La nouvelle génération de lecteurs.
- max.faraday
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- max.faraday
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ouiNaruto a écrit :est-ce que les éditeurs savent qu'ils éditent des daubes ?
oui, j'en connais un, ils prennent le fric qu'on leur donne et basta.Naruto a écrit :est-ce que les traducteurs comprennent les daubes qu'ils traduisent ?
Non car quand tu es jeune, tu as rarement un sens critique et tout ce que tu lit ou fait est forcément génial, surtout si tu mets du fric dedans.Naruto a écrit :est-ce que les mickeys se rendent comptent des daubes qu'ils achètent (enfin que leurs parents achètent) ?
- Erkael
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Je pense que le meilleur exemple de ça c'est Tokebi, qui multiplie les titres pourris, et si ils les multiplient c'est parce que ça doit se vendre, et à part des ados sans sens critiques je vois pas qui achete ça.max.faraday a écrit :shinob a raison sur l'absence d'exigence de nos jeunes mickeys, si il y a autant de daubes sur le marché aujourd'hui, c'est que ça doit se vendre quand même.
Les éditeurs, bien sur qu'ils ont conscience d'éditer des daubes, ça fait bien longtemps qu'ils ne marchent plus à la passion!!
Et comme dit Max, les traducteurs font leur boulot, on leur demande pas d'etre critique sur ce qu'il font.
j'aime à croire qu'encore certains éditeurs marchent à la passion, ne m'enlever pas ce dernier espoir
Mais c'est sur que quand t'as 15 ans le sens critique est rarement épanoui, tu prends tout ce qu'on te donnes sans réfléchir, je trouve que c'est normal;
par contre ce qui l'est moins c'est que les éditeurs ne développent que des tittres allant dans ce sens, mais faut pas oublié que c'est pas eux qui achètent les mangas, les revendeurs que je connais sur Paris ont une clientèle assez agée ( tout est relatif : au moins 25 ans ) ce qui fait que les titres pourris restent en rayon ( d'ailleurs si vous cherchez des 1ères éditions de titres pourries il doit en rester en stock lol ).
Mais c'est sur que quand t'as 15 ans le sens critique est rarement épanoui, tu prends tout ce qu'on te donnes sans réfléchir, je trouve que c'est normal;
par contre ce qui l'est moins c'est que les éditeurs ne développent que des tittres allant dans ce sens, mais faut pas oublié que c'est pas eux qui achètent les mangas, les revendeurs que je connais sur Paris ont une clientèle assez agée ( tout est relatif : au moins 25 ans ) ce qui fait que les titres pourris restent en rayon ( d'ailleurs si vous cherchez des 1ères éditions de titres pourries il doit en rester en stock lol ).
- max.faraday
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! Aucune audace chez Kana, et même dans leur ligne plus auteurisante "Made in...", puisqu'ils se reposent sur leurs acquis (les shônen à succès, la nostalgie avec les titres de Leiji Matsumoto et Lady Oscar) ou piquent les auteurs qui marchent chez d'autres éditeurs (et vas y que je te fais du Taniguchi !). A titre d'exemple, quel intérêt d'avoir créé une collection Dark Kana, dont les seuls titres restent, des années après la création du label, Psychometrer Eiji (fini en plus) et Samourai Deeper Kyo ? Ha si, il y a plus de violence et des seins en plus !Naruto a écrit :je suis assez d'accord avec toi shinob kana c'est pas un exemple de passion, certes ils ont édité et éditent de bons mangas mais ils ne tentent jamais d'élargir leur public ou leur horizon...
Glénat est boulimique et multiplie les sorties (20 en septembre dont 3 nouvelles séries au moins : D-Grayman, Reborn et Claymore) et est désormais remis de sa traversée du désert (suite aux arrêts successifs de Kaméha, des mangas de cette ligne et de nombreuses autres séries dont NaruTaru, les Pokémon,...).
Non, en fait, le seul éditeur avec une vraie ligne éditoriale, c'est Akata, même si on peut reprocher le discours provocateur de Véret sur un prétendu esprit japonais du combat. On trouve chez Akata de nombreux mangas se passant dans un Japon historique ou actuel. Bien sûr, la pérennité de cette ligne passe par des titres plus "commerciaux" mais non moins de qualité : Akata vit pour l'instant très largement de Fruits Basket. Seul hic : l'arrêt récent de la série au Japon.