Un certain temps pour se souvenir du scénario avant de se rappeler que, de toute façon, si on l'a oublié ce n'est pas bien grave, vu qu'il est anecdotique...
Et puis des fusillades du côté des héros, pontuées de répliques nanardesques qui font parfois sourire... des fusillades, des fusillades... quoi d'autre... des voitures qui roulent dans le désert, des fusillades... ah oui, en parallèle, du côté des autres personnages, il y a des fusillades... et des voitures qui roulent dans le désert...
Et quelques précisions (on ne va pas parler de révélations, parce que dans le fond, on s'en fout) sur la manière dont Ena est arrivée à Los Angeles puis au Mexique.
Et enfin, voilà nos héros décidés à repasser la frontière, dans des dernières pages nous annonçant une suite... euh... avec des fusillades et des voitures qui roulent dans le désert, sans doute.
Ce qui sert d'histoire avance à rythme d'escargot, tout comme le rythme de parution, et gageons que d'ici à la parution du tome 8, on aura oublié ce qui s'est passé dans ce septième volume. Mais ce n'est pas bien grave. Comme toujours, on reprendra la lecture sans faire attention à l'histoire, on parcourera de l'oeil les fusillades et les voitures qui roulent dans le désert, puis on ira poser le volume à côté de ses grands frères.
Un tome de Wilderness de temps en temps, c'est rigolo, mais dès la lecture terminée, on l'oublie tout aussi vite. Du manga pop-corn, quoi.
Wilderness
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Re: Wilderness
Un peu comme Geobreeders quoi... D'ailleurs, Wilderness, "mieux" ou "pire" que Geobreeders ?
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Re: Wilderness


