City Hunter 21 :
Un tome de City Hunter, c'est comme "prendre sa dose" tous les deux mois. Le scénario n'avance pas, les personnages évoluent très peu, les visages des nanas mokkori ne varient pas, l'humour est identique depuis 18 tomes, les bons sentiments lourdingues (d'autant plus que ce tome se termine sur l'intervention d'un bébé... ça fait penser à du Angel Heart 15 ans plus tôt), l'originalité est totalement absente... Le prix est de surcroît prohibitif.
Mais... mais... mais on a besoin de sa dose de Ryo Saeba et de mokkori

Si City Hunter ne reposait pas sur le charisme de son personnage principal (l'homme parfait, ni plus ni moins), il ne resterait plus rien.
Que Angel Heart déçoive ne m'étonne pas puisque Ryo Saeba y est plus discret.
Que City Hunter en ait lassé plus d'un n'est guère plus étonnant, puisque son seul intérêt se trouve être son héros... La lecture de City Hunter fait l'objet de drogue bi-mensuelle... encore faut-il aimer la redondance ^^