oui mais a force de continuer certaines séries comme celle ci, on fini par être dégoutté et gâcher le plaisir des bonnes séries.Floo D Ace a écrit :Ouai c'est sur mais bon en même temps c'est que 4 tomes c'est pas non plus un "gros" investissement.
Eater
Re: Eater
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Re: Eater
Et puis, en se passant de 3 ou 4 séries très moyennes comme celle-ci, on a assez de fric pour se faire une bonne série d'une quinzaine de tomes.
J'ai moi aussi trop souvent tendance à me dire que le nombre de tomes est peu élevé et que donc je ne perds pas grand chose en suivant la série jusqu'à la fin même si le ou les premiers tomes ne m'ont pas emballés des masses. Et au bout du compte, je me retrouve avec des trucs comme Guardian Dogs ou Frame Saber dans ma bibliothèque qui ne m'ont rien apporté et dont la lecture était à peine satisfaisante.
J'hésite vraiment à continuer Eater...
J'ai moi aussi trop souvent tendance à me dire que le nombre de tomes est peu élevé et que donc je ne perds pas grand chose en suivant la série jusqu'à la fin même si le ou les premiers tomes ne m'ont pas emballés des masses. Et au bout du compte, je me retrouve avec des trucs comme Guardian Dogs ou Frame Saber dans ma bibliothèque qui ne m'ont rien apporté et dont la lecture était à peine satisfaisante.
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- Floo D Ace
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Re: Eater
Ah wi comme moiIxnay a écrit :Et puis, en se passant de 3 ou 4 séries très moyennes comme celle-ci, on a assez de fric pour se faire une bonne série d'une quinzaine de tomes.
J'ai moi aussi trop souvent tendance à me dire que le nombre de tomes est peu élevé et que donc je ne perds pas grand chose en suivant la série jusqu'à la fin même si le ou les premiers tomes ne m'ont pas emballés des masses. Et au bout du compte, je me retrouve avec des trucs comme Guardian Dogs ou Frame Saber dans ma bibliothèque qui ne m'ont rien apporté et dont la lecture était à peine satisfaisante.
J'hésite vraiment à continuer Eater...

Pour répondre à Shun je trouve justement que ce genre de lecture, me fait d'autant plus apprécier les manga de qualité. Je ne parle pas pour Eater que je trouve relativement correct, mais aprés avoir lu un Rumble Fish,Frame Saber ou Pretty Face bhé j'apprécie d'autant plus un bon manga.

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Re: Eater
Je crois que la lecture d'une serie comme eater depend de ses capacités financières.
avec 200 ou 300€ par mois, c'est une serie qu'on achete sans y penser à 2 fois. (puis, j'aime assez le dessin malgré tout)
avec 200 ou 300€ par mois, c'est une serie qu'on achete sans y penser à 2 fois. (puis, j'aime assez le dessin malgré tout)
- Floo D Ace
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Re: Eater
C'est vrai que pour quelqu'un qui commence une mangathéque ou qui ne balance pas toute sa fortune dans les mangas (
), Eater est dispensable. Maintenant moi je trouve que c'est un bon manga tout de même, et limite il mérite "plus" d'être acheté que d'autres séries que je fais ou que je vois que certains suivent. 


Re: Eater
Tome 1 : Passé la couverture plutôt alléchante, on découvre un dessin assez banal, au trait un peu grossier.
Commencement de la lecture et là "patatra" : les 40 premières pages nous narrent un combat entre deux aliens, mais franchement cela ressemble plus a un duel entre "cosplayeurs" qu'a un affrontement entre bêtes sanguinaires.
Cela m'a immédiatement fait décrocher et j"ai eu du mal a me replonger dedans par la suite.
Ajouté a cela un scénario bateau et voila une série aussi tôt commencée, aussi tôt stoppée.
Après le très décevant "Variante", je ne me risquerai pas plus avec celle-ci.
Commencement de la lecture et là "patatra" : les 40 premières pages nous narrent un combat entre deux aliens, mais franchement cela ressemble plus a un duel entre "cosplayeurs" qu'a un affrontement entre bêtes sanguinaires.
Cela m'a immédiatement fait décrocher et j"ai eu du mal a me replonger dedans par la suite.
Ajouté a cela un scénario bateau et voila une série aussi tôt commencée, aussi tôt stoppée.
Après le très décevant "Variante", je ne me risquerai pas plus avec celle-ci.
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Re: Eater
Vol.2 : De retour dans ce deuxième tome on retrouve Benimaru et Kazuma en plein règlement dans compte au milieu de nulle part. Le tome est construit en suivant trois points de vue si je puis dire, le premier étant celui de Benimaru qui doit faire face à Kazuma ainsi qu'à tous ses sbires. Un Kazuma qui ne recule devant rien afin de faire disparaitre Benimaru, bref une lutte sans merci s'engage entre les deux et tous les moyens sont bon pour gagner. Le deuxième point de vue est celui d'Aoko, qui se retrouve avec Danny Bone le seul soldat à ne pas avoir été parasité par Kazuma. Après avoir expliqué la situation à Danny, ils décident ensemble d'aller à la recherche d'éventuel survivants, mais sont pris pour cibles par les parasites de Kazuma.
Ces deux points de vue ce rejoignent vers la fin du tome, lorsque Kazuma tombe sur Aoko et Danny suis alors un combat qui laisse rapidement la place à un duel Kazuma/Benimaru. Le tome s'achève sur un Benimaru laissé pour mort et un Kazuma plus puissant que jamais.
Je n'ai pas encore parlé du troisième point de vue qui n'est que rapidement traité à savoir celui des humains externe à l'action. On voit un moment des journalistes qui tentent de comprendre ce qu'il se passe, pourquoi une quarantaine, mais aussi l'armée elle-même qui finalement est impuissante dans un combat de ce niveau. L'auteur nous montre bien que rien ne pourra arrêter Kazuma, si ce n'est Benimaru.
Dans l'ensemble le tome est correct, les défauts sont toujours présents et le manga gagnerait en intérêt si l'auteur n'était pas aussi flou dans les scènes d'action (le combat en fin de tome est vraiment difficile à suivre et c'est bien dommage). Cela dit, les qualités sont toujours là, le côté "Guyver" toujours présent et l'auteur ne manque pas d'imagination concernant les transformations ou autres "fusions" (avec les armes entre autres M-16 ou le beam gun). J'aime beaucoup aussi l'intrigue que l'auteur met en place par rapport à Aoko, les mystérieux pouvoirs qu'elle possède et j'espère avoir rapidement des explications là-dessus.
Au final un deuxième tome dans la lignée du premier, avec un petit plus je dirais.
Ces deux points de vue ce rejoignent vers la fin du tome, lorsque Kazuma tombe sur Aoko et Danny suis alors un combat qui laisse rapidement la place à un duel Kazuma/Benimaru. Le tome s'achève sur un Benimaru laissé pour mort et un Kazuma plus puissant que jamais.
Je n'ai pas encore parlé du troisième point de vue qui n'est que rapidement traité à savoir celui des humains externe à l'action. On voit un moment des journalistes qui tentent de comprendre ce qu'il se passe, pourquoi une quarantaine, mais aussi l'armée elle-même qui finalement est impuissante dans un combat de ce niveau. L'auteur nous montre bien que rien ne pourra arrêter Kazuma, si ce n'est Benimaru.
Dans l'ensemble le tome est correct, les défauts sont toujours présents et le manga gagnerait en intérêt si l'auteur n'était pas aussi flou dans les scènes d'action (le combat en fin de tome est vraiment difficile à suivre et c'est bien dommage). Cela dit, les qualités sont toujours là, le côté "Guyver" toujours présent et l'auteur ne manque pas d'imagination concernant les transformations ou autres "fusions" (avec les armes entre autres M-16 ou le beam gun). J'aime beaucoup aussi l'intrigue que l'auteur met en place par rapport à Aoko, les mystérieux pouvoirs qu'elle possède et j'espère avoir rapidement des explications là-dessus.
Au final un deuxième tome dans la lignée du premier, avec un petit plus je dirais.
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Re: Eater
Vol.3 : La fin approche avant l'ultime tome en février. On retrouve nos héros en mauvaise posture, Bénimaru en train de mourir avec Aoko impuissante à ses côtés et Kazuma plus puissant que jamais. Sur un ultime coup de théâtre Benimaru retrouve quelques forces assez en tout cas pour mettre un terme au combat qui l'oppose à Kazuma. Avant de mourir Kazuma, tente un ultime coup de poker (ou pas ?!) en confiant à Benimaru que son véritable ennemi est enfaîte Aoko, c'est sur cette image que l'auteur termine cet arc.
L'histoire prend une direction différente avec ce tome et surtout avec ce nouvel arc. Après un rapide résumé des derniers événements, l'auteur enchaîne sur ce que l'on prend d'abord pour un cauchemar d'Aoko et qui au final nous fait entrer directement dans le vif du sujet. En effet on constate qu'Aoko, dans ses rêves assassine violemment des personnes, on voit aussi que finalement les meurtres ont réellement lieu. Aoko décide d'enchainer les nuits blanches afin de ne plus commettre d'atrocités, Benimaru de son côté décide de mener l'enquête pour aider Aoko, mais aussi par curiosité envers les propos de Kazuma. Lors de son enquête Benimaru tombe sur l'un des monstre et le combat s'engage, Aoko (ou l'esprit d'Aoko) arrive et tue violemment le monstre avant de s'en prendre à Benimaru et de presque le tué. On apprend alors qu'elle ne tue finalement pas d'innocent, mais simplement des monstres. L'auteur préfère nous laisser dans le flou à ce sujet pour l'instant et enchaîne sur une autre histoire (j'avoue que c'est étrange de laisser ceci en suspend mais bon, l'auteur doit avoir ses raisons).
On quitte nos héros, pour un hôpital avec des personnages inconnus, hôpital qui sert aux monstres afin de mener des expériences. Kazuhiko, un étudiant hospitalisé ici découvre ce qui se trame pour exterminer Benimaru les monstres décident de ressusciter un ancien guerrier (Shino) en le nourrissant d'âmes de patient. Bien sûr à son réveil, il ne s'avère pas très commode, mais reste tout de même sous leurs contrôles. L'auteur ne perd pas de temps et nous montre lors d'un combat contre Benimaru l'étendu des pouvoirs de ce guerrier, il écrase Benimaru qui parvient de justesse à s'enfuir. Les derniers chapitres s'attardent sur le rétablissement de Benimaru en vue de sa vengeance, les interrogations d'Aoko et la mise en liberté de Shino (sous forme humaine bien sûr). Chose intéressante l'auteur nous en apprend un peu plus sur l'histoire des monstres, il nous est dit qu'un humain aux cheveux rouge ainsi que huit imparfaits (comme Benimaru) on réduit quasiment à néant leur espèce il y a 500ans.
Un tome un peu bizarre, car il part dans tous les sens. L'histoire d'Aoko, ensuite Shino, puis les informations sur l'ancienne histoire. Je dois dire que par moment j'aurais apprécié que l'auteur ne ce disperse pas autant. Concernant les combats c'est moins flou que dans les tomes précédent et donc plus agréable à lire. J'ai par contre un peu peur pour la fin (je vous rappelle qu'il ne reste qu'un seul tome) et d'avoir quelque chose de bâcler.
L'histoire prend une direction différente avec ce tome et surtout avec ce nouvel arc. Après un rapide résumé des derniers événements, l'auteur enchaîne sur ce que l'on prend d'abord pour un cauchemar d'Aoko et qui au final nous fait entrer directement dans le vif du sujet. En effet on constate qu'Aoko, dans ses rêves assassine violemment des personnes, on voit aussi que finalement les meurtres ont réellement lieu. Aoko décide d'enchainer les nuits blanches afin de ne plus commettre d'atrocités, Benimaru de son côté décide de mener l'enquête pour aider Aoko, mais aussi par curiosité envers les propos de Kazuma. Lors de son enquête Benimaru tombe sur l'un des monstre et le combat s'engage, Aoko (ou l'esprit d'Aoko) arrive et tue violemment le monstre avant de s'en prendre à Benimaru et de presque le tué. On apprend alors qu'elle ne tue finalement pas d'innocent, mais simplement des monstres. L'auteur préfère nous laisser dans le flou à ce sujet pour l'instant et enchaîne sur une autre histoire (j'avoue que c'est étrange de laisser ceci en suspend mais bon, l'auteur doit avoir ses raisons).
On quitte nos héros, pour un hôpital avec des personnages inconnus, hôpital qui sert aux monstres afin de mener des expériences. Kazuhiko, un étudiant hospitalisé ici découvre ce qui se trame pour exterminer Benimaru les monstres décident de ressusciter un ancien guerrier (Shino) en le nourrissant d'âmes de patient. Bien sûr à son réveil, il ne s'avère pas très commode, mais reste tout de même sous leurs contrôles. L'auteur ne perd pas de temps et nous montre lors d'un combat contre Benimaru l'étendu des pouvoirs de ce guerrier, il écrase Benimaru qui parvient de justesse à s'enfuir. Les derniers chapitres s'attardent sur le rétablissement de Benimaru en vue de sa vengeance, les interrogations d'Aoko et la mise en liberté de Shino (sous forme humaine bien sûr). Chose intéressante l'auteur nous en apprend un peu plus sur l'histoire des monstres, il nous est dit qu'un humain aux cheveux rouge ainsi que huit imparfaits (comme Benimaru) on réduit quasiment à néant leur espèce il y a 500ans.
Un tome un peu bizarre, car il part dans tous les sens. L'histoire d'Aoko, ensuite Shino, puis les informations sur l'ancienne histoire. Je dois dire que par moment j'aurais apprécié que l'auteur ne ce disperse pas autant. Concernant les combats c'est moins flou que dans les tomes précédent et donc plus agréable à lire. J'ai par contre un peu peur pour la fin (je vous rappelle qu'il ne reste qu'un seul tome) et d'avoir quelque chose de bâcler.