Jojo's bizarre adventure

[samizo kouhei]

Golden Wind 12 : Le salut de la bande à Giogio, prise au piège en plein ciel par un Stand vorace et indestructible, vient de Trish, qui se révèle avoir un Stand (même si ce dernier l'assiste un peu trop. Elle est trop bête pour s'en servir ou quoi ? ). Mais le gros morceau de l'épisode, c'est la révélation de l'identité du "Boss". Et pour le coup, Araki s'est encore surpassé dans la dinguerie : Dio était un méchant classe mais relativement classique, Kira un serial killer qui cherche la tranquillité ... et le Boss est un schizophrène : en temps normal, Doppio, un gamin chétif, sbire du Boss, qui quand le danger approche, se transforme en type 2 fois plus gros, le "Boss", une brute sadique. Cela nous vaut des scènes surréalistes, où Doppio pense recevoir un appel du Boss (donc lui-même). A la fin, il est en mauvaise posture, confronté au chef des assassins qui ont traqué Giorno et sa bande, et qui prend un malin plaisir à lui mettre dans le corps des rasoirs et autres objets coupants.

[Niam]

Très bon tome, la double personnalité du boss est tirée par les cheveux, ça c'est du bon jojo's comme on l' aime

[Erkael]

Golden wind 12: Rarement Giorno est ses compagnons auront été en si mauvaise posture : deux d’entre eux sont gravement blessés, Giorno sacrifie ses deux mains et tous sont impuissants face à la nouvelle menace pesant sur eux…
Araki nous livre ici un affrontement aérien où la pression est terriblement élevé (pression psychologique, pas pression atmosphérique…), alors qu’on se doute bien que nos héros vont forcément s’en sortir, on ne voit aucune issue, et c’est là la force de l’auteur, il arrive encore à créer des situations terribles et passionnantes. C’est aussi l’occasion pour que Trish sorte de son rôle de potiche ; il est temps qu’elle prenne part au combat, et c’est sous la pression (psychologique donc) que son Stand se dévoile à elle ! Etant la fille du Boss, il semblait logique qu’elle ait hérité des pouvoirs de son père, mais son Stand paraît beaucoup moins impressionnant que celui qui terrifia Bluono ! Gageons que l’auteur garde quelques surprises la concernant. Quoi qu’il en soit, et pour la première fois, « Spice girl » (c’est le nom du Stand) est livré avec la notice : celui ci dit à Trish tout ce qu’elle doit faire, un véritable tutorial, et du coup cela paraît bien maladroit.
La seconde moitié du tome laisse de coté les personnages principaux pour se centrer sur le boss…enfin il apparaît, enfin on en apprend un peu plus sur lui, et encore une fois Araki à créé un personnage fort, après un vampire narcissique et mégalo, après un psychopathe aspirant à une vie paisible, cette saison sera le terrain de jeu d’un schizophrène bien dérangé ! Et contre toute attente pour sa première apparition au grand jour, il finit en bien mauvaise posture, mis à mal par le leader du groupe d’assassins qui cherchait à connaître son identité ; on s’attendait à ce que le boss nous paraisse surpuissant d’entrée de jeu, mais pour le coup il est dominé et rien que pour ça, on ne peut que féliciter Araki !
Encore un excellent tome, qui ne peux que renforcer l’estime que l’on a pour cette série !

[samizo kouhei]

Il ne faut pas non plus oublier que ce n'est pas le "Boss" qui est attaqué, mais Doppio, qui ne possède qu'une partie de la puissance de King Crimson.

[Otaku62]

golden wind 12:le combat contre Notorius Big continue dans l'avion et il devient impossible de le vaincre.A moins que la clé de la victoire ne repose sur Trish qui elle aussi posséde un stand d'une redoutable efficacité...Puis nous faisons connaissance de Doppio un jeune homme d'apparence relativement fréle mais qui cache une autre apparence celle du boss...
Encore un excellent tome ou Araki arrive encore à nous surprendre après 58 tomes...

[Floo D Ace]

Vol.12 (58) :

Alors que l’éditeur vient fraichement d’apprendre aux lecteurs que la série passerait en parution mensuel à partir du prochain tome, le douzième volume pointe le bout de son nez. Autre nouvelle de qualité, l’acquisition de la suite des licences de la série, point positif pour tous les fans.

Toujours en plein combat contre le stand dévoreur Notorious Big, notre groupe d’amis est au plus mal. Deux sont gravement blessés et c’est Giorno qui ne tarde pas à être au tapis lui aussi. Alors qu’il croit en être débarrassé, c’est finalement Trish et son stand « Spice Girl » qui auront le dernier mot. L’histoire bascule ensuite pour suivre « le boss », en Sardaigne, mais bien des surprises semblent encore sur le point d’arriver, notamment avec l’arrivée de Risotto !

Dire qu’après cinquante-huit tomes (donc douzième tome de la saison Golden Wind), la série est toujours sur un rythme de folie parait incroyable, mais pourtant c’est bien le cas. Toujours cette narration efficace de la part d’Araki, qui nous gratifie d’un tome plutôt riche en évènement puisqu’en plus de découvrir le stand de Trish, c’est la découverte « partielle » du boss qui nous est fournit. Le stand « Spice Girl » qui nous fournit directement une explication sur ses propriétés pour le moins surprenante. Content donc de voir que le rôle de Trish ne se résume pas à être la potiche qu’il faut s’en cesse protéger. Concernant le boss, c’est encore une fois, un bon coup de nous sortir un schizophrène, ce qui permet d’ailleurs à l’auteur de ne pas encore dévoiler totalement l’apparence du boss. La fin du tome offre les prémices d’un combat des plus intéressants entre Doppio le « bras droit » du boss et Risotto, le redoutable ex-chef de l’unité d’assassins. Petit bémol tout de même concernant les graphismes, qui même s’ils portent la « patte » d’Araki, sont quand même dérangeant au niveau des postures des personnages. Quelques petites impressions de « flou » ce dégage aussi durant l’action, mais comme dit cela fait partie du style de l’auteur.

Rien à signaler concernant l’édition fournit par Tonkam, gageons que le changement du rythme de parution n’affecte pas la qualité de l’édition.

Encore un bon tome qui maintient le lecteur en haleine, mais surtout qui annonce des derniers tomes riches en rebondissements et affrontements dantesques. Nous ne pouvons qu’applaudir l’initiative de l’éditeur de passer la série en mensuel !

[samizo kouhei]

Volume 13 : Fin de l'affrontement entre King Crimson et Metallica (un Stand aux pouvoirs relativement classiques mais avec une utilisation très originale quoique complètement absurde) qui fait une victime de marque, mais pas celle qu'on attendait. Araki ne fait aucun cadeau à l'équipe des héros, qui sont contactés par un mystérieux informateur qui les attend à Rome ... Est-ce un piège ? Car à peine arrivés à Rome, les protagonistes sont attaqués par une nouvelle équipe de manieurs de Stands aux pouvoirs très anxiogènes ...

[Erkael]

Golden Wind 13: On était resté sur un affrontement entre deux ennemis de nos héros, c’est assez rare pour être signalé, c’est la première fois dans cette saison qu’un combat ait lieu sans que Giorno ou l’un de ses compagnons soient impliqués…à la limite, c’est la meilleure chose qui puisse leur arriver, que leurs ennemis s’éliminent entre eux…mais les choses ne sont pas aussi simples !
Ce combat est surtout l’occasion de nous montrer la folie du boss et une partie de ses pouvoirs (bien que ça, cela a déjà été fait), ainsi que d’en finir avec les traîtres qui cherchent à connaître l’identité du boss, et pour le coup, Araki nous sort un leader impressionnant et charismatique au pouvoir effrayant : le magnétisme, c’est certes du déjà vu, mais jamais utilisé de cette façon ! Ou Araki va t-il chercher toute ses idées ?
Malgré une lourde perte dans l’équipe de nos héros, relativement bien mise en scène pour que la disparition du personnage nous fasse quelque chose, on sort de cette première partie du volume un peu confus : le boss est effectivement redoutable, la preuve en est qu’il a réussi à éliminer deux puissants adversaires en peu de temps, mais il ne parait plus aussi invincible qu’auparavant, au contraire, son aura a quelque peu disparu, à l’inverse d’un Dio dans la troisième saison où jusqu’à la fin, il restait effrayant de supériorité, ici ce n’est déjà plus le cas, il revient de loin et n’ose pas s’attaquer de front aux héros.
La seconde partie du tome voit notre équipe entrer en contact avec un mystérieux informateur qui veut soit disant les aider à vaincre le boss en leur accordant un nouveau pouvoir…beaucoup de questions se posent alors, la tension est à son comble, cela coupe un peu la linéarité de cette partie, linéarité que l’on retrouve avec l’attaque de deux nouveaux adversaires malsains à souhait !

Un très bon tome, bénéficiant une nouvelle fois d’un excellent travail de Tonkam, bref que du bon !

[samizo kouhei]

le boss est effectivement redoutable, la preuve en est qu’il a réussi à éliminer deux puissants adversaires en peu de temps, mais il ne parait plus aussi invincible qu’auparavant, au contraire, son aura a quelque peu disparu, à l’inverse d’un Dio dans la troisième saison où jusqu’à la fin, il restait effrayant de supériorité, ici ce n’est déjà plus le cas, il revient de loin et n’ose pas s’attaquer de front aux héros.

Si je puis me permettre, ce n'est pas vraiment le Boss, Diavolo, qu'on voit dans ce volume, mais son autre personnalité, Doppio, qui ne fait que prendre ses ordres du Boss (enfin si on veut).

[Erkael]

C'est vrai mais il n'empêche qu'il a failli crever quand même à plusieurs reprises, et qui lui même a admis que la personnalité du boss n'arriverait pas à temps...preuve qu'à l'inverse d'un Dio, il a une grosse faiblesse exploitable
(Enfin je dis ça, mais je connais la fin de la saison...pas de surprises ici )