation d'incompréhension proprement débile. Soit.
Ne sachant où aller habiter, Asami peut compter sur la voisine Sakura, qui l'invite à s'installer à son lieu de travail, la pension du cabaret. Asami s'exécute, et a tout le loisir de faire la connaissance des autres pensionnaires, dont une fille qui se prend pour une exorciste, histoire d'apporter quelques notes d'humour pas très évoluées, et surtout Kurumi, une jeune fille qui décide de faire de notre héroïne son jouet sexuel, sous couvert de chantage affirmant qu'elle est obligée d'y passer pour pouvoir rester à la pension... Euh... Fabuleux.
Les choses se compliquent encore quand Akira Tenkai, l'ex d'Iwasaki qui vient de temps en temps la violer pour le fun (hem), jette son dévolu sur... tadaaaam, Asami ! Il est bien décidé à se la faire, mais notre héroïne se laissera-t-elle avoir par ce coureur de jupons ?
Le volume démarre par l'intégration d'Asami dans son nouvel habitat, où elle fait la connaissance de pensionnaires bien peu farouches et plutôt libertines et lesbiennes sur les bords, avec en tête Kurumi, demoiselle qui se fera un plaisir de violer à plusieurs reprises et à l'insu de Sakura une Asami inerte, qui ne cherche pas à se débattre ou même à trouver une solution. Pauvre Asami, qui se demande bien comment elle pourrait se sortir de cette situation !... Mais... attendez... Asami, il te suffirait d'aller tout dire à Sakura, non ?... Non, vraiment ?... Ah, on me fait signe qu'il serait inutile d'offrir un cerveau à la miss à un tome de la fin, et qu'il vaut mieux qu'elle reste dans sa stupidité pour mieux offrir l'habituel fan-service mal amené. Au temps pour moi.
Restons donc dans cette veine, avec une Asami qui, en plus de se faire à moitié violer à longueur de temps, se retrouve à travailler dans un maid café où elle subit toutes sortes d'humiliations et fessées sans jamais se poser de questions. Je... pouarf.
Avec un tel QI d'huître, on se demande comment Asami pourrait échapper à Akira Tenkai, le serial dragueur de service, censé venir pimenter la dernière ligne droite de la série. Hiyoko Kobayashi avoue avoir voulu en faire un salaud de première, et a parfaitement réussi son coup : on a affaire à un beau gosse qui drague tout ce qui lui plaît et n'en fait qu'à sa tête, absolument insupportable et détestable, et qui va se faire un plaisir de manipuler Asami, qui, comme, toujours, n'oppose que peu de résistance. Pourtant, à un moment on y croit, notre héroïne montrant enfin une vague opposition, un petit sursaut de caractère (alléluia !)... avant de tomber dans le piège dès l'épreuve suivante. Comme quoi, on ne se refait pas.
Pour le reste, on restera atterré par un Kyosuke qui n'évolue pas. Incapable de se prendre en main et inapte à aller rechercher sa belle, ne serait-ce qu'à lui demander des explications, et acceptant les bentô d'Iwasaki comme un crétin, sans se poser de questions (si ce n'est qu'oulala, Iwasaki, elle est vachement sympa et quand même super attirante... Youhou ? On demande un cerveau dans la série). Les remontrances de Sakura (qui apparaît de plus en plus comme le seul personnage de la série capable d'avoir de temps en temps des éclairs de lucidité) et du père d'Asami (qui apparaît toujours n'importe comment pour au bout du compte ne servir à rien) ayant beaucoup de mal à changer la donne.
Bref. Tout ceci est censé faire le jeu d'Iwasaki, qui peut enfin dragouiller Kyosuke en toute tranquillité, la jeune femme étant bien décidée à se le mettre dans la poche et à l'éloigner d'Asami. Ou peut-être pas tant que ça. Car, en fin de compte, il se pourrait bien que subitement, sans raison apparente, elle se rende compte que finalement elle aime plutôt bien Akira. Le mec a beau être le dernier des salauds, passant son temps à abuser d'elle et de manière générale à abuser de tout ce qui passe, elle se dit d'un seul coup qu'olala, elle a peut-être quand même des sentiments pour lui. Bah, ça ne fait qu'une abrutie de plus dans la série.
Une héroïne qui reste désespérément crétine et inerte même quand elle est abusée et humiliée, un héros enfoncé dans sa médiocrité et totalement irritant, un dragueur de pacotille qui véhicule des idées nauséabondes, une Iwasaki qui détruit à son tour l'image de la femme... Si Hiyoko Kobayashi voulait définitivement plomber son titre, elle ne pouvait pas mieux s'y prendre. Trop c'est trop, tout dans ce tome dégouline d'immondice, la cerise sur le gâteau étant le papa malsain qui avoue avoir toujours trippé en reniflant les culottes de sa chère fille quel que soit son âge. Après avoir flirté constamment avec la nullité, Ma femme est une étudiante tombe dedans les pieds joints, et s'y enfonce sans jamais sembler pouvoir en ressortir. A un tome de la fin, c'est quand même ballot, et rien ne laisse penser que le dernier tome pourra sortir la série de cette crasse.
Coincée par Mlle Iwasaki qui a découvert son secret grâce à un trou de culotte (hum), Asami, le temps de finir ses études, a décidé de quitter la maison de Kyosuke pour protéger son couple. En n'expliquant rien à Kyosuke sans qu'on sache vraiment pourquoi, les deux mariés s'enfonçant donc dans une situation d'incompréhension proprement débile. Soit.
Ne sachant où aller habiter, Asami peut compter sur la voisine Sakura, qui l'invite à s'installer à son lieu de travail, la pension du cabaret. Asami s'exécute, et a tout le loisir de faire la connaissance des autres pensionnaires, dont une fille qui se prend pour une exorciste, histoire d'apporter quelques notes d'humour pas très évoluées, et surtout Kurumi, une jeune fille qui décide de faire de notre héroïne son jouet sexuel, sous couvert de chantage affirmant qu'elle est obligée d'y passer pour pouvoir rester à la pension... Euh... Fabuleux.
Les choses se compliquent encore quand Akira Tenkai, l'ex d'Iwasaki qui vient de temps en temps la violer pour le fun (hem), jette son dévolu sur... tadaaaam, Asami ! Il est bien décidé à se la faire, mais notre héroïne se laissera-t-elle avoir par ce coureur de jupons ?
Le volume démarre par l'intégration d'Asami dans son nouvel habitat, où elle fait la connaissance de pensionnaires bien peu farouches et plutôt libertines et lesbiennes sur les bords, avec en tête Kurumi, demoiselle qui se fera un plaisir de violer à plusieurs reprises et à l'insu de Sakura une Asami inerte, qui ne cherche pas à se débattre ou même à trouver une solution. Pauvre Asami, qui se demande bien comment elle pourrait se sortir de cette situation !... Mais... attendez... Asami, il te suffirait d'aller tout dire à Sakura, non ?... Non, vraiment ?... Ah, on me fait signe qu'il serait inutile d'offrir un cerveau à la miss à un tome de la fin, et qu'il vaut mieux qu'elle reste dans sa stupidité pour mieux offrir l'habituel fan-service mal amené. Au temps pour moi.
Restons donc dans cette veine, avec une Asami qui, en plus de se faire à moitié violer à longueur de temps, se retrouve à travailler dans un maid café où elle subit toutes sortes d'humiliations et fessées sans jamais se poser de questions. Je... pouarf.
Avec un tel QI d'huître, on se demande comment Asami pourrait échapper à Akira Tenkai, le serial dragueur de service, censé venir pimenter la dernière ligne droite de la série. Hiyoko Kobayashi avoue avoir voulu en faire un salaud de première, et a parfaitement réussi son coup : on a affaire à un beau gosse qui drague tout ce qui lui plaît et n'en fait qu'à sa tête, absolument insupportable et détestable, et qui va se faire un plaisir de manipuler Asami, qui, comme, toujours, n'oppose que peu de résistance. Pourtant, à un moment on y croit, notre héroïne montrant enfin une vague opposition, un petit sursaut de caractère (alléluia !)... avant de tomber dans le piège dès l'épreuve suivante. Comme quoi, on ne se refait pas.
Pour le reste, on restera atterré par un Kyosuke qui n'évolue pas. Incapable de se prendre en main et inapte à aller rechercher sa belle, ne serait-ce qu'à lui demander des explications, et acceptant les bentô d'Iwasaki comme un crétin, sans se poser de questions (si ce n'est qu'oulala, Iwasaki, elle est vachement sympa et quand même super attirante... Youhou ? On demande un cerveau dans la série). Les remontrances de Sakura (qui apparaît de plus en plus comme le seul personnage de la série capable d'avoir de temps en temps des éclairs de lucidité) et du père d'Asami (qui apparaît toujours n'importe comment pour au bout du compte ne servir à rien) ayant beaucoup de mal à changer la donne.
Bref. Tout ceci est censé faire le jeu d'Iwasaki, qui peut enfin dragouiller Kyosuke en toute tranquillité, la jeune femme étant bien décidée à se le mettre dans la poche et à l'éloigner d'Asami. Ou peut-être pas tant que ça. Car, en fin de compte, il se pourrait bien que subitement, sans raison apparente, elle se rende compte que finalement elle aime plutôt bien Akira. Le mec a beau être le dernier des salauds, passant son temps à abuser d'elle et de manière générale à abuser de tout ce qui passe, elle se dit d'un seul coup qu'olala, elle a peut-être quand même des sentiments pour lui. Bah, ça ne fait qu'une abrutie de plus dans la série.
Une héroïne qui reste désespérément crétine et inerte même quand elle est abusée et humiliée, un héros enfoncé dans sa médiocrité et totalement irritant, un dragueur de pacotille qui véhicule des idées nauséabondes, une Iwasaki qui détruit à son tour l'image de la femme... Si Hiyoko Kobayashi voulait définitivement plomber son titre, elle ne pouvait pas mieux s'y prendre. Trop c'est trop, tout dans ce tome dégouline d'immondice, la cerise sur le gâteau étant le papa malsain qui avoue avoir toujours trippé en reniflant les culottes de sa chère fille quel que soit son âge. Après avoir flirté constamment avec la nullité, Ma femme est une étudiante tombe dedans les pieds joints, et s'y enfonce sans jamais sembler pouvoir en ressortir. A un tome de la fin, c'est quand même ballot, et rien ne laisse penser que le dernier tome pourra sortir la série de cette crasse.
Re: Ma femme est une etudiante
Tome 13 :
Tandis qu'Akira contraint Asami à être sa seule partenaire au conseil des élèves, Mlle Iwasaki, qui a pris conscience de ses erreurs, pousse Kyosuke à en devenir le professeur responsable. Evidemment, la situation ne plaît pas à Akira, qui pensait avoir enfin l'occasion de se mettre Asami dans la poche. C'est alors que le bad boy a une nouvelle opportunité pour profiter des charmes de notre héroïne : il découvre la relation qui la lie à Kyosuke, et décide alors de la faire chanter...
On pensait le pire passé avec les diverses humiliations que subissait Asami dans le tome 12, mais la mangaka avait visiblement envie de porter un dernier coup à sa série, en nous offrant une dernière ligne droite absolument abjecte.
On avait pourtant un peu d'espoir avec le début du tome, qui revenait vaguement sur les origines de la liaison entre Akira et Iwasaki et dévoilait un peu plus les soudains états d'âme de la belle prof. C'était sans compter sur le bad boy Akira et la stupidité profonde d'Asami, le premier ayant décidé de manipuler à l'extrême la deuxième, celle-ci se laissant totalement faire pour ne pas ébruiter le secret de sa relation avec Kyosuke. S'en suivent alors des pages d'humiliation lamentables, avec une Asami forcée de se promener dans l'établissement sans culotte, puis se faisant mater sous toutes les coutures par Akira, avant que celui-ci ne tente de la violer. Le tout pendant que Kyosuke, toujours aussi crétin, se réjouit de ses excuses et tarde à agir (et encore, c'est Sakura qui le pousse, comme d'habitude)...
Finalement, tout vient se dénouer dans un final navrant. Kyosuke agit enfin, les choses se décantent avec l'arrivée opportune d'Iwasaki, tout est bien qui finit bien pour tout le monde et... Euh... Comment ? Vraiment ? Akira a été un enfoiré de première, et il n'a aucune punition ? Tout le monde se pardonne comme ça ? Asami est contente et semble avoir totalement zappé qu'elle vient de se faire longuement humilier ? Mais... mais... c'est proprement ignoble et ridicule !
Et le manga, grosso modo, se finit comme ça. Parce qu'en fait, il n'y a pas réellement de fin. La vie reprend son cours normalement, et basta. Ce qu'il advient ensuite d'Iwasaki et Akira ? On s'en fout. Ce qui arrive aux nombreux autres personnages comme Erozaki et Kasumi ? Rien à fiche. Et ne parlons même pas de certains autre protagonistes, comme Kurumi, finalement apparue pendant quelques chapitres, juste histoire de... d'humilier Asami... Ah, et en passant, si vous étiez de ceux qui attendaient une réponse quant à la seule interrogation de la série, à savoir ce qui a poussé nos deux héros à se marier si tôt, hé bien vous pourrez aller vous brosser : on ne le saura jamais.
Après une dernière ligne droite détestable et une conclusion totalement bâclée voire inexistante, qui ne conclut tout simplement rien du tout, vous aurez la "joie" de découvrir un chapitre bonus revenant un peu sur la première rencontre entre Kyosuke (déjà mal dégourdi à l'époque) et Asami (adolescente déjà overboobée à l'époque dont la phobie des garçons a été entretenue par son propre père, quel génie). On n'y apprendra rien, si ce n'est que le père d'Asami s'éclatait comme une bête en prenant toujours des bains avec son ado de fille et la reluquait tranquillement. Formidable.
Alors qu'on pensait le fond atteint avec le douzième volume, Hiyoko Kobayashi nous prouve brillamment que l'on peut toujours creuser plus profondément, avec cet ultime tome que l'on qualifiera gentiment de lamentable.
Bon, me voila débarrassé de ce truc
Tandis qu'Akira contraint Asami à être sa seule partenaire au conseil des élèves, Mlle Iwasaki, qui a pris conscience de ses erreurs, pousse Kyosuke à en devenir le professeur responsable. Evidemment, la situation ne plaît pas à Akira, qui pensait avoir enfin l'occasion de se mettre Asami dans la poche. C'est alors que le bad boy a une nouvelle opportunité pour profiter des charmes de notre héroïne : il découvre la relation qui la lie à Kyosuke, et décide alors de la faire chanter...
On pensait le pire passé avec les diverses humiliations que subissait Asami dans le tome 12, mais la mangaka avait visiblement envie de porter un dernier coup à sa série, en nous offrant une dernière ligne droite absolument abjecte.
On avait pourtant un peu d'espoir avec le début du tome, qui revenait vaguement sur les origines de la liaison entre Akira et Iwasaki et dévoilait un peu plus les soudains états d'âme de la belle prof. C'était sans compter sur le bad boy Akira et la stupidité profonde d'Asami, le premier ayant décidé de manipuler à l'extrême la deuxième, celle-ci se laissant totalement faire pour ne pas ébruiter le secret de sa relation avec Kyosuke. S'en suivent alors des pages d'humiliation lamentables, avec une Asami forcée de se promener dans l'établissement sans culotte, puis se faisant mater sous toutes les coutures par Akira, avant que celui-ci ne tente de la violer. Le tout pendant que Kyosuke, toujours aussi crétin, se réjouit de ses excuses et tarde à agir (et encore, c'est Sakura qui le pousse, comme d'habitude)...
Finalement, tout vient se dénouer dans un final navrant. Kyosuke agit enfin, les choses se décantent avec l'arrivée opportune d'Iwasaki, tout est bien qui finit bien pour tout le monde et... Euh... Comment ? Vraiment ? Akira a été un enfoiré de première, et il n'a aucune punition ? Tout le monde se pardonne comme ça ? Asami est contente et semble avoir totalement zappé qu'elle vient de se faire longuement humilier ? Mais... mais... c'est proprement ignoble et ridicule !
Et le manga, grosso modo, se finit comme ça. Parce qu'en fait, il n'y a pas réellement de fin. La vie reprend son cours normalement, et basta. Ce qu'il advient ensuite d'Iwasaki et Akira ? On s'en fout. Ce qui arrive aux nombreux autres personnages comme Erozaki et Kasumi ? Rien à fiche. Et ne parlons même pas de certains autre protagonistes, comme Kurumi, finalement apparue pendant quelques chapitres, juste histoire de... d'humilier Asami... Ah, et en passant, si vous étiez de ceux qui attendaient une réponse quant à la seule interrogation de la série, à savoir ce qui a poussé nos deux héros à se marier si tôt, hé bien vous pourrez aller vous brosser : on ne le saura jamais.
Après une dernière ligne droite détestable et une conclusion totalement bâclée voire inexistante, qui ne conclut tout simplement rien du tout, vous aurez la "joie" de découvrir un chapitre bonus revenant un peu sur la première rencontre entre Kyosuke (déjà mal dégourdi à l'époque) et Asami (adolescente déjà overboobée à l'époque dont la phobie des garçons a été entretenue par son propre père, quel génie). On n'y apprendra rien, si ce n'est que le père d'Asami s'éclatait comme une bête en prenant toujours des bains avec son ado de fille et la reluquait tranquillement. Formidable.
Alors qu'on pensait le fond atteint avec le douzième volume, Hiyoko Kobayashi nous prouve brillamment que l'on peut toujours creuser plus profondément, avec cet ultime tome que l'on qualifiera gentiment de lamentable.
Bon, me voila débarrassé de ce truc
