Si on parlait ciné?
- né un11septembre
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Re: Si on parlait ciné?
Vers 1951-52 et c'est en noir et blanc.
pas d'effets délirants mais un solide film de sf avec de bons acteurs (pas Néo dans l'espace)
pas d'effets délirants mais un solide film de sf avec de bons acteurs (pas Néo dans l'espace)
Re: Si on parlait ciné?
Pour rester sur Keanu Reeves, il jouera bientôt le rôle de Spike dans l'adaptation ciné de Cowboy Bebop produite par la Fox. Source: http://www.newsarama.com/film/010916-Reeves-Bebop.html
- Blacksheep
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Re: Si on parlait ciné?
Et pour en revenir à cette DauBe Evolution la BO officielle (on y découvre un morceau du scénario qui semble hum comment dire très travaillé http://www.allocine.fr/video/player_gen ... 30738.html sans oublier le jeu : http://www.jeuxvideo.com/jeux/0002/00028452.htm 

- Floo D Ace
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Re: Si on parlait ciné?
Je n'ai toujours pas compris pourquoi faire une autre histoire, alors que le manga à déja un scénario correct. En plus Toriyama était consultant, il aurait je pense volontier donné un coup de main en cas de besoin. Je reste vraiment dans l'incompréhension totale. En tout cas soit le film va faire un flop, soit il sera un blockbuster mais bon un bon fan de DB n'ira pas donner 9€ pr cette chose.
(le seul truc de bien dans cette BA, c'est la transformation de la capsule en moto que je trouve vraiment sympa)
(le seul truc de bien dans cette BA, c'est la transformation de la capsule en moto que je trouve vraiment sympa)
Re: Si on parlait ciné?
Je l'ai vu il y a 2 semaines et je l'ai trouvé moyen.
Visuellement, on retrouve l'univers de Sin City mais avec parfois des éléments plus flashy (genre les pompes du héros) qui peuvent "choquer".
La mise en scène est plutôt réussi car on a vraiment l'impression de lire un comic, comme dans Sin City. Malheureusement, mais cela n'engage que moi, j'ai trouvé que cet aspect donnait un côté trop artificiel, voire cheap, aux décors et à l'action.
Au niveau du scénario, ça reste une histoire de super héros (plus sombre qu'un X Men tout de même), mais avec pas mal de second degré (cf Samuel L Jackson en nazi) et qui part un peu dans tous les sens.
Au final, rien de transcendant, surtout si on s'attend à un Sin City bis. The Spirit reste quand même une curiosité à voir pour son côté barré, et ne serait-ce que pour sa galerie de jolies filles
Visuellement, on retrouve l'univers de Sin City mais avec parfois des éléments plus flashy (genre les pompes du héros) qui peuvent "choquer".
La mise en scène est plutôt réussi car on a vraiment l'impression de lire un comic, comme dans Sin City. Malheureusement, mais cela n'engage que moi, j'ai trouvé que cet aspect donnait un côté trop artificiel, voire cheap, aux décors et à l'action.
Au niveau du scénario, ça reste une histoire de super héros (plus sombre qu'un X Men tout de même), mais avec pas mal de second degré (cf Samuel L Jackson en nazi) et qui part un peu dans tous les sens.
Au final, rien de transcendant, surtout si on s'attend à un Sin City bis. The Spirit reste quand même une curiosité à voir pour son côté barré, et ne serait-ce que pour sa galerie de jolies filles

- né un11septembre
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Re: Si on parlait ciné?
pour moi, le Spirit de Miller est une trahison. Le personnage du spirit n'a rien à voir avec l'univers de sin city.
Will Eisner était un doyen de fac couvert de doctorats quand Miller en est encore à apprendre sa grammaire graphique.
Le personnage du spirit date des années 40 et se veut une parodie des polars à la Bogart et des super-heros.
l'inventivité visuelle de la série (8 pages hebdomadaire pendant une 15aine d'années) tient entierement au rythme du découpage, aux effets visuels et... à ses veneneuses femmes fatales venues de tous horizons.



La plupart des albums d'Eisner n'ont qu'une seule édition (entre 1977 et 1996) dans des éditions qui demandent une nette envie de les chercher pour les lire. les éditions plus recente en integrales sont de qualité mais trés onereuses et n'ont pas été plus loins que la deuxième année.
http://www.bedetheque.com/serie-2101-BD ... -(Le).html
Le personnage a été repris dans une série moderne en anglais chez DC par Darwyn Cooke, de façon amusante mais ce n'est plus tout a fait la mêm chose. La série perd de son interet au fil des numeros.
http://www.bedetheque.com/serie-17654-B ... roes).html
Tout ça pour dire, UN FILM A EVITER !!!!
Will Eisner était un doyen de fac couvert de doctorats quand Miller en est encore à apprendre sa grammaire graphique.
Le personnage du spirit date des années 40 et se veut une parodie des polars à la Bogart et des super-heros.
l'inventivité visuelle de la série (8 pages hebdomadaire pendant une 15aine d'années) tient entierement au rythme du découpage, aux effets visuels et... à ses veneneuses femmes fatales venues de tous horizons.



La plupart des albums d'Eisner n'ont qu'une seule édition (entre 1977 et 1996) dans des éditions qui demandent une nette envie de les chercher pour les lire. les éditions plus recente en integrales sont de qualité mais trés onereuses et n'ont pas été plus loins que la deuxième année.
http://www.bedetheque.com/serie-2101-BD ... -(Le).html
Le personnage a été repris dans une série moderne en anglais chez DC par Darwyn Cooke, de façon amusante mais ce n'est plus tout a fait la mêm chose. La série perd de son interet au fil des numeros.
http://www.bedetheque.com/serie-17654-B ... roes).html
Tout ça pour dire, UN FILM A EVITER !!!!
- né un11septembre
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Re: Si on parlait ciné?
la tâche va être ardue pour trouver du spirit d'Eisner maintenant mais je ne peux que recommander la lecture d'a peu prés n'importe quel oeuvre de Will Eisner comme une des dernières, jacob le cafard.
ou justement son rapport avec Frank Miller dans une discussion soutenue sur les differents aspects de la bd paru chez rackham.


ou justement son rapport avec Frank Miller dans une discussion soutenue sur les differents aspects de la bd paru chez rackham.
