20th Century Boys/21st Century Boys
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Mais euh, Kawaguchi est l'un de mes dessinateurs préférés ^^'''''''''' (ceci dit j'ai pas lu Eagle, mais vous éveillez ma curiosité )
Faisez gaffe aux pigeons. C'était un conseil de l'opération "Pigeon Bourré".
Les chats, c'est vraiment des branleurs. C'était un communiqué du CCC, le Comité Contre les Chats.
Avec Barbie Poufiasse, tu vis le rêve extraordinaire de toutes les poufiasses d'aujourd'hui.
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- né un11septembre
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J'avoue que j'ai eu beaucoup de mal à démarrer la série je m'y perdais entre les differentes époques, en fait c'est un manga ou ils faut lire au moins 3/4 tomes d'un seul trait pour pouvoir bien suivre
Sauter d'une époque à l'autre est un peu déroutant au début...mais à la longue on en redemande!! vraiment c'est un des meilleurs mangas que j'ai pu lire
les thèmes abordés sont en plein dans l'actu (comme Pluto d'ailleur) : manipulation mentale, secte, dictature...et j'en passe et des meilleures
ce qui m'a plus aussi dans 20thCB (et dans les autres Urasawa) ce sont justement les dessins : les gens sont petits, gros, grand, maigres, chevelus, chauves, moches, beaux....... et pas tous idéalisés comme dans les shojo ou tout le monde est parfait
et pour ce qui est de la fin je l'ai trouvé plutot bien compte tenu de l'immensité de l'histoire c'est pas tous les jours qu'on suit des personnages sur plusieurs decennies,
et les 2 tomes de 21rtsCB concluent bien la série à mon gout, vivement que ça sorte en français......
Sauter d'une époque à l'autre est un peu déroutant au début...mais à la longue on en redemande!! vraiment c'est un des meilleurs mangas que j'ai pu lire
les thèmes abordés sont en plein dans l'actu (comme Pluto d'ailleur) : manipulation mentale, secte, dictature...et j'en passe et des meilleures
ce qui m'a plus aussi dans 20thCB (et dans les autres Urasawa) ce sont justement les dessins : les gens sont petits, gros, grand, maigres, chevelus, chauves, moches, beaux....... et pas tous idéalisés comme dans les shojo ou tout le monde est parfait
et pour ce qui est de la fin je l'ai trouvé plutot bien compte tenu de l'immensité de l'histoire c'est pas tous les jours qu'on suit des personnages sur plusieurs decennies,
et les 2 tomes de 21rtsCB concluent bien la série à mon gout, vivement que ça sorte en français......
j'avais commence a l'achete alors que environ 16 volumes etaient deja sortis.....en tres peu de temp j'ai rattrape le retard tellement l'histoire est prenante et originale
Les flashback ne m'ont pas deranges, je trouve que ca ajoute une positive prise de tete on va dire... pour lecteurs fan de ce genre
Vivement en effet les 2 derniers 21st
Les flashback ne m'ont pas deranges, je trouve que ca ajoute une positive prise de tete on va dire... pour lecteurs fan de ce genre
Vivement en effet les 2 derniers 21st
Courage, Honneur, Bienveillance......HIMURA KENSHIN
- Rogue Aerith
- Filousophe
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20th Century Boys 1-22 :
Pfiou... ça c'est du seinen. Allez j'vais vous faire part de ma ptite expérience perso.
Avis général et éloges
J'ai trouvé les premiers volumes plutôt très mous. J'ai même eu peur à un moment que Urasawa-sama se soit attaqué à plus gros que lui, avec ce scénario de fin du monde. Je craignais surtout que l'action demeure au Japon, sans que le reste du Monde ne soit illustré, juste un peu évoqué (comme dans la majorité des autres mangas ante ou post-apocalyptiques ). De 1997 à 2000, le rythme reste donc très lent, seule l'intrigue avec Otcho en Thaïlande reste intéressante. Mais l'auteur part doucement pour considérablement accélérer par la suite .
Car en effet, passé le bain de sang de 2000, direction... 2014 !!! Le rythme s'emballe complètement. On retrouve un à un les camarades de Kenji, chose tout à fait excellente car Urasawa a vraiment su retranscrire l'évolution des personnalités et du physique face à l'apocalypse, les persos n'en sont que plus attachants. Parfois, Urasawa nous balade jusqu'à ce que l'on sache vraiment l'identité des persos (Otcho, Yoshitsune, Maruo, Croa-croa etc...). J'ai pas vraiment trouvé 20th century boys particulièrement prévisible donc, c'est plutôt le contraire, surtout quand l'auteur nous lance dans d'autres époques...
Même si certains peuvent considérer qu'Urasawa introduit trop de nouveaux persos inutilement, je pense qu'ils servent tous parfaitement l'intrigue, même s'ils ne sont pas plus développés que ça...
Les séquences avec le prêtre en Italie, avec Croa-croa aux Etats-Unis, le virus en Allemagne etc... servent à internationaliser le problème et à enrichir le scénario, à le faire partir de l'étranger pour finalement arriver au Japon. Urasawa ne se contente donc pas du Japon, et seul un tel mangaka me semble être capable d'une telle maîtrise dans son scénario. De même, il anticipe assez bien sur le contexte géopolitique après un virus : exemple de l'importance marquée du Pape, recrudescence de la mafia...
Le monde de 2014 était déjà bien anarchique mais on pouvait encore reconnaître des spécificités du XX°s. Troisième époque donc : direction 2018. Et là, Urasawa joue carrément dans la science-fiction et demeure toujours un fin stratège dans l'anticipation : retour de la féodalité, murs de séparation...
Dans chaque section, l'auteur se permet des flash-backs, en particulier dans les années 1970, sorte de quatrième « arc » ancré dans les autres. On n'est jamais perdu, la maîtrise des flash-backs et des persos selon les époques est phénoménale. On peut voir certains persos à 4 époques différentes ou seulement 3, 2 ou seulement 1. L'auteur se permet des clins d'oeil dont un formidable dans le tome 22 qui renvoie directement au début du tome 1.
Concernant le graphisme, les décors sont excellents, Urasawa a l'air de bien se plaire à dessiner du post-apocalyptique, de la science-fiction ou de retourner dans les années 70. Il sait tout faire : nature, quartiers urbains, banlieues, bâtiments industriels, monuments du futur avec structure incohérente et désagrégée
Les différents personnages évoluent selon les époques et les persos principaux ou secondaires ne se ressemblent vraiment pas. Une diversité parfaitement maîtrisée encore une fois. Cependant, le trait d'Urasawa est reconnaissable et renvoie plus ou moins à certains persos de Monster ou Pluto, mais bon, un mangaka ne peut pas se diversifier entre ses différentes séries mangas, surtout avec une tonne de personnages à chaque fois...
Défauts
Bon alors des défauts ? Evidemment hélas...
J'en citerai deux :
1° Le fait que l'auteur ne s'attarde pas sur les citoyens lambdas. Du début (1997) à la fin (2018), on dirait que les idées d'Ami se sont propagées sans heurts, qu'il n'a eu que des fans et des adeptes, l'idée de Résistance n'apparaissant qu'après 2015 et l'installation de son régime autoritaire. Faut pas abuser non plus, on croirait que l'installation au pouvoir d'un dictateur est facile. Il y a bien un moment où, à Rome, des gens discutent dans un bar sur le fait qu'Ami n'a pas eu que des adeptes mais qu'il faut bien avouer qu'après le virus il a été légitimé... Tout paraît trop facile, personne n'a semblé penser à la thèse du complot d'Ami, au mensonge et à la manipulation, thèse découverte par une simple collégienne ayant un talent inné pour le bowling... Bref, merci de prendre les Japonais et le reste du Monde pour des moutons, incapables de se soulever contre une personne et ses adeptes dès le départ. Le scénario atteint le comble du ridicule lors de la résurrection d'Ami pour sauver le Pape. Portnawak'. Malgré cela, cette émergence aussi facile d'Ami fait quand même réfléchir... Une secte + des adeptes infiltrés partout + des attentats organisés = un chef de l'Etat puis un coup monté contre le Pape devenu très important = un Président du Monde... Portnawak', trop facile... mais pourquoi pas après tout ? Un défaut pas aussi évident donc...
2° Second défaut, et là vraiment regrettable. Urasawa nous promène littéralement, la gestion de la narration est impeccable, la distillation des indices excellente, mais au final, trop de secrets sont gardés, la fin n'est pas une fin. Là où Monster offrait une fin ouverte, 20th century boys garde pour lui trop de secrets auxquels on n'a clairement pas assez d'éléments pour apporter nous-mêmes de réponses. Ce n'est pas seulement l'identité d'Ami qui reste à définir, j'irai même jusqu'à dire qu'à la fin du tome 22, cette question n'est que secondaire !
Adaptation
Question adaptation de Panini : cela tient du bon ou du désastreux.
Autant le papier est assez bon, la mise en page correcte. Mais pour la traduction et la correction de la langue, quelle horreur !!! Bordel, les fautes d'orthographe et les coquilles pullulent dans certains volumes alors qu'elles sont inexistantes dans d'autres. Cela témoigne vraiment d'une inattention concernant leur propre travail des gars de Panini. Alors outre John Lenon et Jimi Hendriks, on a aussi des « s » manquants, des coquilles dans les dates, dans le nom des persos (Kana et non Kanna). Le comble est atteint lorsque Panini nous offre un volume avec "la bande à Genji" (résistance montée par Yoshitsune en 2018), un autre volume hésitant entre la bande à "Genji" et la bande à "Kenji" (comme celle de 2000), et les autres volumes avec la bande à "Kenji". Très bon suivi de vos propres titres messieurs de chez Panini, un travail très consciencieux... vous relisez vos mangas parfois ? Cela m'a d'autant plus mis en pétards que c'est quand même du 8€95 en neuf ce titre : le prix semble vraiment injustifié... Je dois avouer enfin qu'une telle médiocrité dans l'adaptation m'a surpris, puisque dans mes autres titres Panini (Saiyuki, City Hunter, Angel Heart et Ikkitousen), pas de problèmes de ce genre... sans doute car ce n'est pas la même équipe qui est chargée de ces quatre titres (non je ne tiens pas de propos calomnieux envers l'équipe chargée de 20th... et si je le faisais, ce serait légitime donc bon... I do what I want).
Conclusion
J'attends donc 21st Century Boys avec impatience pour pallier au cruel manque de révélations. Avec une bonne adaptation siouplaît !
Une question pour finir : Urasawa ne s'est vraiment décidé à pondre les 21st qu'après les critiques des lecteurs japonais ? Parce que j'ai quand même l'impression qu'il ne voulait pas en rester là, qu'il avait déjà en tête 21st même avant les critiques... Ben ouais, il a quand même tout plein de pistes très plausibles et assez faciles d'après moi pour donner une simili-solution...
Du très grand seinen, un indispensable au même titre que Monster.
Pfiou... ça c'est du seinen. Allez j'vais vous faire part de ma ptite expérience perso.
Avis général et éloges
J'ai trouvé les premiers volumes plutôt très mous. J'ai même eu peur à un moment que Urasawa-sama se soit attaqué à plus gros que lui, avec ce scénario de fin du monde. Je craignais surtout que l'action demeure au Japon, sans que le reste du Monde ne soit illustré, juste un peu évoqué (comme dans la majorité des autres mangas ante ou post-apocalyptiques ). De 1997 à 2000, le rythme reste donc très lent, seule l'intrigue avec Otcho en Thaïlande reste intéressante. Mais l'auteur part doucement pour considérablement accélérer par la suite .
Car en effet, passé le bain de sang de 2000, direction... 2014 !!! Le rythme s'emballe complètement. On retrouve un à un les camarades de Kenji, chose tout à fait excellente car Urasawa a vraiment su retranscrire l'évolution des personnalités et du physique face à l'apocalypse, les persos n'en sont que plus attachants. Parfois, Urasawa nous balade jusqu'à ce que l'on sache vraiment l'identité des persos (Otcho, Yoshitsune, Maruo, Croa-croa etc...). J'ai pas vraiment trouvé 20th century boys particulièrement prévisible donc, c'est plutôt le contraire, surtout quand l'auteur nous lance dans d'autres époques...
Même si certains peuvent considérer qu'Urasawa introduit trop de nouveaux persos inutilement, je pense qu'ils servent tous parfaitement l'intrigue, même s'ils ne sont pas plus développés que ça...
Les séquences avec le prêtre en Italie, avec Croa-croa aux Etats-Unis, le virus en Allemagne etc... servent à internationaliser le problème et à enrichir le scénario, à le faire partir de l'étranger pour finalement arriver au Japon. Urasawa ne se contente donc pas du Japon, et seul un tel mangaka me semble être capable d'une telle maîtrise dans son scénario. De même, il anticipe assez bien sur le contexte géopolitique après un virus : exemple de l'importance marquée du Pape, recrudescence de la mafia...
Le monde de 2014 était déjà bien anarchique mais on pouvait encore reconnaître des spécificités du XX°s. Troisième époque donc : direction 2018. Et là, Urasawa joue carrément dans la science-fiction et demeure toujours un fin stratège dans l'anticipation : retour de la féodalité, murs de séparation...
Dans chaque section, l'auteur se permet des flash-backs, en particulier dans les années 1970, sorte de quatrième « arc » ancré dans les autres. On n'est jamais perdu, la maîtrise des flash-backs et des persos selon les époques est phénoménale. On peut voir certains persos à 4 époques différentes ou seulement 3, 2 ou seulement 1. L'auteur se permet des clins d'oeil dont un formidable dans le tome 22 qui renvoie directement au début du tome 1.
Concernant le graphisme, les décors sont excellents, Urasawa a l'air de bien se plaire à dessiner du post-apocalyptique, de la science-fiction ou de retourner dans les années 70. Il sait tout faire : nature, quartiers urbains, banlieues, bâtiments industriels, monuments du futur avec structure incohérente et désagrégée
Les différents personnages évoluent selon les époques et les persos principaux ou secondaires ne se ressemblent vraiment pas. Une diversité parfaitement maîtrisée encore une fois. Cependant, le trait d'Urasawa est reconnaissable et renvoie plus ou moins à certains persos de Monster ou Pluto, mais bon, un mangaka ne peut pas se diversifier entre ses différentes séries mangas, surtout avec une tonne de personnages à chaque fois...
Défauts
Bon alors des défauts ? Evidemment hélas...
J'en citerai deux :
1° Le fait que l'auteur ne s'attarde pas sur les citoyens lambdas. Du début (1997) à la fin (2018), on dirait que les idées d'Ami se sont propagées sans heurts, qu'il n'a eu que des fans et des adeptes, l'idée de Résistance n'apparaissant qu'après 2015 et l'installation de son régime autoritaire. Faut pas abuser non plus, on croirait que l'installation au pouvoir d'un dictateur est facile. Il y a bien un moment où, à Rome, des gens discutent dans un bar sur le fait qu'Ami n'a pas eu que des adeptes mais qu'il faut bien avouer qu'après le virus il a été légitimé... Tout paraît trop facile, personne n'a semblé penser à la thèse du complot d'Ami, au mensonge et à la manipulation, thèse découverte par une simple collégienne ayant un talent inné pour le bowling... Bref, merci de prendre les Japonais et le reste du Monde pour des moutons, incapables de se soulever contre une personne et ses adeptes dès le départ. Le scénario atteint le comble du ridicule lors de la résurrection d'Ami pour sauver le Pape. Portnawak'. Malgré cela, cette émergence aussi facile d'Ami fait quand même réfléchir... Une secte + des adeptes infiltrés partout + des attentats organisés = un chef de l'Etat puis un coup monté contre le Pape devenu très important = un Président du Monde... Portnawak', trop facile... mais pourquoi pas après tout ? Un défaut pas aussi évident donc...
2° Second défaut, et là vraiment regrettable. Urasawa nous promène littéralement, la gestion de la narration est impeccable, la distillation des indices excellente, mais au final, trop de secrets sont gardés, la fin n'est pas une fin. Là où Monster offrait une fin ouverte, 20th century boys garde pour lui trop de secrets auxquels on n'a clairement pas assez d'éléments pour apporter nous-mêmes de réponses. Ce n'est pas seulement l'identité d'Ami qui reste à définir, j'irai même jusqu'à dire qu'à la fin du tome 22, cette question n'est que secondaire !
Adaptation
Question adaptation de Panini : cela tient du bon ou du désastreux.
Autant le papier est assez bon, la mise en page correcte. Mais pour la traduction et la correction de la langue, quelle horreur !!! Bordel, les fautes d'orthographe et les coquilles pullulent dans certains volumes alors qu'elles sont inexistantes dans d'autres. Cela témoigne vraiment d'une inattention concernant leur propre travail des gars de Panini. Alors outre John Lenon et Jimi Hendriks, on a aussi des « s » manquants, des coquilles dans les dates, dans le nom des persos (Kana et non Kanna). Le comble est atteint lorsque Panini nous offre un volume avec "la bande à Genji" (résistance montée par Yoshitsune en 2018), un autre volume hésitant entre la bande à "Genji" et la bande à "Kenji" (comme celle de 2000), et les autres volumes avec la bande à "Kenji". Très bon suivi de vos propres titres messieurs de chez Panini, un travail très consciencieux... vous relisez vos mangas parfois ? Cela m'a d'autant plus mis en pétards que c'est quand même du 8€95 en neuf ce titre : le prix semble vraiment injustifié... Je dois avouer enfin qu'une telle médiocrité dans l'adaptation m'a surpris, puisque dans mes autres titres Panini (Saiyuki, City Hunter, Angel Heart et Ikkitousen), pas de problèmes de ce genre... sans doute car ce n'est pas la même équipe qui est chargée de ces quatre titres (non je ne tiens pas de propos calomnieux envers l'équipe chargée de 20th... et si je le faisais, ce serait légitime donc bon... I do what I want).
Conclusion
J'attends donc 21st Century Boys avec impatience pour pallier au cruel manque de révélations. Avec une bonne adaptation siouplaît !
Une question pour finir : Urasawa ne s'est vraiment décidé à pondre les 21st qu'après les critiques des lecteurs japonais ? Parce que j'ai quand même l'impression qu'il ne voulait pas en rester là, qu'il avait déjà en tête 21st même avant les critiques... Ben ouais, il a quand même tout plein de pistes très plausibles et assez faciles d'après moi pour donner une simili-solution...
Du très grand seinen, un indispensable au même titre que Monster.